Le temps de la lâcheté
Mise à jour en date du 3 février 2009
Dernière mise à jour, 8 ans plus tard, le 2 mai 2017
Justice est faite !
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Alain Riazuelo
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8 décembre 2006
Le 10 octobre dernier j'avais adressé au Directeur de l'Institut d'Astrophysique de Paris la lettre suivante :
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Le lecteur pourra vérifier que le texte critique composé par M. Alain Riazuelo se trouve toujours en place sur le site de l'Institut d'Astrophysique. Son directeur n'a fait aucun cas de la demande, qui a été doublée d'une demande de séminaire formulée le 2 novembre 2006.
Pas de réponse de Laurent Vigroux, directeur de l'IAP, à ce second courrier.
J'ai reçu alors le message suivant, signé Alain Riazuelo, daté du samedi 4 novembre 2006, 14 h 15 :
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Après : silence total. J'avais pourtant aussitôt répondu en fournissant mes coordonnées téléphoniques, pour qu'une date puisse être arrêtée. Ce chercheur pouvait me contacter sans intermédiaire sans aucun problème en utilisant mon e-mail personnel, ce qu'il n'a pas fait.
De toute manière ma demande de séminaire ne s'adressait pas à lui, mais au Directeur de l'Institut d'Astrophysique, à qui j'adresse ce jour ce troisième et dernier courrier. Je pense, je suis même parfaitement convaincu qu'il ne me répondra pas non plus. S'il n'a pas jugé opportun de répondre à mes deux précédents courriers, pourquoi le ferait-il à celui-ci ?
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Cette situation surprendra plus d'un lecteur. Cette attitude montre l'état de dégradation des moeurs dans la communauté scientifique, pour qui les mots éthique et sens de l'honneur sont devenus totalement lettre morte.
En octobre 2005 nous venions d'achever, mon ami Gilles d'Agostini et moi-même un travail de géométrie. J'ai alors décidé de soumettre une proposition de séminaire à l'Institut des Hautes Etudes de Bures sur Yvette. J'avais adressé six ans plus tôt une demande similaire, qui avait été dirigée vers Thibaud Damour, lequel l'avait rejetée aussitôt en m'envoyant un commentaire qui montrait qu'il n'avait pas lu ce que j'avais envoyé puisque ses critiques se situaient complètement en dehors du sujet que je me proposais d'aborder.
Comme le travail que nous venions d'achever était de la géométrie j'ai demandé à Jean-Pierre Bourguignon, mathématicien, géomètre et directeur de l'IHES de me faire l'amitié d'examiner lui-même le travail soumis et de prendre la décision.
Il y a eu trois envois et deux relances téléphoniques en 12 mois. Je crois que le plus simple est de reproduire le contenu du dernier échange :
- J'ai ton papier sous les yeux, mais je ne vois pas en quoi il apporte quelque chose de nouveau en mathématiques
- L'innovation ne se situe pas au niveau de l'outil mathématique mais de l'usage qui en est fait dans et qui relève de la physique mathématique. Que penses-tu de ce travail ?
- L'approche, avec action coadjointe d'une groupe sur son espace des moments et tout à fait classique. Je ne vois rien de particulier qui me choque. Personnellement cela ne me dérange nullement que ton espace des moments soit non-connexe.
- Toi, peut être. Vous autres mathématicens, rien de vous gêne, que l'espace soit composé de un, deux ou dix-neuf feuillets vous indiffère. Mais chez les astrophysiciens et cosmologistes c'est une autre chanson. Si tu envois cela à Thibaud Damour, celui-ci va rejeter aussitôt ce papier sans même le lire, comme il y a six ans. C'est pour cela que je me suis adressé à toi, parce que tu es géomètre et que ces questions te sont familières.
- Hmmm. Je peux peut être le soumettre à madame Choquet-Bruhat. Je sais qu'elle n'est pas très partisane de la théorie des cordes
- Très bien, fais-le.
- OK, je te tiendrai au courant.
La réponse finale est arrivée douze mois après mon premier courrier, très laconique, sous forme d'un court e-mail ::
- J'ai passé ton papier à Damour. Il n'a pas changé d'avis à ton sujet.
Brillant résultat après douze mois d'attente. Dans ce travail il ne manque pas un boulonet Bourguignon le sait fort bien. Sinon, s'il avait détecté la moindre faiblesse il aurait sauté dessus pour s'enlever au plus vite cette épine que je plantais dans son pied. S'il avait pris lui-même la décision de m'inviter à l'IHES, l'affrontement avec Damour aurait été inévitable et il savait que ce dernier n'en serait pas sorti vainqueur. En choissant la lâcheté, Bourguignon a préféré ménager sa carrière.
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Retour au texte du 8 décembre, après cet insert
Il s'est peut être passé la même chose à l'AP, après cette réponse impulsive de Riazuelo. Car c'est un impulsif, un jeune blanc-bec trop sûr de lui. D'autres, plus au courant, lui auront recommandé un silence prudent. Eh oui, tel que nous commençons à le connaître. En séminaire, oubliant toute prudence ce jeune polytechnicien aurait très probablement attaqué bille en tête en se cassant les dents sur un travail bien boulonné, et aurait pris la première claque de sa carrière, bien méritée, lui qui se coplait à faire figure d'expert, du heut de ses trentes ttrois printemps
Quelque remarque aurait scellé son incompétence en matière de géométrie. Notre courageux cosmolgiste n'a pas voulu prendre le risque. Ceux qui me connaissent savent que dans ce genre de face à face je n'ai jamais été mis en difficulté, en 35 ans de carrière, dans les nombreux domaines que j'ai abordés.
Les scientifiques sont souvent vindicatifs, imprudents, "territoriaux", ont tendance à sous-estimer leur adversaire dans ces genres de joutes. J'ai fait mordre la poussière à plus d'un attaquant. Le dernier en date était un géomètre sexagénère, dans un labo de géométrie de Marseille en 2005. Mon dieu, quelle déroute, quel planté magistral ! Après avoir lancé son attaque comme un sanglier, réclamant "qu'il soit mis un terme à ces clowneries", il est allé se rasseoir, rouge comme une tomate, après que je lui aie signalé courtoisement ses erreurs.
Il n'y aura donc pas de séminaire, pas de débat. Loin de toute constestation, Riazuelo continuera à pérorer sans risquer la critique, à jouer les experts à étaler ses états d'âme dans les forums ou dans les pages discussions d'une encyclopédie d'où je suis "banni à vie" pour avoir publié "cette lettre adressée à son employeur" ( dans les faits la simple demande de séminaire et réponse à ses attaques ), missive "qui lui portait tort". Les administrateurs de Wikipedia, forts de leur anonymat, volèrent aussitôt à son secours en votant mon "banissement à vie". Dans un mail constituant une réponse adressée à un étudiant, il précise même que le ton de ma lettre "frisait la diffamation". C'est l'hôpital qui se moque de la charité. Ces roquets qui se défoulent en toute impunité sur le web sont prompt à invoquer en tremblant le secours de la loi, quand la moindre réponse leur est fournie. C'est moins élégant et moins courageux qu'un bon face à face, bien clair, en séminaire, devant les collègues et le public (puisque les attaques ont été étalmées pendant des mois dans des sites de grande audience). Des imbéciles, une claque de médiocres, prudemment couverts par des pseudonymes, comme l'omniprésente et médiocre " 84 K " lui feront écho en se moquant de " celui qui joue les génie incompris ".
Il est facile de voir que le jeu scientifique est devenu totalement faussé. Je pourrai reprendre la phrase du mathématicien français Jean-Marie Souriau :
- La physique théorique et la cosmologie sont devenues des hôpitaux psychiâtriques, où ce sont les fous qui ont pris le pouvoir.
A l'IHES Thiabaud Damour a ouvert un séminaire permanent entièrement consacré à la théorie des supercordes. Au Collège de France, Veneziano, récemment nommé, professe cette "nouvelle discipline". Il ne s'agit ni de mathématiques, ni de physique. Persnne ne sait où et sur quels critères classer ce délire schizophrénique, ces travaux qui n'ont jamais porté le moins fruit, expliqué quoi que ce soit en trois décennies. Vous lirez que selon Damour "l'univers est né d'une collision de Branes qui se sont repliées sur elles même selon des cordes cosmique, claquant comme des fouets (...)". Ailleurs Veneziano exprime sa conviction selon laquelle "l'univers, au tout début, était vide et presque sans interaction". C'est ... n'importe quoi et aucune voix ne se lève en public pour le leur dire.
Le blablatron tourne à plein régime.
Le roi est nu. Dans le séminaire de Damour et au Collège de France les propos ne sont que du vent. Tout cela ne produit rien, ne mène à rien. Ces théories ne sont que des impostures institutionnalisées. A l'inverse je dis et je prétends que le conception gémellaire de l'univers représente une avancée importante, explique pas mal de choses. Je serais prêt à tout moment à soumettre mes travaux aux feux croisés de la critique, pubiquement, à descendre dans n'importe quelle fosse aux lions.
Face ce à ce défi, maintes fois lancé, la réponse est ... une non-réponse, lâche et méprisante.
Cette théorie gémellaire est beaucoup plus qu'une "cosmologie alternative". Par exemple, ce modèle est le seul qui conduit à un modèle stable de galaxie spirale alors qu'aucun autre simulation n'y est parvenue en vingt années d'efforts infructueux ( François Combes, Lia a Atyanassoula ). Cela et neaucoup d'autres choses encore.
La cosmologie d'aujourd'hui se joue à coup d'ajustement de paramètres. C'est un bricolage en état de rafistolage permanent où on annonce tout tranquillement aux gens, non seulement que 97 % de la matière échappe aux observation, mais qu'on n'a pas la moindre idée de ce que pourrait être cette matière-là plus que fantômatique, mélange d'énergie noire et de matière sombre, avec un "soupçon de monopôles".
Ce que je propose est plus construit, plus clair, sans points d'ombre, sans ajustement ad hoc. Mais il ne me sera pas donné l'occasion de présenter cela devant des aéropages de Tartuffes dont on a l'impression de les entendre dire :
-Cachez cette science que je ne saurais voir.
Si la possibilité de pouvoir présenter des théories concurrentes disparaît, alors c'en est fini du jeu de la science, qui n'est plus qu'une messe lamentable, une assemblé de gens lâches, mais solidement unis et soigneusement organisés, à une échelle internationale. .
Aucun laboratoire n'est évidemment tenu d'accueillir quiconque dans son séminaire. Dans le cas de l'IAP ce qui est choquant c'est de voir son directeur, Laurent Vigroux, signifier une réponse négative par son silence, tout en maintenant dans le site de son laboratoire une page de critiques qui tend à jeter sur moi un discrédit scientifique. Cette attitude témoigne d'un mépris total vis à vis d'autrui et d'une totale malhonnêteté.
La chose ne date pas d'hier. Il y a trente ans je commençais à développer mes idées de suppression possible des ondes de chocs par la magnétohydrodynamique. Elles en agaçaient plus d'un. Un jour Patrick Iglesias, élève de Souriau et mathématicien me dit :
- Serais-tu prêt à venir défendre tes idées au CPT, au Centre de Physique Théorie que Marseille ? ( auquel il appartenait à cette époque ).
- Pas de problème. Tu prépares ta fosse aux lions et j'arrive.
Quelques semaines plus tard je le rencontre dans une rue d'Aix :
- Mes collègues m'ont dit que si nous t'invitions à parler en séminaire, ceci serait une cause de discrédit pour le laboratoire. J'ai protesté. Je leur ai dit " mais si vous pensez que les théories de Petit sont un tissu d'âneries, invitez-le et descendez-le, bon sang ! ".
Peine perdue. Le Mur du Silence se construisait déjà. Choqué, il a témoigné par écrit et sa lettre figure dans un de mes livres.
La partie est perdue. J'abandonne.
Je ne crois pas utile de multiplier les demandes en direction de séminaires comme celui du DARC de Meudon ( Département d'Astrophysique Rélativiste et de Cosmologie ), ou de l'Institut Henri Poincaré, ou de l'Ecole Normale Supérieure, pour que ceci se termine par le comportement le plus lâche et le plus méprisable : la non-réponse.
Je vais citer d'autres anecdotes à travers lesquelles vous pourrez vous forger votre propre opinion concernant le climat qui règne dans l'épistémospshère. En 1997 je venais de sortir chez l'éditeur Albin Michel mon ouvrage intitulé "On a perdu la moitié de l'univers". Il y eut un seul écho médiatique : un journaliste de France Culture brava l'omertà, l'interdit, en enregistrant à Paris trois entretiens successifs. A l'issue de ceux-ci il lâcha cette phrase, sur laquelle je vous demande de réfléchir :
- Je sais que cela me sera reproché...
En 2005 j'ai été invité par l'académicien Jean-Claude Pecker et l'astrophysicien Indien Narlikar ( président de l'IAU, International Astronomical Union ) à faire un exposé de mes travaux au Collège de France. Je savais que Narlikar avait été un élève de Fred Hoyel et qu'ensemble il avaient planché sur la possibilité que " les redshifts anormaux " puissent être dus au fait que les constantes de la physique puissent prendre des valeurs différentes dans certaines régions de l'espace ( ce que je crois ). J'avais donc demandé, par l'intermédiaire de Pecker, à ce que je puisse passer deux après midi avec L'indien avant de faire mon exposé. Je caressais l'espoir que nous aurions pu collaborer. J'avais été en effet un des pionniers des "modèles à constantes variables" en publiant dès 1988-1989 trois papiers dans Modern Physics letters A, au temps où Jean Audouze ( toujours à l'IAP ) était éditeur dans cette revue. J'avais en particulier en 88 été le premier à proposer un modèle où la vitesse de la lumière variait au fil de l'évolution ( idée qui a été par la suite reprose par João Magueijo. à travers un best seller international assex ceux intitlé "faster than th light " ( plus vite que le lumière, repris par les éditions Dunod ).
On trouverea des portraits de Moffat et de Magueijo dans Wikipedia à :
http://en.wikipedia.org/wiki/John_Moffat_%28physicist%29
http://en.wikipedia.org/wiki/Jo%C3%A3o_Magueijo
On ne trouvera mention nulle part de mes travaux de 1988- 1989, trois papiers publiés dans Modern Physics Letters A, introduisant pour la première fois ce concept de cosmologie et de physique à vitesse de la lumière variable ( la " VLS " ou " Variable Light Velocity " ). Comme Moffat et Magueijo sont liés à Lee Smolin, au Canada, j'augure mal de mes tentatives à venir de contyact avec Smolin ( " Rien ne va plus en physique" ). Des gens pourraient peut être tenter de rétablir la vérité en intervenant sur ce Wikipedia US.
Mais, très vite, Narlkar m'interrompit en me disant :
- Unfortunately, my dear collegue, I am also on the black list. ( Maheureusement, cher collègue, je figure aussi sur la liste noire ).
A travers cela vous réalisez d'un coup comment les choses ont évolué depuis plus de vingt ans. L'astrophysique et la cosmologie s'enfoncent dans des impasses. Plus le temps passe et moins les modèles collent aux observations, plus ils faut les rafistoler à coup d'ingrédients nouveaux, d'ajustements ad hoc de nombreux paramètres, en fait de mots dénués de la moindre signification, comme matière sombre, énergie noire, monopoles. Le discours, dixit Souriau, n'est plus qu'une scholastique creuse. On veut nous présenter comme des progrès ce qui ne sont que l'agonie d'un paradigme à bout de souffle. Mais en parrallèle des clans solidement organisés et unis ont peu à peu pris possession des revues, des enseignements, des médias scientifiques au nom d'une pensée unique, dénuée de la moindre consistance et cohérence. On trouve des Alain Riazuelo dans tous les pays, dont aucun ne laissera ne serait-ce qu'un souvenir dans l'histoire des sciences.
Tout cela est consternant, ennuyeux à périr. Dans Wikipedia une bande tient "le portail cosmologie". Ils créent des règles de sélection qui les arrangent. Dans la page BIG BANG ils ont imaginé que les ouvrages de vulgarisation dignes d'être mentionnés devaient émaner d'auteurs "qui avaient au moins dix publication dans des revues à comité de lecture et avaient été au moins cités dix fois". Un lecteur tenta de faire figurer ma bande dessinée Big Bang dans la liste, qui fut prestement viré par Riazuelo lui-même trente minutes plus tard, alors que cet ouvrage n'est que l'adaptation fidèle, en BD de l'excellent ouvrage du prix Nobel Steven Weinberg "les trois premières minutes". A travers cela vous voyez que ces gens ne cherchent nullement à faire en sorte que les gens puissent apprendre des choses dans cette encyclopédie. Ils en prennent possession, s'étalent, s'entrecitent.
Il existe dans les bibliothèques des observatoires un ouvrage qui est un grand classique. Son titre " atlas de galaxies irrégulières". Auteur : Halton Arp. Pendant toute sa carrière celui-ci s'ingénia à traquer les objets les plus insolites du cosmos : les galaxies les plus distordues. A propos de ces dernières l'astrophysicien célèbre Sir James Jeans disait :
- Quand on voit des galaxies aussi désarticulées on ne peut s'empêcher de penser que ces structures sont dues à l'action de forces colossales, dont nous ignorons tout
Exact, je pense personnellement que tout cela est dû à l'action du jumeau sur notre univers. La galaxie irrégulière est le pendant du quasar, coeur d'une "galaxies active", dite "de Seyfert". Quand le "corset" de matière gémellaire assurant le confinement de la galaxie se "durcit", une onde de densité nait au sein du gaz interstellaire, qui converge vers son centre géométrique. Au passage elle fait naître de nouvelles étoiles qui, émettant dans l'UV, chauffent la matière interstellaire qui, ainsi illuminée devient visible. Dans une telle configuration cet anneau de gaz ionisé emporte avec lui les lignes de champ du (faible) champ magnétique de la galaxie, comme un agriculteur serre des épis dans une botte. Ce faisant, ce champ se renforce. Quand la masse gazeuse se rassemble au centre géométrique de la galaxie, les conditions de Lawson sont atteintes d'un coup. On obtient une super-étoile, dont le diamètre est celui du ... système solaire, qui émet alors autant que la galaxie toute entière et qui n'est auqtre qu'un quasar, qui émet du gaz ionisé calalisé par les lignes du champ magnétique, ce qui donne naissance à deux dards de plasma, deux "lobes". Comme le champ décroît au fur et à mesure qu'on s'éloigne de la galaxie ces structure magnétiques se comportent comme des accélérateurs de particules géants, de 100.000 années lumière de long, qui produisent ... les rayons cosmiques.
A l'inverse, quand le "corset" se relâche, la galaxie se défait. J'avais évoqué cette idée il y a dix ans dans mon livre " On a perdu la moitié de l'univers". Mais tout cela me lasse. Je laisse le terrain aux Riazuelo de tous poils puisqu'il est impossible de débattre avec de tels "experts" qui prennent la poudre s'escampette dès qu'on les invite dans le champ clos.
Quels que soient ses beaux discours, Monsieur Alain Riazuelo n'est rien d'autre qu'un lâche qui refuse le face à face public, filmé, avec son adversaire
Arp avait aussi détecté des ensembles de galaxies qui contredisaient la sacro-sainte loi de Hubble. La plus proche avait une vitesse de récession plus élevée, alors que cela aurait du être l'inverse. Finalement les Riazuelo américains se réunirent. La conspiration se révéla efficace. Le vieux lutteur reçut son tesson d'ostracisme. Il fut interdit d'accès aux téléscopes, aux grands instruments et déporté à l'université de New York, en dépit des nombreuses lettres de protestations qui affluèrent à Pasdena. Aux Etats-Unis comme en France les imbéciles et les médiocres sont hélas nombreux et puissament organisés. Et hélas on ne peut pas y faire grand chose.
En conclusion, la bande qui gravite autour d'Alain Riazuelo pourra continuer d'installer sur Wikipedia une nouvelle orthodoxie, autoproclamée, sans véritables résultats tangibles, sans véritable modèle, où on discutera à perte de vue sur les pourcentages respectifs de l'énergie noire, de la matière sombre et de la matière visible. Comme l'ont noté maints observateurs, la liberté de telles encyclopédies est totalement illusoire. Il suffit qu'un nombre suffisant d'individus décident d'imposer telle ou telle vision des choses pour celle-ci acquière force de loi, faute d'opposants en nombre suffisant.
Laurent Vigroux, directeur de l'Institut d'Astrophysique de Paris ne prendra pas la peine de répondre à ma demande de séminaire-droit de réponse. Je tiens le pari à cent contre un. Dans le monde de la recherche en tant que trait de caractère dominant, l'intégrité cède le pas devant t la lâcheté. Quant à la critique installée dans le site de ce laboratoire, rédigée par Alain Riazuelo, qui jette sur moi un grave discrédit, sans qu'il me soit donné la possibilité d'y répondre selon les lois de notre milieu scientifique, en séminaire, elle perdurera sans limitation de temps.
http://www2.iap.fr/users/riazuelo/cosmo/jpp/p2.html
Candide cultivait son jardin. Je vais me remettre à la bande dessinée. En projet " le carnaval de la science ", entre autre
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Post Scriptum :
Pas mal de lecteurs m'écrivent pour me signaler, ce qui a fait l'objet de plusieurs articles dans la presse internationale, la dérive croissante de Wikipedia " contrôlé par ses mille adiministrateurs". Comme je l'ai déjà dit, le mal dont souffre cette "encyclopédie libre" vient du recours systématique à l'anonymat. Dans les faits ceci a permis à une légion de médiocres désoeuvrés de s'emparer avec facilité de ce merveilleux outil. Au départ les concepteurs on attribué à certains utilisateurs le statut " d'aministrateurs" en leur donnant tout pouvoir pour bloquer les comptes de certaines personnes, sous prétextes de "vandalisme". Le problème est que, progressivement on a confondu le "vandalisme" avec le fait de ne pas être d'accord avec la "majorité wikipédienne". Or de quoi se compose cette majorité agissante ? Simplement de ceux qui ont le temps de passer cinq et parfois dix ou douze heures par jours à intervenir dans ces pages. On ne sera pas étonné ainsi d'apprendre que nombre d'administrateurs sont des chômeurs, de "bons à rien, mauvais en tout", comme écrivait jadis Pagnol dans "César", qui ont trouvé là un substitut d'ctivité professionnelle, un dérivatif, un passe-temps comme un autre.. Des secteurs, de simples pages, des portails sont ainsi tenus par des bandes. Un exemple est le portail " Cosmologie ", tenu par la bande dont Alain Riazuelo fait partie et qui compte dans ses rangs les astrophysiciens Alain Blanchard et Jean-Pierre Luminet. Le but n'est nullement dans cette "encyclopédie libre" de mettre à la disposition des lecteurs l'éventail des différentes théories mais d'imposer, en fonction de critères qui les favorisent, les vues d'une oligarchie scientifique. Ces scientifiques sont activement secondés par des administrateurs à leur solde qui censurent, interdisent, effacent, comme le nommé "manchot", qui s'en vante mais qui menacec de poursuite quiconque s'aventurerait à apporter, en publiant son "mail privé" le preuive de ses manipulations malhonnêtes des archives de discussion sous prétexte de "remise en ordre". Un ... pauvre type, un nul, un médiocre investi par des imbéciles du même gene d'un pouvoir exorbitant de censeur, qui lui montre à la tête : lui, l'obscur, le sans-compétence, sans le moindre état de services, censurant les écrits d'un homme de talent ! Quel pied !
Un de mes lecteurs, scientifique, m'écrivait ainsi qu'il avait vainement tenté de mentionner sur les pages discussion de la page " Big Bang " de simples interprétations alternatives ou d'attirer l'attention sur différents pans des données observationnelles, considérées par d'autres comme gênantes ( par exemple une certaine anisotropie cosmique ). Ses propos n'ont pas été critiqués, contredits mais carrément ... effacés, quelques minutes après.
Wikipedia voulait être une structure démocratique. C'est devenu le champ clos de l'expression de gens à qui lueur disponibilité, en temps, soit la leur, soit celle de ceux qui relaiente leur conformiste sectaire permet d'être majoritaires. Très vite leurs contradicteurs baissent les bras, leur laissent le champ libre.
Récemment un journaliste américain, en radio, voulant montrer les limites de la formule suggéra à ses auditeurs de répandre, dans cette encyclopédie, le bruit selon lequel, pour une raison inconnue, le nombre des éléphants aurait triplé au cours des dix dernières années. L'effet s'avéra foudroyant, au prix de seulement 300 interventions. La chose ayant été signalée par voie de presse, les administrateurs bénévoles de l'encyclopédie eurent fort à faire pour bloquer aussitôt les comptes des 300 "vandales" . Wikipedia compte en tout quelques mille "administrateurs", dotés de tous les pouvoirs, celui de bloquer, d'interdire comme, dans mon propre cas de "bannir à vie" par simple vote d'une douzaine d'anonymes de passage (...). Ces gens se recrutent par cooptation; Aucune compétence n'est requise. . Ne cherchez donc pas "quels sont les responsables de Wikipedia". Il n'y en a pas, il n'y en a plus. Les nouveaux venus ont même "démocratiquement" voté l'exclusion définitive des concepteurs-fondateurs de l'outil. Avec le temps ce groupe a été envahi par une cohorte des plus médiocres. Si cette encyclopédie, du fait des services qu'elle rend, est devenue une véritable institution elle souffre maintenant de cet envahissement, de cette main-mise. Le "vandale" est simplement celui qui n'adhère pas aux position du groupe dominant. Des chiens de garde, au service de idéologues du sujet abordé sont là pour harceler les contestataires jusqu'à entraîner leur lassitude ou provoquer une réaction d'agacement qui, les poussant à la faute, qui permettra de ... les bannir à vie (...). Ca là est le but recherché : acquérir le pouvoir, étaler des vues "dominantes", faire le vide autour d'eux; créer une "orthodoxie auto-proclammée" qu'on essayera de faire passer pour le signe d'un "progrès" et d'une "vérité en marche", "d'avancées brillantes" . . Les statut des ces anonymes chiens d'attaque leur permet de proférer des propos agressifs, méprisants, diffamatoires, qui seront par la suite ... effacés par les gestionnaires administrateurs, sous prétextes de "remise en ordre des archives des débats". Tels sont les rôles dévolus à des êtres issus de la nébuleuse du virtuel comme "84K", "manchot" et bien d'autres.
Qui a mis en place les gérants d'un portail ou d'un autre, qui leur a donné le droit d'y faire la loi ? Mais... eux-mêmes, tout simplement ! Ils créent donc des règles de sélection qui les favorisent, en inventent d'autres au fur et à mesure, en fonction de leurs besoins
Sur le plan scientifique il resterait l'affrontement dans la " RL " ( nom de code donné par ces internautes à la " Real Life ", à la " Vraie Vie ", qu'ils fuient comme la poste. Ce sont êtres dont a vie se replie dans le virtuel, phénomène du temps. Même la vérité est devenue ... virtuelle ! ). Mais dans le champ du réel, soudain, plus personne. S'il n'y avais pas, dans mon cas, les colonnes de mon site pour dénoncer l'invraisemblable lâcheté d'intervenants comme Alain Riazuelo, chargé de recherche au Cnrs, et celle de son camarade-directeur, Laurent Vigroux, dans quel cadre ceci pourrait-il être dénoncé ? Aucun.
L'Académie des Science ne reçoit pas les plaintes pout infractions scientifiques.
On en est là, et à ce stade on peut parler d'une véritable dictature virtuelle , un état de fait, une totale dérive graves et dommageables. Vous avez pu voir comment les tenants de cette dictature virtuelles se débrouillent pour esquiver lâchement tout face à face.
Même ma science de notre temps est devenue ... virtuelle :
Sur le plan scientifique cet état de fait prolonge l'envahissement des revues de publication par des groupes de pression, ce qui est connu de tous. Point n'est besoin de se demander pourquoi l'univers de la science fondamentale a été déserté par les idées réellement innovantes. Ce n'est pas moi qui dit cela, c'est le mathématicien Jean-Marie Souriau : après la seconde guerre mondiale un système d'expertise par referees anonymes a été généralisé dans les revue, à échelle internationale. L'idée allégué était de garantir aux experts sollicités leur indépendance de jugement. Dans les fait ceci a permis à des "réseaux d'experts auto-proclammés" de pouvoir publier à leur guise et d'entraîner à leur suite leurs élèves. S'est ainsi instauré un clientèlisme redoutable, sans le moindre recours, qui a fini par entraîner une auto-censure, l'auteur ou les auteurs se disant " non, inutile d'envoyer ce travail, il ne passera jamais ". Le fondamental est devenu le royaume d'une médiocratie hallucinante, la "théorie des supercordes", totalement stérile, étant le fer de lance de cette "non-science".
Je vais donner un exemple. J'ai publié deux articles d'un certain volume dans deux revues : Nuevo Cimento (1994) et Astrophysics and Space Science (1995). Savez-vous combien de tentatives j'ai du faire pour obtenir un tel score ?
Cent trois
J'avais tenu un temps le journal de ces tentatives de publications qui provoquaient en général des réponses standard, hâtivement rédigées, sans lecture, dans le genre :
Sorry, we don't publish speculative works
C'est à dire " désolé, nous ne publions pas de travaux à caractère spéculatif ". Par miracle, parfois, on parvient à passer entre les mailles de ce filet, de plus en plus serré. En fait le referee ne lit pas le travail soumis à son expertrise. Il regarde simplement si le ou les signataires figurent "dans la liste des membres du club", auquel lui-même appartient. Le second critère est " cite-il bien tous les membres de sa fratrie ?", citation qui, par le bien d'un référencement automatique entraîneront la montée de la cote des collègues cités. Si ces signaitaire son " in " ils pourront publier à tour de bras.
Je te publie... tu me publies... je te cite.... tu me cites....
C'est aussi simple que cela. Il resterait "la science à l'ancienne", à travers les séminaires, l'explication "franche et loyale" entre individus dont les avis diffèrent. Le champ clos, mano a mano. Mais là, vous avez vu comment les choses tournent. Car ce vous garantis que sur le sujet proposé, la géométrisation du modèle de Sakharov", si je m'étais retrouvé face aux "éminences grises" de l'Institut d'Astrophysique, soit j'aurais soit parlé devant des visages fermés ( comme il y a six ans ) , soit en cas de contestation j'aurais vite fait de mes contradicteurs de la pâté pour chats ( et c'est parce qu'ils le savent pertinemment qu'ils ont soigneusement esquivé ce face à face ). .
D'autant plus que comme cette prestation aurait fait figure de droit de réponse vis à vis d'attaques largement étalées au sein d'un large public le séminaire aurait été filmé, puis diffusé in extension sur le net.
J'en reviens à mon correspondant, me signalant un nième disfonctionnement de la "machinerie Wikipedia", passant même pas l'effaçage pur et simple, d'autorité, de l'intervention, dans la page d'archive. je suggère à ces gens de créer quelque chose comme :
http://www.dictaturevirtuelle.com
site dans lequel ils pourraient enregistrer les preuves de tels manquement à l'éthique. Et, pourquoi pas un forum, avec des gens qui, pour changer, s'exprimeraient sous leur véritable identité ?
Si vous ne vous bougez pas. Si vous ne vous regroupez pas, mes braves amis, rien ne se passera.
Je ferais mention d'un tel site dans le mien. Si un nombre suffisant d'internautes exprimaient leur malaise, ceci pourrait faire tache d'huile. Comment ? Je n'en sais rien. Commentg imaginer qu'un recours soit possihble quand on lit par exemple qu'Alain Riazuelo .. figure dans Wikipedia au sein d'un groupe ayant fonction d'arbitrage !
Des arbitres qui se désignent eux même.....
13 décemble 2006 : J'ai jeté un oeil à la page " Jean-Pierre Petit " sur Wikipedia. Les débats se poursuivent entre " pro-Petit " et " anti-Petit" ( ces seconds, comme 84 K restant prudemment couverts par un pseudonymes leurs assurant l'anonymat et masquant soigneusement les limites étroites de leurs compétences). Mes travaux de cosmologie sont toujours qualifiés " d'ébauche de modèle". On se demande alors quel qualificatif il conviendrait d'employer pour qualifier des édifices comme l'inflation, l'analyse du CBR, la détermination des pourcentages respectifs d'énergie noire, de matière sombre et de matière visible ( sans oublier un soupçon de monopôles, bien entendu ). Cette science est décidément devenue totalement ubuesque.
J'avais, dans la page discussion, au temps où j'y avais encore accès, n'ayant pas été "banni à vie". Lire ici les discussions ayant présidé à cette dccision de "blocage à vie" :
indiqué, en fournissant des éléments, comment j'aurais souhaité voir composer cette biographie, sur le mode purement factuel ( " just facts" ). J'avais mis une phrase du style "Jean-Pierre Petit se plaint de l'asbsence d'opportunité qui lui est donné de pouvoir présenter ses théories en séminaires, en dépit des nombreuses demandes qu'il a formulées en ce sens". Cette phrase trouve actuellement un écho des plus évidents quand on considère le mur de silence opposé depuis le 10 octobre 2006 par l'Institut d'Astrophysique de Paris à ma demande de séminaire, d'autant plus légitime que le site de ce laboratoire héberge depuis cette date une critique rédigée par Alain Riazuelo à laquelle, de facto, il ne m'a pas été possible de répondre dans les formes en usage dans la profession, c'est à dire en séminaire, en en public. Je m'étonne que dans ces discussions il ne s'élève aucune voix pour interpeller le nommé Riazuelo en lui disant :
- Trouvez-vous normal que votre critique des travaux de Jean-Pierre Petit, qui tend à le discréditer scientifiquement et socialement, soit toujours en place sur le site de votre laboratoire, que celui-ci fasse la sourde oreille à sa demande légitime de demande d'explication publique entre vous, en séminaire ( puisque la critique, via le net, a été accessible à des milliers d'internautes ). Trouvez-vous cette situation licite, normale ? Trouvez-vous déontologiquement acceptatble que la direction de l' IAP, du laboratoire auquel vous appartenez :
- Ne donne pas suite à la demande de séminaire de J.P.Petit
- Maintienne dans le même temps, dans son site, ce texte, de votre main, qui tend à le discréditer scientifiquement, faisant de vous le complice d'un tel discrédit ?
Trouvez-vous votre comportement de chercheur compatible avec les normes éthiques de la profession. Votre actuel comportement vous parait-il en accord avec ce qu'on pourrait appeller un certain sens de l'honneur ?
Quand je relis ces pages "discussion" l'ai vraiment l'impression que c'est ... n'importe quoi. Cela donne une impression désastreuse du niveau de ces "débats". Il suffit de se référer aux échanges entre adminstrateurs ayant préludé à mon " banissement à vie " pour se faire une idée du niveau et du profil psychologique de ces gens ( de jeune blanc-becs désoeuvrés et sans expérience, ravis de pouvoir lapider un aîné en toute impunité, plus un anar-soixante-huitard sur le retour, jouant avec complaisance un rôle de gourou du virtuel. Allez vérifier tout cela sur leurs "parges perso") . C'est simplement ... consternant.
Reçu le 19 janvier 2007 :
Comme M. Thibaud Damour, monsieur Alain Riazuelo préfère répondre à des lecteurs. J'ai reçu en copie la réponse qu'il a adressé je 16 jabvier 2007 à Damien Dijon, de Belgique :
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Mon commentaire :
Quand on est face à un personnage aussi arrogant que je le suis, on décider de lui régler son compte une bonne fois pour toutes, en public. C'est chose faisable, à tout moment. La meilleure chose serait de conserver une trace de cette correction en vidéo, puis de la diffuser largement, pour montrer au maximum de gens la défaite du prétentieux mythomane.
J'ai proposé à M. Riazuelo, et à travers lui à toute cette "communauté" des astrophysiciens et des cosmologistes français un séminaire en bonne et due forme sur le thème "géométrisation du modèle de Sakharov". Si je suis conforme à l'idée qu'il entend donner de moi, alors un tel séminaire devrait consacrer ma déroute complête. Soit d'éminents membres de cette communauté me montreraient des erreurs, dans le domaine de la physique mathématique, soit ils illustreraient la stérilité d'une telle démarche. Je suis tout à fait prêt à prendre ce risque.
Contrairement à ce que dit M. Riazuelo je ne cherche pas une sortie, mais plutôt une ... entrée pour réussir à me faire entendre dans une communauté aussi fermée qu'un huître.
Au passage, je viens d'essuyer un nouveau refus, vis à vis d'une demande de séminaire. Le domaine est alors celui de l'égyptoogie. L'égyptologue Jean-Pierre Adam, directeur de recherche au Cnrs, en poste au département d'égyptologie du Louvre, était venu assister à la conférence que j'ai donnée le 17 janvier au Palais de la Découverte, qui s'est achevée par une sortie mémorable de sa part, entièrement filmée. Suite à cette flambée où, en guise d'arguments la seule chose qu'il ait trouvé a été d'évoquer mon intérêt immodéré pour les visites d'extraterrestres, ce qui nous éloignait passablement du sujet du sujet, je lui ai demandé s'il me serait possible d'exposer ma théorie en séminaire, au département d'égyptologie du Louvre. voici sa réponse :
- Non. Nous n'entendons pas en séminaire des gens irrationnels.
- Mais en quoi suis-je irrationel ?
- Vous transposer dans l'Egypte antique des utilisations modernes du levier (...)
Simple remarque : on est aujourd'hui le 21 janvier 2007. Thibaud Damour n'a pas répondu à ma lettre, où je lui demandais d'expliciter la critique pleine de mépris qu'il envoyait au sujet de mes travaux. Comme Riazuelo, il a à coeur de répondre aux mails de lecteurs, mais se garde bien de répondre à mes envois. Comme celui-ci et comme Jean-Pierre Bourguignon, directeur de l'Institut des Hautes Etudes de Bures sur Yvette, ce "spécialiste des collisions de branes" opte pour la voie de la lâcheté. Avec le temps j'enverrai notre dernier travail " géométrisation du modèle de Sakharov" aux responsables des séminaires des différents laboratoires spécialisés et vous verrez que la réponse sera la même : une ... non-réponse. Je hausse le ton.
There is something rotten in the kingdom of theoretical physics
Depuis des décennies, la discipline est en pleine dérive. La théorie des supercordes est au coeur des efforts pathétiques de ces gens d'obtenir un résultat non seulement nouveau, mais simplement tangible. Champion de la supercorde, Damour vante les mérites d'une démarche qui n'a jamais rien produit, ne produira jamais rien et n'est qu'une incroyable escroquerie intellectuelle et scientifique. A l'inverse, moi j'ai quelque chose de fécond à dire, à proposer à soumettre à la critique et vous constatez au fil des mois qui passent qu'il m'est impossible d'exposer ce travail en séminaire. Est-ce parce que travail est par trop inconsistant ou, selon le qualification de Damour "trivial" ? Non pas. Je pense que je n'aurais aucun mal à l'imposer devant un auditoire de physiciens théoriciens, de spécialistes de cosmologie, de mathématiciens ou les trois réunis. Mais le brio de ce travail ferait ressortir, par contraste la vacuité ou la pauvreté des leurs. S'il réagissaient agressivement j'aurais raison d'eux, sans avoir à élever la voix et ils le savent.
Quelques lecteurs sont agacés par ce qu'ils confondent avec des réglements de compte et préfèreraient "que je leur raconte de belles histoires, que je les fasse rêver ou que je leur présente de nouvelles bandes dessinées scientifiques". C'est qu'ils ne comprennent pas l'enjeu. Je ne me bats pas pour moi mais pour tous. Je me bats contre l'imposture, mais aussi pour l'éthique, pour l'intégrité intellectuelle et scientifique, contre une dérive grave de la pensée.
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