Rapport d'activité 2021-2022 :

 

Jean-Pierre Petit

Président de l’association Support Janus

Jppetit1937@yahoo.fr

9 septembre 2022



L’année 2022-2023 va commence et il convient de dresser un bilan, de faire le point.

Il y a des information extrêmement positives et d’autres moins agréables.

En cosmologie je dirais que la bataille est déjà gagnée, pour le moment dans une situation de victoire par forfait. En 2021 j’ai tenté de placé un article de fond sur le modèle Janus dans la revue qui représente la forteresse en matière de cosmologie, d’astrophysique théorique et de physique théorique : Physical Review D.

Au terme d’un combat de plusieurs mois le bureau éditorial de la revue, en la personne de celui parmi ses membres qui était censé gérer les papiers ayant trait à la cosmologie, a exprimé le refus définitif de soumettre l’article à un referee.

Dans l’année qui se présente maintenant je vais repartir à la charge avec ce papier.

Quel est l’argument auquel se réfèrent ceux qui refusent de soumettre un article à ses experts. Il se résume à :

Au niveau français, le blocage se centre sur l’article mis en janvier 2019 par l’académicien Thibault Damour sur sa page de l’IHES1 (à partir de mon site2)

En 2014 j’ai publié un article où se trouvait pour la première fois présenté la première version du système des deux équations de champ couplées Janus (voir l’annexe 1). Dans celui-ci subsistait un défaut : l’impossibilité de décrire la géométrie à l’intérieur des étoiles. Mais début 2019 je venais de résoudre le problème en publiant un article où « les tenseurs d’interaction » prenaient alors précisément la forme requise pour que tout rentre dans l’ordre. J’ai aussitôt répondu à Damour en lui montrant que son article était devenu sans objet. Je lui ai même demandé d’ajouter à la fin de son article un lien vers ce papier intitulé :

« Physical and mathematical consistency of the Janus Cosmological Model3 »

Sans obtenir de réponse. Même chose en lui envoyant le détail des calculs4 associés à ce papier. Tout porte à croire qu’il n’a tout simplement rien lu de ce que je lui ai envoyé et ne lira rien, pour des raisons évoquées par Jean S dans l’échange téléphonique dont j’ai fait état dans mon site Internet5. Pour comprendre où se situe le problème, voir l’annexe 1.

Le modèle Janus apporte des réponses solides aux problèmes sur lesquels butent l’astrophysique et la cosmologie, en particulier vis à vis de questions où il est le seul à fournir une réponse :

Les spécialistes français (J.P.Luminet, J.P.Uzan. F.Combes et d’autres) répondent invariablement aux spectateurs de leurs conférences ou aux lecteurs de leurs livres « qu’il n’existe pas de modèle théorique cohérent mêlant masses positives et masses négatives dans un même modèle cosmologique ». Et d’ajouter « qu’un spécialiste en qui ils ont toute confiance a montré l’incohérence des travaux prétendant aller dans ce sens ».



Bien sûr, aucun n’y est allé voir de près, ce qui fait que cet article de 2019, devenu

sans objet, se comporte comme un mur vis à vis de tout progrès de ces disciplines.



Fin 2021, voyant cela, je me suis dit :





Les résultats se sont accumulés extrêmement rapidement. Ils sont de différents ordres. La construction mathématique du modèle est entachée par une succession de combines, d’artifices (je cherche le mot, sans pour le moment en trouver d’autres) de nature à faire bondir à la fois le mathématicien et le physicien théoricien. Voir à ce sujet l’annexe 2 de ce rapport.



En 2019 et 2021 la mise en œuvre d’un ensemble de radiotélescopes a permis d’obtenir deux images des objets hypermassifs situés au cœur de la galaxie M87 et de la Voie Lactée. Le simple fait que ces images (annexe 2) présentent une partie sombre en leur centre a suffi pour que l’ensemble de la communauté des spécialistes les décrivent comme les premières images de « trous noirs géants ». L’annexe 2 montre l’interprétation différente que j’en donne, en tant qu’images de « pulgstars », objets « subcritiques » qui ont alors la particularité de présenter en leur centre un « effet de redshift gravitationnel » tel que la température de rayonnement en son centre est diminuée d’un facteur 3.



Or c’est exactement ce qui émerge de ces deux premières observations.



Sous cet angle, le modèle Janus devient falsifiable au sens de Karl Popper. De nouvelles images de « trous noirs géants » ne tarderont pas à apparaître.







Je compte donc partir à l’assaut des revues de publication scientifiques les plus cotées, en commençant par Nature et Physical Review D. Cette publication ne sera pas chose aisée, en effet l’article, en l’état6, compte 11.400 mots alors que par exemple cette même revue n’accepte que des articles de moins de 4500 mots. Une version ainsi compactée deviendrait inintelligible. Je vais donc devoir avant même soumission, anticiper un refis et préparer sa version en trois parties.



On trouvera ici sa version française7, mise en ligne sur la base de données du Cnrs HAL (si vous trouvez dans ce texte des coquilles c’est que je n’aurai pas encore eu le temps de télécharger sa version corrigée).

Si ces revues refusent de soumettre ces articles à des referees j’en rendrai compte.

J’effectuerai en parallèle une demande en bonne en due forme, adressée au Président de l’Académie des Science de Paris, de pouvoir présenter mes travaux en séance. Je rendrai compte du résultat de ma démarche.

Le fait que personne ne se soit aperçu des failles béantes du modèle du trou noir en plus de cinquante années montre la faiblesse de la discipline, dont les chefs de file sont loin d’avoir la rigueur et l’excellence de leurs prédécesseurs d’il y a un siècle. Il est significatif que le Hollandais Robbert Dijkgraaf8 spécialiste des cordes, qui dirigea pendant plusieurs années le prestigieux Institut des Sciences avancées de Princeton, lequel compta « parmi ses membres Albert Einstein et Kurt Gödel, ait déclaré dans une conférence que la découvert du trou noir équivalait à celle de l’atome, un siècle plus tôt ».

Un propos qui illustre la phrase du regretté mathématicien Jean-Marie Souriau :



Enfin, les installations LIGO et Virgo Ont opéré la détection d’ondes gravitationnelles. Le théoriciens Kip Thorne a aussitôt mis en œuvre un programme d’ordinateur de sa conception, intitulé « relativité numérique » produisant des centaines de milliers « d’expected signals » (les signaux auxquels on s’attend). Etant donné la très faible valeur du rapport signal/bruit c’est en effet la seul méthode à laquelle on peut faire recours pour tenter de dégager le signal : recherche lequel, parmi ces centaines de milliers de signaux possibles, chacun correspondant à la fusion de deux masses m1 et m2, présente le meilleur coefficient de corrélation vis à vis de ce qui a été capté.

Deux masses orbitant autour de leur centre de gravité commun perdent de l’énergie en émettant des ondes gravitationnelles. La puissance de ce signal émis, déterminée théoriquement, entraîne une réduction de la période de rotation de ce système binaire. Tout ceci a fait l’objet d’une vérification observationnelles très précise, dans le cas du ralentissement de la rotation d’un pulsar double, travail qui a été récompensé par un prix Nobel9.

Dans le cas des mesures opérées par les systèmes LIGO et Virgo la puissance du signal capté était telle que les masses et on d’emblée dépassé les fatidique 3 masses solaires. Thorne en déduisit que ce phénomène traduisait la fusion de deux trous noirs ayant respectivement des masses de 36 et 29 masses solaires.

Thibault Damour, après avoir aussitôt déclaré que ceci représentant une preuve indéniable de l’existence de ces objets, ajouta « qu’on ne s’attendait pas à trouver des masses de trous noirs stellaires aussi importantes ».

Le prix Nobel récompensa aussitôt Thorne10 en 2017 pour son calcul des deux masses.

La sensibilité de ces nouveaux outils d’observation fit dire qu’on détenait un nouveau moyen de « peser » les trous noirs. Et les mesures s’accumulèrent. Mais les masses crurent, jusqu’à dépasser les cent masses solaires. Et nos modernes théoriciens de constater qu’ils n’avaient alors aucun modèle de fin d’étoile massive disponible qui puisse produire de tels monstres. On envisagea alors que ceux-ci aient pu se former par « fusion de plusieurs trous noirs ».

Or, si on opte, non plus pour la fusion de deux trous noirs mais pour celle de deux étoiles à neutrons subcritiques, ayant chacune une masse de deux masses solaires, le phénomène d’inversion de masse se traduit alors par l’émission d’une onde gravitationnelle traduisant l’inversion de la masse en excès, le passage de cette masse + m à un valeur – m, soit deux fois deux masses solaires. La non prise en compte de ce phénomène se traduit par une surestimation des valeurs des masses.

Si le modèle des Plugstars en vient à se substituer au modèle des Trous Noir la conclusion qui en découlera aussitôt sera que les calculs du prix Nobel Kip Thorne sont tout simplement faux. Ne parlons pas du prix Balsan, attribué à Damour « pour avoir déterminé la forme du signal ».

Ceci entraînera également la remise en question du prix Nobel attribué en 2020 au mathématicien Roger Penrose11 « pour avoir prouvé que le modèle du Trou Noir, organisé autour d’une singularité centrale , découle immanquablement des la relativité générale ».



J’en viens maintenant à ce qu’on peut considérer comme une mauvaise nouvelle.

En Juillet 2021 j’avais lancé un appel à dons pour constituer un fond permettant à la mathématicienne belge Nathalie Debergh d’être déchargée à mi-temps de son activité d’enseignante dans une école technique belge, afin qu’elle puisse disposer du temps pour faire avancer des travaux de mécanique quantique liés au modèle Janus.

En effet, dans mon article de 2014, j’avais signalé que l’exclusion des états d’énergie négative en mécanique quantique était négociée d’entrée de jeu en optant arbitrairement pour des choix très particuliers des opérateurs P, d’inversion d’espace et T, de temps, à savoir :

- Le choix d’un opérateur P linéaire et unitaire

- Le choix d’un opérateur T antilinéaire et antiunitaire

Réagissant à cette idée, madame Debergh avait publié un premier article montrant que les états d’énergie négative émergeaient naturellement de l’équation relativiste de Dirac, pour peu qu’on accepte d’opter pour un opérateur T linéaire et unitaire.

Afin de la doter de temps pour aller plus loin je l’avais donc incitée à demander à son école technique de pouvoir bénéficier d’une mise en disponibilité à mi-temps, à charge pour moi de trouver de quoi payer son demi salaire, c’est à dire 42.148,68 euros sur un an. La négociation auprès de l’école ayant débouché sur un accord, portant sur une première année, j’ai donc créé une association Support Janus dotée d’un compte où des fonds pourraient être réunis.

J’étais confiant dans le fait que l’école accepterait de prolonger l’expérience sur une deuxième année. Aussi, pour pouvoir faire face à cette opportunité avais-je demandé au donateurs de réunir le double de cette somme, soit : 84.297,36 euros.

Les dons ont permis très rapidement de collecter 108.720,38 euros.

Le premier mi-temps démarra le 1° septembre 2021, en s’achevant le 30 septembre 2022. Pendant ces douze mois l’association versa chaque mois à madame Debergh son demi-salaire, soit 3512,39 euros. Pendant ce temps elle remplit parfaitement son contrat, son travail débouchant sur deux nouveaux articles, en montrant en particulier que l’équation de Schrödinger (non relativiste) engendrait également des états d’énergie négative.

Mais en août 2022 il nous fut signifié que l’extension de cette formule de mise à disposition en mi-temps ne pourrait être étendue à une seconde année, ou à une année suivant celle-ci.

L’association Support Janus, créée pour collecter ces fonds et assurer le paiement du demi-salaire se trouve donc à la tête d’un capital de 66.571,99 euros.

Je propose donc aux donateurs deux solutions, sachant que la situation économique actuelle aura peut être plongé certains dans la difficulté de boucler leurs fins de mois



Première solution :

Remboursement de la moitié du don, moins les frais de transfert bancaire. Nous disposons du fichier des donateurs ainsi que du montant de leurs dons. Dans ces condition, que les donateurs qui optent pour cette solution m’adressent leurs coordonnées bancaires ou une adresse postale où un mandat pourrait leur être envoyé, et cela à mon adresse mail

Jppetit1937@yahoo.fr



Seconde solution :

L’association, restant détentrice de fonds envoyés par les donateurs et seule gestionnaire de ce reliquat, créera alors une sorte de prix Janus12, récompensant toute personne parvenant à publier un article propre à présenter le modèle Cosmologique Janus, et cela dans une des revues les plus suivies par la communauté scientifique, telles Nature, Physical Review D.

Elle attirera l’attention sur ce prix en signalant son existence par voie de presse, en France et à l’étranger. Le cas échéant, en cas de refus des refus de soumettre les articles à des referees ces informations seront communiquées au public. .

Elle incitera immédiatement d’autres donateurs, français et étrangers, à adresser à l’association d’autres contributions, qui augmenteront le montant du, ou des prix, sans limitation des montants.

On fera en sorte que cette attribution d’un prix Janus n’aille pas à un article vague, sans réel contenu. Dans celui-ci les articles déjà publiés devront être mentionnés et le travail devra être explicitement basé sur ce qui représente la base du modèle, à savoir mon système de deux équations de champ couplées.

Parmi les contributions additionnelles potentielles souhaitées :

9 septembre 2022 Le président de l’Association Support Janus :

Jean-Pierre Petit



ANNEXE 1 : L’origine du modèle Janus



1 - La cosmologie, l’astrophysique et la physique théoriques s’enfoncent dans une crise depuis plus de 50 ans. Les deux premières disciplines font état à des expédients de moins en moins crédibles : matière sombre et énergie noire



2 - Il serait possible de sortir de cette impasse en faisant appel à un nouveau composant, une masse négatives (au passage générant une énergie négative) à condition que celle-ci interagisse avec la masse positive selon les lois :





Alors des tas de choses très sympathiques apparaissent dans les simulations (1994-2014) : structure à grande échelle de l’univers, confinement des galaxies, structure spirale galactique.



3 – Mais ces lois, que nous avions introduites heuristiquement sont alors incompatibles avec la Relativité Générale, laquelle se résume à l’équation d’Einstein (ici écrite en « notations mixtes »):

equation Einstein

Celle-ci fournit en effet les lois d’interaction :







   Ce qui engendre l’ingérable effet runaway. En effet, quand on met en présence deux masses de signes opposés, la masse positive s’enfuit, poursuivie par la masse négative. Les deux accélèrent indéfiniment alors que nulle énergie ne leur est fournie puisque l’énergie globale :



energie cinetique runaway



reste constante puisque m(-)< 0 . De plus ces lois violent les principes d’action-réaction et d’équivalence. En conséquence il est impossible d’introduire des masses négatives dans le modèle de la Relativité Générale.



4 – Pour pouvoir bénéficier des conséquences positives des lois introduites heuristiquement (précisément pour satisfaire les principes d’action-réaction et d’équivalence) il est donc nécessaire d’étendre le modèle de la Relativité Générale en optant pour un modèle où l’équation d’Einstein n’est que l’une des deux équations définissant un nouveau « modèle Janus » :



equations Janus primitives



      Les « bonnes » lois d’interaction découlent du signe moins, placé devant le second membre de la seconde équation.



      Pour aller plus loin le problème est de définir les termes interaction et .



5 - Une première idée consisterait, toujours heuristiquement, à écrire (ce qui avait été envisagé en 1994 )



équations 1994



Les tenseurs ayant alors la forme classique :



tenseur T plus classique

tenseur T mois classique



et sont les masses volumique, p(+) et p(-) les pressions, c(+) et c(-) les vitesses des photons d’énergie positive et négative. .



Mais sous cette forme les deux populations ont des structures et des évolutions identiques, ce qui ne cadre alors pas avec les résultats des simulations numériques, lesquelles apportent des résultats très intéressants précisément quand ces deux « mondes » sont au contraire très dissymétriques, quand la masse négative s’avère dominante.



6 – Une approche plus sophistiquée (2015) permet de faire apparaître cette dissymétrie :



equations Janus 2014



     La solution qui émerge d’un tel système permet de rendre compte de l’accélération de l’expansion, dans « le monde positif », avec un excellent accord avec l’observation.



Mais, et cela restait le point sur lequel Damour s’était concentré en 2014, la forme choisie pour les tenseurs d’interaction :



tenseurs interaction sans Bianchi

ne permettait de définir la géométrie à l’intérieur des masses. Mathématiquement cela se traduisait par le fait que ces tenseurs ne satisfaisaient pas les « conditions de Bianchi ». Mais, en fait, ce précisément cette condition qui détermine leur forme. Il est alors nécessaire d’opter pour :

tenseurrs interaction avec
          Bianchi

      Et que sont alors ces tenseurs et qui satisfont cette condition ? Tout simplement :

T plus interaction adapte

tenseur T moins ajuste

où le signe des termes de pression a été inversé. Quelle est la signification physique de cette « condition de Bianchi » ? Quand on l’explicite elle traduit simplement le fait qu’à l’intérieur des masses la force de pression équilibre la force de gravité.

      Les équations Janus s’écrivent alors :

equations Janus 2019

      A partir de celles-ci se déploie alors un ensemble de 17 confirmations observationnelles, détaillées dans le livre et dans les publications.



Annexe 2 : L’incohérence physique et mathématique du modèle des Trous Noirs. Le modèle alternatif des plugstars.

Tout ceci est exposé avec rigueur et précision dans un article de 50 pages, dont la version française peut d’ores et déjà être consultée dans la base de données du Cnrs HAL.

La version anglaise de l’article, transcrite en langage Latex, va être bientôt envoyée aux quelques revues de premier plan dans cette spécialiste, à commencer par Physical Review D.

Comme expliqué dans l’article, le modèle du Trou Noir est né, dans es années soixante dix, d’une interprétation erronée de l’article publié en janvier 1916 par le mathématicien Allemand Karl Schwarzschild. Voici la manière dont il formule son résultat :

conference damour
          diapo 1

      C’est très précisément la diapositive qu’utilise l’académicien Thibault Damour quand il évoque ces questions. La lettre r, Schwarzschild le précise, correspond à :

variable radiale de Schwarzschild

x , y , z étant les classiques coordonnées cartésiennes, par essence réelles. Dans son article Schwarzschild désigne par la classique « longueur de Schwarzschild . De par la définition de R (qualifiée par Schwarzschild de « grandeur intermédiaire »):

grandeur intermediaire

      il est clair que R, nécessairement positif, a pour valeur minimale , obtenue pour la valeur r = 0


Première erreur, commise par le mathématicien américain Richard Tolman, premier interprète, du fait de sa maîtrise de la langue allemande, des travaux de Schwarzschild outre-Atlantique, qui présente cette solution en remplaçant la lettre R par la lettre r

scharzschild âr Tolman

sans que soit précisée la contrainte immédiate r superieur ou egal a alpha  !

      Les théoriciens vont donc à ce jour se donner pout tâche d’explorer les propriétés de cette solution, de cette « géométrie » dans la région , désignée comme « l’intérieur du Trou Noir ».

Seconde erreur : en répercutant, sans le savoir, la vision erronée du mathématicien David Hibert13, les théoriciens de l’après guerre inversent les signes de la métrique, ce qui correspond à la seconde diapo présentée par Thibault Damour.

conference damour
          diapo 2

      Dès lors tout contact avec la géométrie des hypersurfaces de dimension quatre était perdu.

       On notera qu’il est tout à fait remarquable que Damour ne perçoive même pas la contradiction logique entre ses deux diapositives.

      Le mathématicien Kruskal parvient, en 196014 à « pénétrer à l’intérieur de la « sphère de Schwarzschild, la « sphère horizon » de l’objet. Il y parvient grâce à un changement de variable irrégulier et à un calcul qui s’appuie sur la supposée propriété :

zero puissance zero egale un

      Les aberrations suivent les aberrations. Aujourd’hui, dans cette bible de la cosmologie qu’est l’ouvrage de Wheeler, Kip Thorne ( prix Nobel 2017) et Misner on retrouve la clé de cette « lecture » de la solution :



      Dans les étoiles ordinaires la longueur de Schwarzschild est faible devant le rayon de l’astre. Pour le Soleil ce rayon de Schwarzschild est de 3 km. Dès 1939 un article publié par Robert Oppenheimer (celui de la bombe), tablant sur le fait que lorsque la masse des étoiles à neutrons, en tant que résidus d’étoiles massives en fin de vie, s’accroît, le rayon de ces objet finit par se confondre avec ce rayon de Schwarzschild. Il propose alors d’utiliser cette « solution extérieure de Schwarzschild pour décrire les objets se trouvant dans cette situation. C’est à dire qu’il propose d’utiliser une solution stationnaire de l’équation d’Einstein, pour décrire un phénomène hautement instationnaire, conduisant au collapse total de la masse selon « une singularité centrale » en un temps de l’ordre de quelques jours.



      Sa proposition s’appuie sur un des aspects de la solution, d’où se trouve absent tout « terme croisé » en dr dt . Lorsqu’on évalue le temps de chute libre d’une masse témoin, vers la sphère de Schwarzschild, en évaluant ce temps avec cet temps décrit par la coordonnée t, on obtient une valeur infinie. D’où sa conclusion :



      Le trou noir correspond bien à l’implosion d’une masse. Mais pour un observateur distant cette implosion dure un temps infini. Donc il devient licite de décrire cet objet ave une solution stationnaire.



      En 2020 le mathématicien Roger Penrose reçoit le prix Nobel « pour avoir montré que le modèle du Trou Noir émergeant naturellement de l’équation d’Einstein, l’objet se structurant autour d’une « singularité centrale ».



      Mais les trous noirs de Schwarzschild ont une symétrie sphérique. En clair, ces objets ne tournent pas. En 1963 le mathématicien néo-zélandais Roy Kerr parvient à construire une solution stationnaire de l’équation d’Einstein «  axi-symétrique », dont où une rotation autour d’un axe est présente15.



      Détail, qui aura son importance : cette solution comporte un « terme croisé en



dr dphi



      Mon article commence par désigner avec précision la source des ces confusions et erreurs.



      Il s’appuie alors sur un travail de 2021 du mathématicien français Pascal Koiran16.



      Dans la littérature on note que dans la solution de Kerr, si on considère des photons se déplaçant selon des cercles ayant pour axe celui autour duquel se construit la solution on obtient deux valeurs différentes pour la vitesse, selon que ces photons accompagnent la rotation ou chemine a contrario. On en déduit que « tout se passe comme si le système des coordonnées se trouvait entraîné dans ce mouvement de rotation. Autrement dit on voit réapparaître l’idée lancée par le mathématicien allemand Ernst Mach (celui du « nombre de Mach ») selon laquelle l’espace sera lié à la matière. Dans la littérature ce phénomène est qualifié de « frame dragging » (entraînement du système des coordonnées ).



      C’est une variante de cette idée , selon laquelle l’espace (et même l’espace-temps) se trouverait lié, piégé par la matière dès que la densité de celle-ci atteindrait une valeur élevée, suffisante.



      Koiran reprend donc une description donnée par l’astrophysicien anglais Eddington, qui « lit » la solution dans un système d’axes où on admet alors la présence d’une terme en :



dr dt



      Comme dans la solution de Kerr, si on considère des photons suivant des trajectoires radiales on constate qu’on tombe sur deux vitesses différentes selon que le photon converge vers l’objet ou s’en éloigne. Koiran désigne alors ce phénomène comme étant un « radial frame dragging », un entraînement du système des coordonnées dans une direction radiale. On retrouve donc encore l’idée l’Ernst Mach.



      Si on a admis sans se poser de question la présence de ce terme croisé dans la solution de Kerr, pourquoi refuser ce nouveau terme croisé dans cette lecture alternative de la solution de Schwarzschil ?



      Détail : dans ces conditions, si le temps d’évasion reste infini, comme avec la coordonnée exemple de terme croisé, (avec un temps t qu’on peut qualifie de « temps de Schwarzschild ») le temps de chute libre devient fini, et extrêmement bref .



      Donc l’hypothèse-clé d’Oppenheimer, comme quoi on peut décrire l’implosion d »’une masse sur la base d’une solutions stationnaire de l’équation d’Einstein ne tient plus.



Exit le modèle du trou noir !



      Mais l’astrophysicien exige alors une description théorique de l’implosion d’étoiles massives. Les étoiles à neutrons résultent de l’écrasement de la sphère de fer se situant au centre d’étoiles dont la masse excède de 8 fois celle du soleil. Ce fer étant « la cendre » des réactions de fusion.



      Le calcul montre que lorsque la masse impliquée dépasse 3 masses solaires, la « criticité géométrique » apparaît, quand le rayon de Schwarzschild rejoint le rayon de l’étoile.



      Or l’observation astronomique a mis en évidence l’existence d’étoiles dont les masses se situent en centaines de masses solaires (maximum 200). Dans ces condition la sphère de der excède àa coup sûr les 3 masses solaires critiques ? Que se passe-t-il alors ?



      Il existe une autre approche de cette criticité, moins brutale mais qui soit néanmoins être considérée.



      On dispose d’une évaluation de la masse d’un petit nombre d’étoiles à neutrons, quand celles-ci sont en couple avec une étoile ordinaire, en évaluant la variation du redshift de l’étoile, dans sa rotation autour du centre de gravité commun. Les mesures qui en résultent tournent autour d’1.4 masses solaires en moyenne.



     On sait que les étoiles perdent de la masse en émettant, par bouffées, su « vent stellaire » (le « vent solaire » pour le Soleil). Si ces bouffées correspondent à d’infimes fractions de masse solaire, l’étoile à neutrons en captera une partie et cet apport en masse pourra inéluctablement l’amener à cette valeur critique de 3 masses solaires.



      Dans l’article nous reprenons le second article publié par Schwarzschid peu de temps avant sa mort, un mois après celui dont il vient d’être question. Un article où il construit la géométrie à l’intérieur des masses, des étoiles. Peu de cosmologistes connaissent ce travail et beaucoup en ignorent jusqu’à l’existence. La raison : il n’a été disponible sous la forme de sa traduction anglais qu’en 1999 !



      Que lit-on dans cet article ?



      Que lorsque a masse de l’étoile atteint, non pas 3 masses solaires, mais 2, la pression en la vitesse de la lumière deviennent infinies en son centre. Il s’agit donc d’une forme de criticité physique. Rappelons que la pression est aussi une densité volumique d’énergie.



      Ce phénomène a été noté par les théoricien dès les années soixante dix, mais en notant simplement que cette valeur est proche de celle correspondant à ce rayon critique de Schwarzschild. Quand, au lieu d’effectuer cette comparaison en parlant des masses, on compare la valeur du rayon on trouve que l’écart correspond à :



rapport 0.942

      Les théoriciens se sont contentés de constater que cette valeur était proche de 1.

      Dans l’article on reprend cette analyse de Schwarzschild en montrant que lorsque cette condition physique est atteinte la coordonnée de temps se trouve localement inversée, dans une portion d’espace proche du centre.

      En reprenant la théorie des groupes dynamiques du mathématicien Jean-Marie Souriau on assimile alors cette inversion locale de la coordonnée de temps à une inversion de la masse. Dès lors deux situations se présentent :

      On débouche alors sur des objets dont le comportement peut être comparé à celui de la chasse d’eau. Une chasse d’eau ne peut contenir qu’un volume limité d’eau. Tout apport extérieur entraîne l’évacuation par sa « bonde » ( plug an anglais ).

      Ainsi les masses des étoiles à neutrons ne limiteraient automatiquement à une vapeur maximale de 2 masses solaires.

      Les masses des objets identifiés à des trous noirs stellaire, supérieures à 3 masses solaires, relèveraient d’erreurs d’interprétation des mesures, en particulier de distances.

      Reste la question des soi-disant « Trous Noirs géants », au centre des galaxies.

     On sait que l’objet hypermassif détecté au centre de notre galaxie a une masse égale à 2 millions de masses solaires. Ces objets sont, comme les étoiles à neutrons de masse maximale, des objets « subcritiques ».

Ils ne se sont par formés par « accrétion », par instabilité gravitationnelle, ou comme des théoriciens le suggèrent, par fusion de trous noirs stellaires de très forte masse.

      Leur origine est toute autre et leur formation fera l’objet d’une autre publication, liant leur formation à des fluctuations conjointes des métriques durant la phase « à constantes variable » de l’évolution des deux entités cosmiques.

      Toujours est-il que, comme les étoiles à neutrons, leur partie centrale subit un effet de redshift gravitationnel.  Ceci a pour effet de multiplier par 3 les longueurs d’onde du rayonnement émanant de cette partie de l’astre. Ce chiffre est également le rapport entre la température de rayonnement maximale, sur celle de la partie centrale.

      Et c’est exactement ce qui est observé dans les deux images disponibles.

images trous noirs
          geants

      M87 : température maximale : 5.4 milliards de degrés,  : minimale 1.8. Rapport : 3

      SgrA* : température maximale : 12 milliards de degrés, minimale : 4. Rapport : 3











1 https://www.ihes.fr/~damour/publications/JanusJanvier2019-1.pdf


2 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/2019-Damour-IHES.pdf


3 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/2019-Progress-in-Physics-1.pdf


4 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/2019-Progress-in-Physics-detail-calcul.pdf


5 https://www.youtube.com/watch?v=4NqsvQoCoYg


6 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/2022-Inconsistency-of-black-holes-model-plugstar-as-alternative.pdf


7 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/2022-HAL-incoherence-trou-noir.pdf


8 Et à qui sa compétence en matière de théorie des cordes vaut aujourd’hui, de retour dans son pays d’origine, le poste de Président de l’Académie des Sciences du Pays-Bas et de Ministre de l’Education et de la Culture. https://en.wikipedia.org/wiki/Robbert_Dijkgraaf


9 Russel Alan Hulse et Joseph Taylor, Nobel 1993. https://fr.wikipedia.org/wiki/PSR_B1913%2B16


10 https://fr.wikipedia.org/wiki/Kip-Thorne


11 https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Penrose


12 Je m’exclus bien entendu du bénéfice de ce prix.

13 Pour lequel le temps est une grandeur imaginaire pure, selon l’interprétation de la quatrième dimension l = it

14 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/1960-Kruskal.pdf

http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/1960-Kruskal-fr.pdf


15 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/1963-Kerr.pdf

16 http://www.jp-petit.org/papers/cosmo/2021-Koiran.pdf




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Eh oui, il faut le dire clairement. Le Modèle Janus c'est, tout simplement  :

Remplacer l'équation d'Einstein par le système des deux équations de Jean-Pierre Petit.

Page créée le 22 avril 2022




Dernière mise à jour 31 mai 2022


Prologue :

      Nous sommes le 21 avril 2022. L'Association Support Janus est opérationnelle depuis juillet 2021. Les internautes attendent que cette association s'exprime quelque part, à travers un site. D'aucuns souhaiteraient que ce site soit du plus bel effet. Mais comment faire? Il faut que j'aie un contrôle complet et permanent sur son contenu, et que je puisse même le faire évoluer. Je ne compte plus les informaticiens qui m'ont proposé leurs services. Mais pour faire quoi ? Pour monter rapidement un site à partir de Wordpress qui impose une étroite variété de pages d'accueil standard? Personnellement je sougaiterais contrôler jusqu'au graphisme de celle-ci et à son éventuelle évolution au fil du temps.

     J'avais créé jadis un site Lanturluland. il y a vingt ans. Il existe toujours parce qu'ayant perdu les codes je n'ai jamais pu le faire disparaître. Finalement c'est le site de Savoir-sans-Frontières qui l'a remplacé. Un site que j'ai moi-même créé. Ceci étant, voilà le dessin de la page d'accueil de Lanturlu land:

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     Vous voyez l'idée? On met des zones graphiques qui lorsqu'on clique dessus, envoient vers des liens. Par exemple; si vous cliquez sur le drapeau français, vous obtenez ceci :


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     Et à ce moment-là, en cliquant sur les bulles, nouveaux liens. Mais cette image ne s'adapte pas automatiquement à la taille de l'écran (c'est pareil pour l'image du site de Savoir sans Frontières). Il faudrait "une image vectorisée". Comment ça marche ? Je n'en sais rien. Mais je refuse de me rabattre sur les pages écran toutes faites de Wordpress.

   Ce qui compte, finalement, ce sont les contenus. Donc ce sous-dossier, avec la page d'accueil  http://www.jp-petit.org/SUPPORT_JANUS/support_janus. html fera l'affaire. Dans ce "sous-site", que mettrai-je ?

     - Bien sûr les informations essentielles correspondant au fonctionnement de l'association. Il faudra que je mette in lien vers les statuts. Pour le moment la gestion se résume à des actes des plus simples.

     - Un peu d'historique.

    La mathématicienne Nathalie Debergh avait été intéressé par les aspects de mécanique quantique du modèle.  C'est simple, au moment de la rédaction de  notre papier de 2014, paru dans Astrophysics ans Space Science ( il y a huit ans )  

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après avoir exploré l'ouvrage de Steven Weinberg :

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j'étais tout de suite tombé sur un chapitre, page 74, intitulé "Inversion d'espace et de temps". Chez Souriau, tout est réel. L'inversion du temps c'est simplement changer t en - t. Mais en quantique les choses changent. Les opérateurs P et T peuvent être linéaire et unitaires, ou antilinéaires et anti-unitaires. Quand on les fait agir sur un état quantique, le résultat diffère selon leur nature et peut conduire à l'inversion de l'énergie.

               - Ainsi, si P (inversion de la "parité", de l'espace) est anti-unitaire, son action donne naissance à des états d'énergie négative.

               - Même chose quand l'opérateur T , d'inversion du temps, est unitaire.

    Weinberg en déduit donc "comme les états d'énergie négative n'existent pas dans la nature" que, nécéssairement :

                - P doit être unitaire

                - T doit être anti-unitaire

    Page 104, Weinberg, pris d'un doute, revenait sur ce point, mais ajoutant que cette hypothèse restait justifiée " parce qu'on ne connaissait pas de situations, dans la nature, qui impliquaient l'existence d'états d'énegiie négative".


     Va pour les éditions 1995-2005. Mais en 2011, tout change. On constate que l'expansion de l'univers, au lieu de se ralentir, s'accélère. Tout cela à cause d'une "énergie noire". Dans le modèle Janus celle-ci est simplement l'énergie cinétique de ses composants de masse négative. Toujours est-il que cette énergie est, de toute façon, négative. Sinon l'expansion cosmique se ralentirait.

      Nathalie tombe sur ce passage de notre papier de 2014 :

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      Ca lui parle et, rapidement, elle publie en 2018 un papier montrant que ces états d'énergie négative émergent de l'équation de Dirac :

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      Coup d'oeil à son unité d'affectation : Haute Ecole Charlemagne, Département ... d'Agronomie. Ca mérite quelques précisions. D'abord un coup d'oeil à cette brilllante "équipe Janus" :


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   C'est la seule photo dont on dispose, et c'est aussi la seule et unique fois où Gilles et moi avons rencontré physiquement Nathalie, chez moi., en 2015.  Nathalie s'était spécialisée dans les mathématiques de la Mécanique Quantique. Son CV est impressionnant. Très vite elle a sorti une centaine de papiers comme thésarde à l'université de Louvain. Mais comme elle avait du talent, trop de talent, elle s'est vite attiré quelques inimitiées. Le monde universitaire, dans tous les pays sans exception, est structuré comme la Maffia calabraise. Nathalie, trop occupée à produire des résultats scientifiques à haut rythme, n'a pas réalisé que la maffia locale avait décidé ... qu'elle n'aurait jamais de poste à l'université.

     Jamais on ne dira à un scientifique qui dérange "abandonnez tout espoir. Nous avons décidé de vous barrer l'accès à l'université, car la qualité de vos travaux et la richesse de votre imagination créative nous ferait de l'ombre".  Au contraire, ce seront des propos faussement rassurants :

    - Ah, Nathalie, vous n'avez pas été classée, cette année. Mais l'an prochain, ça sera bon, vous verrez  ...

     Les années ont passé jusqu'à ce que Nathalie se retrouve sur le trottoir avec une thèse et cent publications scientifiques. Elle s'est alors rabattue  sur un poste d'enseignante dans une école préparant les futures ... agronomes. Autant dire qe, vues ses compétences et son talent, elle y perd royalement son temps.

    Mais, des années plus tard, elle tombe sur notre papier et ça l'interpelle. D'où ce contact et ce premier article qui montre que Nathalie n'est pas une chercheuse, mais une trouveuse.  La première qui croise ma route. Pendant les années suivantes nous collaborons sur des problèmes liés à l'algèbre de Poincaré. Mais elle reste peu disponible, entre sa charge d'enseignante et sa vie domestique. Je décide de tenter de trouver un moyen de la mettre en mi-temps dans son école. Elle amorce une négociation avec la direction de son école. Reste à trouver le financement  L'appel est lancé l'été 2021, et les chose démarrent très vite. Comme à la pêche, il faut "amorcer". Je mets mille euros dans la cagnotte, en tant que premier donateur. En quelques semaines  les dons atteignent 60.000 euros. On avait visé 80.000 euros, "tout compris, "à la louche : impôts et charges compris. Mais comme il faut payer quelqu'un en Belgique, on se chope 20 % de TVA. Le versement d'un salaire en Belgique est par ailleurs différent. Cela passe par des sociétés qui se chargent de tout déduire, y compris les impôts, avant de payer les  intéressés.

     Soudain un homme résidant en Suisse se manifeste :

    - Ces 80.000 euros, moi je vous les donne.

A ce moment-là l'association Support Janus, structurée pour gérer cette opération de sponsorisation n'est pas encore totalement constituée. Il n'y a donc pas de compte bancaire où faire atterrir cet argent. Pour voir si l'offre est sérieuse, je réponds :

    - Seriez-vous prêt à verser cette somme sur le compte de Savoir sans Frontières ?

    - Aucun problème. Donnez-moi les coordonnées bancaires de votre association.

     Savoir sans frontières, nous l'avons créé à deux, Gilles d'Agostini et moi, il y a vingt ans. J'en suis le président et lui le secrétaire-trésorier. Quand je donne mon feu vert à un traducteur, celui-ci a le choix entre deux formules. Soit il se charge de tout et livre le pdf. On lui paye alors 180 euros, net, l'association prenant à sa charge les frais bancaires. Soit celui-ci traduit seulement le texte et reçoit alors 120 euros. On alors un ami bolivien, Juan Carlos,  qui se charge de l'insertion de ces textes dans les pages graphiques et reçoit la différence. Quand SSF avait été créé et qu'on avait bouclé la 100° traduction on s'était dit avec Gilles qu'on avertirait les donateurs que, nous écartant exceptionnellement de la rigueur de notre gestion (tout l'argent des va au traducteurs, plus les frais de virement bancaire), on se payerait deux bières aux frais de l'association (c'est Gilles qui prend à sa charge les frais d'hébergement du site). Mais le rythme d'arrivée des traductions devient vite beaucoup trop rapide. Très vite on atteint à 200 traductions, puis  300, et aujourd'hui on a dépassé le cap des cinq ou six cent traductions, en 40 langues avec cinq cent mille téléchargements. Les chiffres sont sur la page d'accuel du site

    Quelques jours plus tard, Gilles m'appelle .

    - Ce type n'est pas un mythomane.  Les 80.000 euros ont effectivement été virés sur le compte de Savoir sans Frontières !

     Avec ce qui avait déjà été collecté en un mois (60.000 euros) on dépassait largement la somme visée. Donc, moins d'un moins après le lancement de l'appel à dons, j'y mets fin. En comptant 60.000 + 80/000 cela donne 140.000 euros, beaucoup plus ce que qui avait été visé. D'accord avec le sponsor, je lui dis :

- Inutile de thésauriser de l'argent dont nous n'avons pour le moment pas l'usage.  Je pense qu'en ajustant le total des dons à 100.000 euros, ça laisserait 16.000 euros de volant, pour d'éventuels frais. 

                   ---> Ajout le 27 avril : Nathalie et moi nous optons pour l'Algèbre Géométrique.

                  Pour elle : David Hestenes and A. Lasenby, Space-time algebra à 85,18 €

                 Pour moi ( plus orienté vers la physique et l'astrophysique ) David Hestenes, New foundations for classical mechanics à 235,34 €

                 Les livres de science, parfois, ne sont pas bon marché. Les Trolls pourront ainsi voir "où passe l'argent"..

- OK. Le plus simple : vous me renvoyez ces 80.000 euros sur mon compte. Vous regardez combien vous avez collecté en dons, et je complète à 100.000 euros.

      De son côté Nathalie fait le nécessaire pour demander sa mise en disponibilité à mi-temps, vis à vis de son école. J'active les démarches de création de l'association Support Janus (dont je deviens le président et le responsable scientifique) . Le compte bancaire d'association est enfin ouvert, après de nouvelle tribulations. Là, ça mérite d'être raconté.

     Depuis quarante ans j'avais un compte à la Société Marseillaise de Crédit. Début juillet, les statuts de l'association ayant été déposés, je me pointe à la petite agence locale de Pertuis. Après avoir pris rendez-vous je suis reçu par la directrice de cette agence, qui collecte tous les éléments pour l'ouverture du dossier, en me disant "comptez un mois. Je vous préviendrai.

    Un mois passe, rien. Je frappe à la porte de l'agence et je suis reçu, début août, par sa collaboratrice qui m'annonce que sa directrice est ... partie en vacances.

- Très bien. Où en est dossier de création du compte de l'association Support Janus ?

     Elle cherche, y compris dans l'ordinateur : rien. Finalement elle décide d'explorer les tiroirs du bureau de sa supérieure, où elle trouve le dossier. Rien n'a été fait, et celle-ci est partie en vacances. La jeune subordonnée décide de faire repartir la procédure de zéro et relance le process. Je rappelle que nous sommes dans l'urgence. Elle me remet aussitôt à ma place :

- Ecoutez, monsieur, cela ne servira à rien de nous relancer. Je vous enverrai un mail pour vous prévenir.

     On arrive à la fin août. Mes mails et sms restent sans réponse. Je me repointe à l'agence.  Cette fois c'est cette subordonnée qui, à son tour, est partie en vacance. Sa supérieure, la directrice de l'agence, est rentrée, mais on ne peut franchir sa porte sans avoir un rendez-vous. J'arrive à la joindre au téléphone. Elle me répond : 

- Je m'en occupe, je vous tiens au courant.

     Prudent et sceptique je décide de m'adresser à une autre  banque. Dans la zone commerciale de Pertuis le Crédit Agricole s'est installé. Mais, pour qu'une banque accepte d'ouvrir un compte d'association, il faut que son président y dispose lui-même d'un compte. Très bien, j'ouvre donc un compte et je décide même  de transférer le contenu du compte que j'avais à la Société Marseillaise de Crédit et donc, après quarante années, de cesser d'en être le client. Le CA, nanti d'un pouvoir, se charge elle-même des démarches. On me dit "un mois", mais cette fois le délai est tenu. Le compte est créé en novembre, un mois après le démarrage du mi-temps de Nathalie. Résultat : mon sponsor doit lui avancer son premier demi-salaire.

     Et quid du côté de la Société Marseillaise de Crédit ? Non seulement le dossier d'ouverture du compte d'association a du se perdre dans un tiroir, mais là-bas on ne s'est pas encore aperçu que j'avais disparu. Je reçois encore des messages où, en tant que client, on ne propose ceci et cela ...

La France ...


    En dehors de ces tribulations à la Société Marseillaise de Crédit lance, en juillet,  lorsque je lance le virement des 80.000 euros vers la banque suisse de notre sponsor .... le fisc français interprête cette démarche comme un blanchiment d'argent ... Une enquête administrative est lancée. Le dossier, vue son importance, est transmis de Marseille à Bercy.

Gilles :

- S'il s'était agi de transférer les fonds dans un pardis fiscal, ils nous auraient peut être aidés, qui sait ?  ...

    Les mois passent. Et les choses sont telles que c'est le sponsor qui devra payer directement, son premier salaire de septembre à Nathalie, depuis la Suisse.

   Le fonctionnaire du fisc :

- Une quête est en cours. Vous comprenez, un type résidant en Suisse, qui vous verse 80.000 euros, comme ça, sur votre bonne mine, sans contrat, sans rien, vous comprenez qu'on trouve ça louche. Ensuite vous lui reversez cet argent .... on ne comprend pas. Et qu'est-ce que c'est que cette association Savoir sans Frontières ?

- Vous avez accès aux comptes, depuis le début. Faites la somme, vous divisez par ce que nous coûte chaque traduction, et vous tomberez pile sur le nombre d'albums traduits.

- Mais, vos frais .... le téléphone ?

- On n'a pas de frais, pas de loyer, pas de téléphone. Seulement une adresse mail. C'est Gilles qui paye les frais d'hébergement du site Internet.

- Une association sans frais, hum  ....

      Il est vrai que quand l'honnêteté et l'intégrité sont poussées à l'extrême, ça peut paraître louche et, par les temps qui courent, être assimilé à de la provocation. Mais cela fait qu'on n'a jamais eu besoin de lancer un appel quelconque, depuis plus de 10 ans.

      Finalement, de guerre lasse, Bercy donne son feu vert au virement, au bout de trois mois.

      Décidément, dans tous les domaines, on se singularise.  Mais depuis septembre 2021  on paye régulièrement la boite qui reverse son salaire, impôts déduits, à Nathalie, le contrat portant sur deux ans. Je reçois de cette boite un papier. Je le signe, et mon ami Philippe Chomienne, comptable de l'association, fait le virement. Cette société Smart vire alors à Nathalie son demi-salaire du mois :

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      Zoomons sur la ligne importante :

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      L'association Support Janus verse donc 3.512,39 euros chaque mois à la société SMART pour qu'elle reverse son demi salaire à Nathalie, soit 1.190 euros. Divisez 3512 par 1.190, vous obtenez un facteur 3. Ainsi chaque fois que l'association verse un euro à Nathalie, elle doit en verser deux à l'état Belge, pour les charges et impôts. Je donne ces précisions car il y a toujours des trolls qui écrirons que cette gestion de notre association est doûteuse.

    En multipliant par 24 vous obtenez la somme qui a du être collectée :   84.288 euros. Sur ce qui a été donné par les internautes,  55630 euros partent en taxes et charges, au bénéfice de l'état belge.

    Quand j'aurais cinq minutes je mettrai un lien vers le pdf des statuts de l'association et vers la paperasse correspondant à ce contrat, ce qui coupera court à tout questionnement.

    Des internautes m'écrivent "nous aimerions faire un don à votre association". A cela je réponds que les sommes que nous pourrions collecter avec des dons modestes ne nous serviraient pas à grand chose. Soyons clairs. Nathalie est la seule trouveuse ( et j'insiste sur le mot trouveuse, par opposition à chercheuse ) qui se soit manifestée.Si quelque chose doit être fait, cela déboucherait sur la possobilité que Nathalie puisse travailler à plein temps sur nos recherches.

    Certains m'écrivent "avez vous songé à former des jeunes ?". Le problème n'est pas là. Les études, la "formation" ne donnent pas automatiquement de la créativité. Or, vous l'avez bien compris, ce "projet Janus" recquiert un talent hors norme. Qu'est-ce que j'ai du faire pour asseoir le modèle sur ses bases théoriques ? J'ai du remplacer la modèle d'Einstein de la Relativité Générale, fondé sur sa fameuse équation, par les deux équations couplées du modèle Janus. Un saut paradigmatique majeur.

    Ce qu'on attend de Nathalie est du même ordre. Le projet consiste donc pour elle à refaire la Mécanique Quantique de fond en comble. Pour le moment elle a montré que les équations de Dirac (relativiste) et de Schrödinger (non relativiste) engendraient des états d'énergie négative. Voilà son second papier, sur Schrödinger :


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     Elle en a aussi publié un troisième. Mais si on ne donne pas de commentaire explicatif, ça ne parle pas. Mais qu'est-ce que ça veut dire, tout cela ? Que si Nathalie réussit son coup elle va refaire la Mécanique Quantique de fond en comble. Si ça se trouve les équations de Dirac et de Schrödinger devront alors être remplacées par ... les équations de Debergh. De même que dans le modèle Janus l'équation d'Einstein est remplacée par  les équations de Petit. Je conjecture même que l'introduction de masses négatives permettra de quantifier la gravitation ! .

Il n'y a pas et il n'y aura pas de demi-mesure.

   Imaginez un étudiant en thèse, bénéficiaire d'une "bourse Janus".

Les sujets que je pourrais proposer seraient par exemple  :

     - Essayez de construire des fluctuations (réellement) non-linéaires des deux équations de champ, en régime de "constantes variables", pour modéliser les fluctuations couplées des métriques, génératrices du phénomène quasar (un problème sur lequel je bute depuis des années).

Ou :

     - Construisez la théorie des ondes gravitationnelles du modèle Janus.

    Il n'en sortirait très probablement rien. A moins que l'étudiant soit un trouveur et non un chercheur. Les chercheurs, ça ne trouve jamais rien. Les trouveurs du passé s'appellent Einstein, Dirac, Planck, Schrödinger, Bohr, Heisenberg, etc ...

    Aujourd'hui, combien de trouveurs sur l'échiquier de la science théorique, de la physique théorique, de la cosmologie, de la physque des particules ? Aucun .

   Aucun parce que l'objet auquel tous s'accrochent, le trou noir, n'existe probablement pas, ce que j'explique dans cette longue vidéo ( cinq heures vingt, niveau mathématiques spéciales requis) , et dans sa version light. Donc, si j'ai raison, le bilan des théoriciens, depuis soixante années : zéro, tous pays confondus. Ce qui signifie que durant ces soixante dernières années aucun trouveur ne s'est manifesté. La raison est simple : ces disciplines exigent aujourd'hui un changement de paradigme, et le modèle Janus, avec ses deux volets : cosmologie (plus astrophysique) et Mécanique Quantique, représente ce changement de paradigme. Donc, pour participer à cette aventure il faut des Savanturiers, pas de simples chercheurs. Dans ce bouquin, sorti en mai 2022  :


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   j'ai analysé d'abord de changement de paradigme apparu en 1895-1900-1915-1916-1920 avec l'émergence de la Relativité et de la Mécanique Quantique. Que s'est-il passé à une époque-charnière  qu'on peut situer en 1960-1970 ? Je pense qu'on a loupé le virage de la topologie. Mais j'aurais suffisamment l'occasion d'en parler dans ces pages. Même dans les maths, dans la géométrie, l'innovation s'impose. On ne peut pas, on ne peut plus continuer de travailler avec les vieux outils, équipé de la même "paire de lunettes".

      Comment voulez-vous dire à un étudiant, ou à un chercheur "Je vous demande de forger de nouveaux outils théoriques". Ils ne sont pas ... programmés pour !

      Des trouveurs, j'en ai croisés, et j'ai eu des rapports très étroites avec chacun d'eux, parfois pendant deux décennies. Ils s'appellent Alexandre Grothendieck, André Lichnérowicz, Jean-Marie Souriau. 


     J'ai développé un autre volet, celui de la dynamique galactique. Ce travail attend son  ouvrier. Il y a une thèse de doctorat brillante à la clé. Les travaux sont très avancés. Pratiquement, il n'y a plus qu'à conclure. J'avais mis en ligne un document présentant les grandes lignes de cette approche, mais je n'arrive plus à retrouver où je l'ai mis pour mettre un lien. Mathématiquement il s'agit de deux solutions elliptiques couplées, solutions de deux équations de Vlasov,  couplées par l'équation de Poisson. C'est la version non relativiste appliquée à la dynamique galactique du modèla Janus. Il y a cinq ans un maître assistant, spécialisé dans les simulations numériques appliquées à la mécanique des fluides, prend contact avec moi. Je lui montre où en sont les choses. Ca se traduit par deux équations différentielles non linéaires, couplées. Et j'ajoute :

- Il va vous falloir inventer l'algorithme qui permet de faire émerger la solution numérique.

     Trois années passent. Le gars cherche dans des bibliothèques le codes qui perettraient de résoudre le problème. Evidemment, il ne trouve rien. Je finis par me dire "si je ne m'y mets pas, rien ne bougera". Donc je réattaque le problème fin 2020 avec mes propres moyens de calcul : mon Mac Intosh. En moins d'une semaine, je trouve "la démerdante",  et les résultats déboulent.

     Pourquoi ? Parce que je suis un trouveur-né, un type qui se dit " il doit y avoir une façon de résoudre ce problème et je vais la trouver.

     Le chercheur .. cherche, dans la bibliographie, qui a résolu le problème. Je crois que les chercheurs d'aujourd'hui sont devenus incapables d'inventer. C'est peut être dû au formatage auquel il sont soumis pendans leurs études. Les chercheurs d'aujourd'hui sont aussi incapables d'imaginer quelque chose de simple. Or, quand l'idée est bonne, c'est simple. Quand c'est trop compliqué, c'est qu'on sy prend mal.

    Le gars incapable d'inventer, c'est le fort en thème. J'ai vu passer des types issus de polytechnique, de normale supérieure, des surdoués, intégrant leur école avant leurs vingt ans. Je n'ai jmais rien pu tirer de ceux-là. J'ai même essayé pendant deux ans, de travailler avec un mathématicien, chargé de recherche au Cnrs. Même motif, même punition. Dès qu'il fallait s'aventurer en dehors des chemins tous tracés, c'était l'affolement. Je peux donner une image. Considérons des nomades qui empruntent toujours la même route en allant de A à B, puis de B à A. Vous êtes l'un de ces caravaniers. Vous dites à l'un d'eux :

- J'ai l'impresssion qu'il doit y avoir quelque chose d'intéressant, là-bas. Au delà de l'horizon se trouve, je pense , une mine d'or.

Et vous désignez une région située au delà de crête, une région .... non-cartographiée.

- Votre voisin vous répond "Comment pouvez-vous avoir la certitude que cette route mène à quelque chose, à une mine d'or ?"

- C'est une impression. On devrait essayer. Prenons nos mules, de la nourriture et des vivres et quittons la route que nous suivons habituellement.

- Mais ... nous n'avons pas de carte !

- Bien sûr. La carte, c'est nous qui la créerons au fur et à mesure!

      C'est ce que je proposais à mon mathématicien chargé de recherche de Marseille. Rien n'a été possible. Au bout de deux ans j'ai abandonné. Il poursuis sa carrière en allant de A à B, puis de B à A, et de A à B, etc. .

      La conclusion c'est que les gens capables d'emprunter ce chemin "Janus" doivent être complètement atypiques. Le type formaté ne donnera rien. Et les trouveurs, c'est très rare. Et c'est de plus en plus rare car à notre époque le formatage est redoutable. D'autant plus que ce formatage ne peut qu'engendrer de la médiocrité. Alors les médiocres tissent des réseaux de pouvoir très efficaces, en faisant barrage aux non-formatés (comme Nathalie!)

      Ce barrage, j'y suis aussi contronté. En cosmologie, c'est de fait de l'académicien Thibault Damour.

      Un jour je reçois un long mail d'un type qui s'intitule "philosophe des sciences" et qui plus est : "philosophe chrétien". Dans ce mail il se fait le porte parole de ce que nombre de scientifiques pensent, me dit-ils, sans oser me le dire  : que je ne suis qu'un malade mental. Il se propose de me téléphoner. J'accepte et je fais ce que je n'ai jamais fait de ma vie. En mettant mon portable sur haut parleur et celui de ma femme sur enregistrement j'enregistre la conversation. Vous verrez, c'est ahurissant.

    Les faits :

   En janvier 2019 l'académicien Thibault Damour m'envoie une lettre recommandée avec  accusé de réception. C'est du jamais vu de la part d'un académicien. Cette lettre pointe vers un article que Damour a placé sur sa page de l'IHES, de l'Institut des Hautes Etudes de Bures sur Yvette au même moment. Voici l'adresse de cet article, toujours en place. Vous pourrez  le télécharger pour l'examiner plus à loisir. Il entend y démontrer que notre modèle est physiqueent et mathématiqiement incohérent. Mais, ce faisant, il se base sur notre premier papier, de 2014, paru dans astrophysics and Space Science. Or ce problème, lié à la structure des tenseurs en charge de l'interaction entra masse positives et masses négatives, qui fait qu'on a du mal à définir la géométrie à l'intérieur des masses, est déjà résolu. Je lui envoie immédiatement l'article où ce point est rappelé, de même que les acquits du modèle. Un article intitulé "Physical and mathematical consistency of the Janus Cosmological Model".

    Pas de réponse.

    Je compose alors un long document avec tous les détails des calcul, que je lui envoie.

    Pas de réponse.

    Je lui propose de monter, pour que nous ayons un entretien, seuls devant un tableau noir, sans témoin ni enrengistrement, pour que je puisse lui expliquer de vive voix pourquoi, suite à une légère modification des tenseurs, sa critique ne tient plus.

    Pas de réponse.

J'écris alors à Etienne Ghys, mathématicien et académicien, secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences.

     Pas de réponse.

    Le contenu de l'échange téléphonique que j'enregistre apporte un élément de réponse. Si Damour ne m'a pas répondu, c'est qu'il pense avoir affaire à un malade mental. Et si Ghys ne m'a pas répondu non plus c'est que, lors qu'il s'est touné vers Damour, celui-ci lui a répondu "ne perd pas ton temps avec Petit. Tout le mode sait qu'il est fou!".

     Je pensais mettre à la disposition des internautes la transcription écrite de ce coup de téléphone. Mais, finalement, après que mon ami Pascal, informaticien, l'ait traité de telle façon que la voix de l'auteur de l'appel téléphonique soit altérée, pour qu'on ne puisse pas immédiatement le reconnaitre, j'inclus ce document dans cette vidéo. Cliquer sur l'image pour y avoir accès.


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    Ceci confirme ce que m'avais dit le journaliste Jean-Claude Bourret :

   - Rencontrant un jour le Directeur du Cnrs je lui demande ce qu'il pense de Jean-Pierre Petit. Sa réponse immédiate : "c'est un fou!".

    On voit ainsi émerger une hypothèse ahurissante : beaucoup de scentifiques pensent qu'un type qui propose de remplacer l'équation de champ d'Einstein par un système de deux équations de champ couplées ne peut être qu'un malade mental. .

      Depuis cette percée de 2014, avec l'émergence, décisive de la clé, c'est à dire du système des deux équations de champ couplées, Nathalie est la seule "perle" sur laquelle je sois tombé. Mais il y a très probablement d'autres "Nathalie" de par le monde. La seule chose est que ces gens sont simplement très rares. Le but de ces pages va être, entre autre, de localiser d'autres trouveurs et trouveuses. en France ou, éventuellement, dans d'autres pays.

    J'envisage donc deux démarches:

- Avec un certain Gary, 48 ans, enseignant en mathématiques, nous allons composer une sorte de journal dont le thème serait "comment, quand vous êtes enseignant en maths et en physique dans un collègue, ou ingénieur, ayant un niveau mathématiques spéciales,  pénétrer petit à petit dans "le monde de Janus", ce qui implique de se familiariser avec les techniques variationnelles, avec la géométrie moderne, la topologie, la maniplation des équations de champs, des métriques. On a déjà commencé. Ce "journal" touchera peut être un étudiant, voire, on peut toujours rêver, un chercheur, en particulier un géomètre, branché sur la topologie. En effet, parmi la vaste palette de  problème à attaquer il y a celui des orbifolds. Dans les vidéos Janus j'ai dit que je pensais que la géométrie de l'univers correspondait à un orbifold, c'est à dire à un manifold,  une variété, comportant une région singulière. Cette singularité se traduisant par la nullité intrinsèque du déterminant de la métrique utilisée, pour situer le problème sous un angle géométrique. J'ai le vague espoir, en jetant cette "ligne", que quelqu'un, qu'un trouveur mordra à l'hameçon. A 85 ans il me reste peu d'années pour trouver des successeurs

- Enfin, pour m'aérer un peu les neurones, je vais essayer d'entrer dans le monde de Nathalie, à travers l'approche pour laquelle elle a opté : l'algèbre géométrique. Ca semble sacrément intéressant et donne envie d'y aller voir. Selon ce que j'arriverai à assimiler, j'en ferai profiter les ainternautes.

GEOMETRIC ALGEBRA


    La GEOMETRIC ALGEBRA est un autre nom, en fait, pour l'algèbre de Clifford. Deux noms : Davis Hestenes (88 ans) et Chris Doran (plus jeune). Nathalie dit que des clés pourraient être dans ce genre d'approche. Je suis ...

On peut se demander comment, à 85 ans, j'arrive à tenir le coup. Premièrement grâce au soutien constant et inconditionnel de mon épouse Jie, la femme ma plus extraordinaire que j'aie rencontrée. Ensuite grâce à :

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Fin de ce prologue. La suite sera la mise en ligne du journal que nous composons, avec Gary et de ma tentative de m'initier à cette algèbre géométrique. Et, bien sûr, il y aura des pages liées à Janus, des éclaircissements, etc.





30 mai 2022 : L'Association Suport Janus a donc commencé à payer Nathalie à mi-temps pour qu'elle puisse consacrer ce temps à la recherche. Après avoir publié deux premiers papiers, en voici un troisième, que j'ai cosigné pour être à même de l'installer sur la base de données HAL, ce que je vais faire de ce pas. Il y a six mois Nathalie découvre l'Algèbre Géométrique. Je ne mentionne pas le lien vers la page française consacrée à ce terme car son auteur passe complètement à côté de la richesse de ce domaine de la physique mathématique. Voir plutôt la page anglophone Geometric Algebra. Je pourrais tenter d'améliorer cette page en français, mais je ne le puis, avant été banni à vie de Wikipedia il y a presque vingt ans, pour avoir révélé la véritable identité d'un détracteur, Yacine Dolivet, étudiant à l'époque, qui signait sous le pseudonyme de le Ya Ya. Je crois qu'après avoir bouclé un doctorat sur les supercordes il travaille dans une banque).

Voici une introduction très pertinente, composée en 2012 par  Georges Ringeisen  (      gr.web(AT)wanadoo.fr      )

    En fait cette ALGEBRE GEOMETRIQUE  n'est que l'application à la physique de l'algèbre inventée par l'anglais génial William Kingdon Clifford, mort à 33 ans (Clifford Algebra), conjointement avec l'allemand Hermann Grassmann Au XIX° siècles ces deux mathématiciens découvrent ce qui est présenté comme une curiosité en mathématiques, un algèbre non-commutative. A l'époque, et pour cause, personne ne voit quel lien cette algèbre pourrait présenter avec la physique. Les choses restent en l'état pendant presqu'un siècle jusqu'à ce qu'un jeune mathématicien américain, David Hestenes ( né en 1933 il a aujourd'hui 89 ans ) réalise le fantastique profit qu'on peut retirer en attaquant tous les domaines de la physique, sans distinction, à l'aide de ce qu'il identifie comme un langage mathématique nouveau.


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     Voici une conférence de 2002 où Hestenes présente cette application de l'Algèbre Géométrique.  Pour les non mathématiciens et non physiciens théoriciens, allez à la page 36 où il retrace la progression très pénible de ces idées au sein de la communauté des scientifiques, des mathématiciens et des physiciens théoriciens. 


COMMENT EVOQUER EN MOTS SIMPLES CE QUE PEUT ETRE CETTE ALGEBRE GEOMETRIQUE ?

Comme le dit Hestenes dans sa conférence, quand on s'est mis à manipuler des nombres complexes on a fait une chose étrange : on a additionné des objets de nature différente. En écrivant:

z = a + i b

on fait ce geste incongru consistant à additionner un objet "réel" et un objet "imaginaire. Effectivement c'est comme aditionner des carottes et des poireaux. On ne peut remplacer 5 poireaux par 5 carottes, ou un nombre quelconque de carottes. Pourtant "ça marche", modulo des règles de composition appropriéees.

L'Algèbre Géométrique consiste à manipuler des objets formésen additionnant un  scalaire et un vecteur. Puis, très vite, on envisagera des objets :


A = Scalaire + Vecteur + Bivecteur + Triveteur + .... + k-Vecteur

En fait on devrait écrire :

A = Zéro-vecteur + Monovecteur + Bivecteur + Trivecteur + .... + k-Vecteur


    Pour l'Algèbre Géométrique, un scalaire est un "zéro-vecteur".  Et "tout est vecteur". Pour chaque type de vecteurs il y a des éléments formant  leur base. Ce que nous appelions "vecteurs", sont des "monovecteurs". Ils ont leur base à 2, 3, 4 ou n dimensions.  Ce sont des " n-vecteurs". Le nombre des monvecteurs constituant leur base est égal à la dimension de l'espace. Mais un 2-vecteur (dans un espace à deux dimensions) n'est pas un bivecteur, pas plus qu'un 3-vecteur ( dans un espace à 3 dimensions) n'est pas un trivecteur. 

    Le physicien se suffira des trois premiers termes. Mais, dans ""sa nouvelle boite de Meccano" , par exemple en électrodynamique la densité de champ électrique est un zéro-vecteur , le champ électrique est un (mono)vecteur, mais le champ magnétique devient un bivecteur. On s'habitue très vite à tout cela. La première chose à faire sera d'apprendre à manipuler des nouveaux opérateurs, plus compacts. On avait les opérateurs différentiels :


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On va additionner ce zéro-vecteur et ce monovecteur en formant :

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C'est le "nabla" en Algèbre Géométrique. Continuons, en électrodynamique.  On va additionner un zéro-vecteur qui est le scalaire densité de charge électrique, avec un monovecteur qui est le classique "vecteur densité de courant électrique"

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Maintenant on va passer aux champs électrique et magnétique et on va définir une sorte de champ global F qui sera la somme des deux :

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Mais là on note que le champ magnétique est un ... bivecteur. Il nous faut alors introduire le trivecteur de l'espace 3D :

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Ce n'est pas le "i" des complexes, qui est alors lié à l'espace 2D et qu'on peut alors surmonter de deux flèches q car c'est un bivecteur. Quand vous serez plus familiarisés avec l'Algèbre Géométrique vous verrez que :

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Mais, dans la littérature on écrira  :

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en gardant en tête que ce "i" n'est pas celui des complexes. Ceci étant, l'ensemble des équations de Maxwell se résume à  :

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     Une seule équation, qui contient les quatres équations habituelles!  Il y a de quoi être intrigué. Dans les années soixante David Hestenes explore la palette infinie des possibilités offertes par cette nouvelle écriture. Tout y passe, les lois, les équations et bien entendu la mécanique quantique, qui s'écrit ... autrement. Il connait alors vingt années de complète traversée du désert, n'ayant pour seuls interlecuteurs que deux ou trois étudiants. Ni les physiciens, ni les mathématiciens ne lui prêtent attention. Il a même beaucoup de mal à publier et finalement mettra ce volumineux paquet de résultats dans un livre, paru en 1966, qui passe ... totalement inaperçu. Il ne publie ses travaux que dans la NSF ( National Science Foundation ), équivalant américain des Comptes Rendus de l'Académie des Science. Quand il tente de soumettre des arricles à des revues, il écrit que le tiers des referees le prend pour un "crank" (un fumiste). Un second tiers trouve cela "intéressant" mais sans que cela déclenche chez eux un intérêt réel. C'est perçu comme "une curiosité", et on trouve alors ses articles "trop longs". Enfin le troisième tiers ne comprend simplement par ce qu'il soumet. Comme il s'écrit : "je n'ai pas tenté Physial Review".

    Ainsi, point n'est besoi d'avoir avoué son intérêt pour un sujet sulfureux pour trouver porte close. Etienne Klein, qui se présente comme "philosophe des sciences" devrait enquêter là-dessus. C'est une fantastique enquête en épistémologie, à caractère d'actualité. Ca le sortirait de sa nième vidéo évoquant " ce à quoi Einstein pensait quand il a publié ça". 

    Dans les décennies suivantes d'autres se penchent sur cette question. Essentiellement deux mathématiciens anglais, Anthony et Joan Lasenby. Comme Hestenes, Anthony Lasenby pousse en direction d'une réécriture de la Mécanique Quantique, tandis que son épouse vous dans cette algèbre un outils pour l'analyse et la création d'images. Et c'est vrai, cette Algèbre Géométrique touche a tout. Hesenes comme les deux Lasenby déclarent :

L'Algèbre Géométrique se présente comme le langage universel de toute la physique.

Est-ce que ça prend ? Interrogez des physiciens théoriciens. Il est probable qu'ils n'en ont jamais entendu parler. Il y a un mois c'était mon cas.

Tous ceux qui oeuvrent dans cette direction se voient rétorquer, avec un refuse de leurs articles  :

- Vous ne faites rien d'autre que de réécrire différemment des choses qui sont déjà connues.

Le champ de la Mécanique Quantique est tenu par ses prêtres. Chaque discipline a ses propres Ayatollah. Cette nouvelle présentation les dérange, même si ils ne trouvent rien depuis des décennies. De plus, comme l'évoque Georges Ringeinsen dans son texte de 2012, l'interprétation qui émane de cette approche diffèe de l'interprétation de Copenhague. Une excellent raison pour être mis à l'index.


Aujourd'hui Internet change un peu la donne. Je vous recommande


Cette excellente vidéo d'introduction à l'Algèbre Géométrique.


Effectivement, de tels supports vont peut être susciter au moins la curiosité des internautes. Pour info nous découvrons que des Français se sont aussi intéressés à l'Algèbre Géométrique, dont le matématcien Claude Daviau,


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auteur d'un livre avec Jacques Bertrand en 2013  :    

NOUVELLE APPROCHE DU MODELE STANDARD DE LA PHYSIQUE
EN ALGEBRE DE CLIFFORD


et :


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Il y a un mois Nathalie Deberghe m'appelle, de Belgique :


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- Jean-Pierre, j'ai trouvé l'outil qui va nous permettre de progresser !


    Je regarde et, comme elle, je comprends ce qu'il y a "en plus" dans cette approche : Elle gère les symétries d'emblées, toutes les symétries.  Prenons la géométrie différentielle. On se donne l'espace de Minkowski, défni par sa métrique. Mais, ce faisant, on ne précise ni si cet espace est "droit" ou "gauche", ni si le temps s'y écoule du passé vers le futur ou l'inverse. Pour découvrir cette palette de possibles il faut construire le groupe d'isométrie de cet espace, le groupe de Poincaré (complet) et découvrir qu'il se décompose en quatre composantes connexes. Bref découvrir les orientations et les symétries, spatiale (P-symétrie), temporelle (T-symétrie)  et spatio-temporelle (PT-symétrie).

   Ringeisen compare l'Algèbre Géométrique à la grotte d'Ali Baba. Moi je la compare au cône du fourmilier. Si on s'y hasarde, on ne peut plus en sortir. On est piégé.

   Nathalie, 56 printemps,  est une authentique trouveuse, dotée d'une complète autonomie intellectuelle, et cela depuis qu'elle est "entrée en recherche". Point n'est besoin de lui donner des idées, ou de lui indiquer une direction de recherche. C'est pour cela que j'ai remué ciel et terre pour trouver de quoi payer son mi-temps, sur deux ans, depuis septembre 2021. Neuf mois se sont écoulés et déjà : Bingo ! Son article a été soumis hier à une revue. En attendant je vais le mettre sur HAL. Pour bien faire il faudrait que je le détaille, en français, pour le rendre plus accessible. 

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On Spacetime Algebra and its relations with Negative Masses


Vous vous rappelez que, dans le modèle Janus, on remplace l'équation d'Einstein par un système de deux équations de champ couplées. Ca s'appelle lancer le bouchon à distance cosmique.

Hestenes avait procédé à la réécriture de l'équation de DIrac en Algèbre Géométrique, ce que Nathalie appelle "l'équation de Dirac-Hestenes".

Nathalie a fait Mécanique Quantique la même chose qu'en cosmologie. A l'équation de Dirac se substitue maintenant  :


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Aux gens qui ont fait des dons pour qu'elle puisse se consacrer à mi-temps à la recherche, je dis : Même si sa production sur deux ans devait se limiter à cet unique  papier, elle aurait largement rempli son contrat. Mais, bien sûr, on ne va pas en rester là.

On va carrément attaquer l'équivalent de la Théorie Quantique des Champs en Algèbre Géométrie et :

LA QUANTIFICATION DE LA GRAVITATION

 

    A ce stade; nous avançons une conjecture (comme dirait l'autre abruti dont j'ai enregistré la communication téléphonique )


    Tous les essais de quantification du champ gravitationnel et de construction du graviton ont été des échecs.
Nous pensons que cela est du à la non prise en charge de cette seconde matière, de masse négative.
Des problèmes similaires apparaîtraient si on tentait de quantifier le champ électromagnétique en ne se fondant que sur une seule charge électrique.


Des gens me demandent souvent :

- Comment pourriez-vous être aidés ?

    La réponse est simple : il faudrait que Nathalie puisse (enfin) faire de la recherche à plein temps. Elle pourrait au passage étendre son travail à la cosmologie et à l'astrophysique. Elle en a la capacité. Mais toute tentative de recherche de solution via les instances de recherches française ou belge serait vouée à l'échec. En France comme en Belgique on paye des tas de gens qui ne produsient que des livres, des conférences et des vidéos, mais qui finalement, n'ont jamais rien trouvé et ne trouveront rien.

    J'avais pensé à essayer de passer Nathalie en plein temps/recherche pendant la période septembre 2022-septembre 2023. Mais administrativement, c'est tout simplemet ... impossible. Elle ne peut bénéficier d'une mise en disponibilité sur une année à plein temps et il n'est même pas s^r que son mi-temps pourrait être prolongé au delà de septembre 2023.


Seule solution : la création d'une fondation suffisamment dotée, qui puisse lui permettre de quitter son poste à l'éducation nationale Belge, en étant assurée d'avoir son salaire pendant les onze années qui la séparent de sa retraite. Coût : deux millions d'euros.


    Une fondation est une structure qui se trouve dotée d'un capital et, si j'ai bien compris, peut réutiliser les fruits de ce capital pour sponsoriser des actions, sans que ce bénéfice ne soit grevé par des impôts. Ou quelque chose comme ça. En tout cas, c'est ce qu'il faut viser, simplement parce qu'il n'y a pas d'autre solution. J'ai déjà trouvé deux sponsors, il m'en faut d'autres. Et ce qui est effarant c'est que pour faire réellement avancer la recherche il faille d'emblée abandonnre toute solution institutionnelle.


   A part ça je ne vais pas tarder à finaliser mon analyse critique du modèle du trou noir, que j'avais débuté à travers deux vidéo.

Une vidéo fleuve de 5 heures 20, s'adressant aux "niveaux mathématiques  spéciales"

Sa version "light", de seulement une heure 20.

Ces deux ont été compété par

Une troisième, de 16 minutes, consacrée à cette annonce d'obtention de la seconde photographie de "Trou Noir Géant".

 

    Cela peut paraître extravagant de s'opposer complètement à ce qui est présenté par l'ancien directeur de l'Institut des Sciences Avancées de Princeton (Advanced Studies Institure, auquel appartint Einstein), Robbert Dijkgraaf  (théoricien des cordes) "comme la plus grande découverte depuis celle de l'atome, un siècle plus tôt".  En effet, au sein de la communauté scientifique "c'est une affaire entendue".

     On trouve au centre des galaxies des objets supermassifs, dont l'origine et la nature sont inconnues. La masse de celui qui se trouve au centre de notre galaxie a été évaluée, en effectuant des mesures précises des vitesses d'objets qui orbitent autour de celui-ci.  L'évaluation de la masse découle alors des lois de Kepler, ce qui donne une fiabilité à cette mesure de sa mase. Pour l'objet qui se trouv au centre de notre galaxie ; quatre millions de masses solaires. Pour un autre, situé au centre de la gamaxie M 87 : 6.5 milliards de masses solaires.

    Que sont ces objets ? Automatiquement, des trous noirs géants, ce mot étant utilisé, mis à toutes les sauces,  pour masquer l'ignorance des astrophysiciens. Dès le premier article publié, consacré à l'image de l'objet, au lieu de titrer "Première image de l'objet supermassif situé au centre de la galaxie M 87",  leurs auteurs titrent :

q.


. . ...

Traduction :

Premier résultat du télecope Event Horizon, IV° partie ; l'image de son Trou Noir Central supermassif.


Ces images, les voilà :

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      En dessous, une échelle des températures codées en fausses couleurs. L'anayse des clichés indique que la température de la tache centrale est de 4 milliards de degrés. Mais cette tache est "sombre",  ce qui est suffisant pour la communauté scientifique pour affirmer d'emblée qu'il s'agit d'un "trou noir".  Pour moi c'est un "plugstar", un objet "sous-critique". Voir mes explication dans la vidéo. Selon ce modèle alternatif le rapport des températures,maximale et minimale, doit alors être de 3. Or das ce cliché ce rapport est 3.24. Même chose dans le cliché plu récemment ontenu, de 'objet supermassif situé au centre de notre galaxie où la température centale est de 1.8 milliards de degrés et ce rapport de 3.15. Coincidence ?

Je conjecture qu'il en sera de même pour les clichés suivants, d'autres "Trous Noirs Géants".

    Des scientifiques objectent : "On ne peut pas prendre pour argent comptant ces valeurs, isues d'une analyse compliquée de données émanant de plusieurs radiotélescopes". C'est fort possible. Mais alors, comment peut-on identifier d'emblée cet objet à un Trou Noir Géant, où la température centrale devrait être ... zéro ? Effectivement, une bonne attitude scientifique consisterait à faire preuve d'un minimum de prudence en écrivant "Ce cliché pourrait être celui d'un Trou Noir Géant". Mais, adieu le conditionnel. La communauté scientifique est sûre de tenir la première "preuve de l'existence de trous noirs". Pourtant ceux qui ont regardé de bout en bout ma vidéo de 5 heure 20 ont vu que le modèle reposait sur une sacré série d'incohérences mathématiques.

   Même certitude, au sein de cette communauté des black hole men, vis à vis des chiffres émanant du décodage des données concernant les ondes gravitationnelles captées par LIGO et VIRGO :


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   Sur ce graphique des ensembles de trois taches bleues, reliées par une flèche. Tout à fait à gauche, la première donnée obtenue. Evaluation des masses de deux objets, déduites du programme de "relativité numérique" de Kip Thorne :  29 et 36 masses solaires. Réaction de l'académicien Thibault Damour : "on ne pensait pas que les masses des trous noirs pouvaient atteindre une telle valeur". Il faut savoir que, classiquement, ces trous noirs son censés se former suite à l'implosion de la sphère de fer, "cendre des réactions de fusion" qui se forme au centre des étoiles massives, avant qu'elle n'évolue en supernovae : 

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     Comme évoqué sur ce dessin, cette masse de fer, représentée en bleu, ne représente qu'une fraction de la masse générale de l'étoile. Le record pour les étoiles est de 200 masses solaires. Or le graphique ci-dessus indique, en rouge, qu'un des deux objets qui, en fusionnant, aurait provoqué l'émission d'ondes gravitationnelles, devrait correspondre à cent masses solaires. Quelle étoile hypermassive donnerait naissance à un tel monstre ? Mais là encore, il n'existe aucune place pour une interprétation alternative. Les spécialistes ne se posent même pas la question. On compte sur le télesope James Webb pour obtenir des informations ur l'existence d'hypothétiques "hypernovae".

   Problème similaire pour les Trous Noirs Géants. Les black hole en imaginent que ces objets auraient pu grossir en avalant les étoiles qui les entourent. Mais on constate l'existence de tels objets à des redshifts dépassant la valeur quatre, correspondant à une âge d'univers inférieur à 800 millions d'années. Dans ces condition l'objet n'aurait pas eu le temps d'assurer sa croissance par "accrétion". Par ailleurs, depuis 2008 on dispose d'une évaluation des masses de ces trous noirs géants, fondée sur leur émission de rayonnement, censée accompagner cette accrétion. L'article est de Vestergaard et Al. Voici le graphique correspondant :

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     Que lit-on sur celui-ci ? Que la valeur type des masses des trous  noirs géants ayant un redshift de 4 à 5 serait (conditionnel!) autour du milliard de masses solaires, alors les objets dont les signaux émanent de l'époque contemporaine (redshift faible) tournent autour de millions de masses solaires. Rappelons que ces valeurs se fondent sur un modèle de rayonnement émis suite à la captation de la masse d'étoiles environnantes. Elles dépendent donc d'un modèle. Ceci étant, pour ces faibles valeurs des masses citons le chiffre correspondant à l'objet situé au centre de notre galaxie : quatre millions de masses solaires,  dont la masse est évaluée autrement. Que conclure sur la base d'un tel graphique ? La première idée consisterait à envisager que ces objets puissent, globalement,  perdre de la masse au fil des milards d'années, et que ce phénomène puisse aller en s'accélérant, sur le tard. Mais les trous noirs ne peuvent pas perdre de masse. Ils ne peuvent qu'en gagner. Conclusion des "spécialistes" : ces évaluations découlent d'une "biais statistique", elles n'ont aucune valeur ( sinon le modèle des trous noirs géants s'effondrerait ).

     Après discussion avec des spécialistes la sagesse consiste, bien sûr,  à ne pas adhérer à cette évaluation sans la moindre réserve, étant donné les hypothèses qui sous-tendent ce résultat. Nénamoins il parait difficile d'envisager une contre analyse qui conluerait à une augmentation statistiquement significative des masses au fil du temps. 

    Si on envisage le modèle alternatif des Plugstars, ceux-ci perdent de l'énergie par rayonnement. Ceci les amène à se contracter. Dès lors la criticité physique se manifeste au centre et de la masse se trouve inversée à coeur, en continue, et est aussitôt éjectée. Une évaluation "à la louche" de ce processus conduit effectivement à une accélération du phénomène à mesure que cette asse décroît.

Affaire à suivre




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