Scholars for Reopen

Comme c'est bizarre, comme c'est étrange et quelle coïncidence

5 avril 2006

Scholars for Reopen : c'est le le nom d'un mouvement qui s'est créé au sein du milieu université-recherche pour exiger la réouverture du dossier " 11 septembre ". Pendant qu'en France des gens comme Guillaume Dasquié et Jean Guisnel publient " l'Effroyable Mensonge, Thèse et Foutaise sur les attentats du 11 septembre ", aux Editions La Découverte (un ouvrage que je décortiquerai quand j'aurai le temps), pendant que Thierry Meyssan reçoit des menaces de mort, que mes collaborateurs reçoivent des cartes, postées de Dallas montrant la librairie d'où Lee Oswald est censé avoir tiré les coups de feu qui ont entraîné la mort du Président Kennedy

 

La bibliothèque dont sont partis les coups de feu tirés par Lee Oswald

 

que d'autres reçoivent une photo de son "poste de tir"

 

Ce qui est censé être le poste de tir d'où Lee Oswald aurait fait peu sur J.F.Kennedy

 

assorties de menaces très explicites :

 

Le verso d'une des cartes, portant l'injonction " refermez le dossier 11 septembre "

 

les faucons américains, eux, passent au actes et ne font pas dans la dentelle.

Michael Zebuhr (en photo) préparait un doctorat de biologie à la Clemson University et figurait parmi les membres du mouvement des « Scientifiques pour la vérité sur le 11 septembre » ( Scholars for Reopen ), au sein duquel il jouait un rôle essentiel de coordination.

 

Michael Zebuhr, assassassiné d'une balle dans la tête le 25 mars 2006


Accompagné de sa sœur, d’un ami et de Mme Suzanne Strong, sa mère, il sortait d’un dîner à Minneapolis samedi 25 mars 2006 lorsque deux individus se sont approchés pour exiger le portefeuille de Mme Strong, qui leur a été remis sans résistance, a déclaré la police. Sans raison apparente, les deux agresseurs ont ensuite abattu Michael Zebuhr d’une balle dans la tête. Ce dernier est décédé 24 heures plus tard au Hennepin County Medical Center des suites de ses blessures.

Vous ne trouverez nulle mention de ce fait dans la presse française, ou même européenne.

Rappelons qu'il y a mille et une façon de faire disparaître un gêneur. Celle-ci est la plus brutale, dissimulée en crime crapuleux. Il y a aussi la "disparition sans laisser de trace" ( mort de mon collègue russe Vladimir Alexandrov à Madrid dans les années quatre vingt ). Une autre formule est "l'accident de voiture", le "camion fou" qui se rabat sur un autoroute ou coupe brutalement la route. Voir l'étrange accident dont fut victime un gêneur de grande envergure : Coluche qui, roulant en moto, trouva brutalement sur sa route un ... camion et qui resta pendant un sacré bout de temps à agoniser sur la route.

L'intégrité et le courage de la presse française prête à sourire, entre les hommes politiques qui se suicident avec l'arme de service de leur garde du corps, ceux qui se noient dans vingt centimètres d'eau, ceux qui se suicident de deux balles dans la tête, les bavards qui se fracassent le crâne en tombant de leur bicyclette, etc.

La mort de ce jeune chercheur ne nous étonne guère, de la part de gens qui ont été capables de tuer de sang froid trois mille de leur compatriotes.

 

Mais, bien sûr, tout cela n'est que "thèse conspirationniste" et effet d'une "malheureuse coïncidence"

 


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