La crise est mondiale. Il faut que nous lui apportions une réponse mondiale. Et j'en appelle à tous les gouvernements.
Aucun d'entre nous n'en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que font les autres. Aucun !
Nous avons besoin du dynamisme de chacun. Pour deux choses. La première, trouver un nouveau système de régulation. Ça sera l'enjeu du sommet de Londres.
Et je puis vous dire une chose : l'Europe aura une position commune, forte.
Et je puis vous dire une deuxième chose : nous n'accepterons pas un sommet qui ne décidera pas.
Et je puis vous dire une troisième chose :
on ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial.
Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer.
Car à travers le monde, les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes.
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