13
mai 2022
Des "TROUS NOIRS GEANTS" qui sont en fait des "PLUGSTARS"
Dans une récente vidéo j'ai présenté notre théorie alternative à la théorie des trous noirs ( inconsistante mathématiquement ). Le modèle des trous noirs est en effet fondé sur une erreur d'interprétation de la solution trouvée en 1916 par le mathématicien allemand Karl Schwarschild, interprétation qui comporte son lot d'absurdités, entre autre : "A l'intérieur du trou noir la coordonnée de temps devient r, tandis que t devient une coordonnée d'espace". En reprenant cette analyse émerge une autre modélisation, quand la masse d'un objet devient telle qu'elle entraîne sa mutation. Nous montrons qu'au centre de l'objet la masse en excès s'inverse. Cette masse négative, dès lors repoussée par l'objet, est violemment éjectée hors de celui-ci et va se perdre dans le cosmos. Elle traverse l'objet hyperdense sans problème, n'interagissant plus avec lui que de manière (anti) gravitationnelle. Cette éjection de masse en excès, extrêmement rapide, se poursuit jusqu'au retour vers un état de masse sous-critique. Celle-ci produit alors un effet de redshift gravitationnel de 3.
Si c'était un trou noir, ce phénomène de redshift gravitationnel serait infini : c'est à dire que son centre son centre serait parfaitement noir. Le dessin ci-après montre le rougissement des photons, quittant péniblement la "sphère horizon" et qui, au final perdraient toute leur énergie.
Le "trou noir" et son effet de redshift gravitationnel infini.
Tout objet massif produit cet redshift gravitationnel, y compris le Soleil, effet qui est alors négligeable Quand la masse en excès a été éliminée l'objet devient alors un "PLUGSTAR", qui se situe juste au ras de la criticité. Si celui-ci capte par la suite un nouvel apport de matière, celle-ci sera automatiquement éliminée, toujours par inversion et éjection, de la même façon qu'un chasse d'eau élimine par sa bonde central l'eau qu'on se hasarderait à y déverser.
Avec l'éjection de masse par inversion l'objet devient alors juste sous-critique (cette masse s'ajustant automatiquement à 0,838 fois la classique "masse de Schwarzschild" (qui est censée transformer l'objet en trou noir). L'effet de redshift gravitationnel correspond alors (schématiquement) à ceci :
Effet
de redshift gravitationnel pour un PLUGSTAR ( "sous-critique")
En quittant l'objet les photons perdent de l'énergie, mais leur longueur d'onde s'accroît d'un facteur 3 (la température de brillance de la partie centrale de l'objet est divisée par 3). Voici quelle serait (en fausses couleur) l'image d'un tel objet, s'il ne tournait pas :
Image
d'un plugstar sphérique (qui ne tourne pas)
Comparez maintenant aux deux images disponibles : A gauche celle du quasar situé au ceoeur de la galaxies M-87 et à droite celle de l'objet situé au centre de notre galaxie la Voie Lactée :
Loin des objets la température de brillance est proche de zéro. Pour M-87 le rapport des températures maximale et au centre de l'objet (redshift gravitationnel), modulo les incertitudes des mesures, est de 5,6/1,8. Pour Sgr A on trouve 13/4. Ces deux rapports sont voisins de 3. Ce ne sont donc pas des "trous noirs géants" mais des "PLUGSTARS".
Cette
observation confirme ce qui avait été annoncé dans ma
vidéo à 1 heure 15 minutes.
" Il
y aura à l'avenir d'autres clichés correspondant à d'autres objets de ce type (comme celui situé au centre de la Voie Lactée) et nous conjecturons qu'il auront tous un redshit de 3"
Explications en remontant à 1 heure 03 minutes 45 secondes.
En anglais "plug" signifie "bonde". Le dessin ci-après est une image d'un tel mécanisme.
Il y aura d'autres images de "trous noirs" ("géants" ou "stellaires").
Nous prédisons qu'ils feront tous montre d'un redshift gravitationnel ne dépassant pas 3.
Ce sera le cas des résidus de fin de vie d'étoiles massives, sous forme de supernovae. Mais les étoiles de très fortes masses (jusqu'à 200 masses solaires) ont un autre destin et donnent des objets résiduels totalement différent.
Les objets situés au centre des galaxies ne sont pas issus de l'accrétion de plusieurs résidus de supernovae. Il résultent de fluctuations conjointes des métriques qui provoquent la naissance d'ondes de densité centripètes qui, se focalisant au centre des galaxies, donnent naissance à un quasar. L'objet de M-87 est "actif", ce que signale la présence de ses deux jets d'émission de plasma.
L'un des deux lobes d'émission du quasar de M-87. N'est visible que celui qui est dirigé vers nous,
l'autre est "redshifté" par effet Doppler. La turbulence de cette émission possède une explication.
L'objet situé au centre de la Voie Lactée est un résidu de quasar. Si des fluctuations de métriques suffisamment intenses se produisent, il pourra se trouver momentanément réactivé. A chaque fois que c'est le cas, l'objet évacue la masse en excès par son inversion et son éjection. La galaxie de Hoag (constallation du serpent, découverte en 1950) possède une onde de densité centripète qui, sa course achevée, donnera naissance en son centre à un quasar dans ... une centaine de millions d'années :
Galaxie de Hoag
Ce phénomène est semblable à un tsunami. Lorsque cette masse de gaz se rassemble au centré, la densité croit et la température dépasse les mille milliards de degrés. Toute la masse est alors le siège de réactions de fusion et l'objet émet alors plus d'énerie que toutes les étoiles de la galaxie. Au passage l'anneau de gaz, sous forme de plasma, rassemble les lignes du faible champ magnétique de la galaxie, à la manière d'un moissonneur rassemblant des épis de blé. Ce faisant l'intensité du champ s'accroît, par conservation de flux, et atteint 1000 teslas. Ce champ dipolaire contraint alors les produits de fusion à s'éjecter selon deux lobes, diamétralement opposés . Comme au sein de ceux-ci le champ va décroissant les particules sont accélérées, et cet "accélérateur naturel des particules" donne ainsi naissances au "rayons cosmiques".
Combien de temps s'écoulera-t-il avant que la communauté des spécialistes, et les journalistes
(en particulier scientifiques) , ne réagissent au contenu de cette page ?