Le site du colloque ( 2-7 sept 2013 ):

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Titre de la communication :

 

An alternative model, explaining the VLS, due to the gravitational interaction of two populations,
one composed by positive mass and the second by negative mass.

Jean-Pierre Petit        Gille d’Agostini

Abstract :

Negative mass arise naturally from dynamic groups, as shown in 1972 by the french mathematician Jean-Marie Souriau. The Poincaré group acts on the movements in the Minkowski space, for which it is the isometry group. It acts also on the momentum, set of scalars, whose number is equal to the group’s dimension (ten). The elements of Poincaré’s group belong to two subsets. Souriau called the first orthochron, because it does not revert time, by acting on the movements. He calls the second one antichron, because its elements transforms a movement orientated past-to-future into a movement orientated future-to-past. In 1972 Souriau demonstrated that these movements refer indeed to negative energy-bearing particles (and negative mass, if they have one). These negative particles radiate negative-energy photons which cannot be seen by our eyes or detected by our telescopes. Further there is no theory available describing the electromagnetic interaction between particles of opposite mass and energy. Coexistence is therefore possible without mutual annihilation. Under these conditions the only possible interaction between them is gravitation. Two particules of the same sign attract each other through Newton law. Two particles of opposite signs repel each other through « anti-Newton » law. The two populations tend therefore to separate from each other as being illustrated by computer simulations. Further, if the negative mass is larger, for a given density, their Jeans’ time is shorter. This creates clusters which repel matter in the remnant space, the whole forming a stable system. Cells are like prisons for clusters, by preventing them from interaction with others clusters,  and these clusters act as anchors, with respect to the positive matter structure, shaped like joint soap bubbles. In 3d we get a distribution of positive matter which explains the VLS. In additionthis model provides a new insight on the galaxies’ birth mechanism, promotingan effective radiative cooling of the positive mass matter, compressed inslates, which would enable the formation of proto-galaxies. On the opposite
negative-mass clusters could have cooling times greater than the age of the universe.


 

Un modèle imputant la structure à grande échelle de l'univers à l'interaction de deux populations,
l'une constituée de masses positives et l'autre de masses négatives.

Jean-Pierre Petit          Gille d’Agostini

 

Abstract :

Les masses négatives émergent naturellement à partir des groupes dynamiques, comme l’a montré le mathématicien français Jean-Marie Souriau en 1972. Le groupe de Poincaré agit sur les mouvements qui s’inscrivent dans l’espace de Minkowski, dont il est le groupe d’isométrie. Il agit aussi sur le moment, ensemble de scalaires dont le nombre est égal à la dimension du groupe (dix). Les éléments du groupe de Poincaré se répartissent en deux sous-ensembles. Souriau a appelé le premier orthochron, parce qu’il n’inverse pas le temps, en agissant sur les mouvements. Il appelle le second antichron, parce que l’action de ses éléments transforme un mouvement orienté dans le sens passé-futur en un mouvement orienté dans le sens futur-passé. En 1972 Souriau a montré que ces mouvements se référaient en fait à ceux de particules dotées d’une énergie (et d’une masse, quand elles en possèdent) négatives. Les particules d’énergie et de masse négative émettent des photons d’énergie négative, qui ne peuvent être captés par nos yeux ou nos télescopes. Par ailleurs il n’existe pas de théorie décrivant l’interaction électromagnétique entre des particules de masses et d’énergie opposées. La cohabitation est donc possible, sans annihilation mutuelle. Dans ces conditions la seule interaction envisageable est la gravitation. Des particules ayant des masses de même signe s’attirent, selon la loi de Newton. Des particules possédant des masses de signes opposés se repoussent, selon « anti-Newton ». Les deux populations tendent donc à se séparer. On illustre ceci par des simulations effectuées sur ordinateur. Si en outre les masses négatives sont plus élevées alors, à nombres de densité égaux, les temps de Jeans de cette population sont plus courts. Celle-ci produit les clusters qui repoussent la matière positive dans l’espace résiduel. Ce système est stable. Les cellules constituent des prisons pour les clusters, en les empêchant d’interagir entre eux et, vis à vis de ces cellules, semblables à des bulles de savon jointives, ces clusters se comportent comme des ancres. On obtient en 3d une répartition de matière positive qui explique la VLS. En outre, cette évolution favorise le refroidissement radiatif de la matière positive, comprimée selon des plaques, ce qui favoriserait la formation de proto-galaxies. A l’inverse les clusters de matière négative pourraient avoir des cooling times dépassant l’âge de l’univers.

 

La communication ( présentation orale de 15 minutes le mardi 1° septembre dans une session de physique mathématique ) était limitée à quatre pages. Pour télécharger cette communication en pdf

Communication en Physique mathématique au colloque de Prague, septembre 2013