Dr.
Leonard Horowitz :
Si la grippe aviaire devient réellement
une pandémie redoutable, ce sera à la suite d’une
volonté politique délibérée. Par
cet article, nous pouvons être mieux informés sur
le prochain génocide “médicalement assisté”,
tout en nous confiant dans le Seigneur pour notre protection
!
En avril 2003, nous avons déjà
connu le SARS (Severe Acute Respiratory Disease, SRAS en Français),
ou pneumonie atypique. Cette maladie nous venait également
d’Asie, et frappa lourdement la région de Toronto.
J’étais sur place pendant presque toute la durée
de cette épidémie, qui annonçait la grippe
aviaire actuelle. On a dit à l’époque que
le SRAS était la dernière venue de toute une série
de maladies nouvelles, provoquées par une série
de mystérieux “super germes” mutants qui
devaient frapper l’humanité.
Une étude scientifique attentive des
caractéristiques médico- sociologiques et des
antécédents de cette épidémie a
révélé quelque chose de bien plus insidieux
que le SRAS proprement dit. J’ai considéré
la réaction des médias comme doit la considérer
tout diplômé de Harvard, expert en problèmes
de santé publique et en techniques psychologiques de
persuasion mentale. Car cette épidémie possédait
toutes les caractéristiques d’une nouvelle expérimentation
sociale conduite par des “bioterroristes” en blouse
blanche.
Il me parut clair que cette manipulation humaine
sans précédent était destinée à
endoctriner les masses populaires et à les manipuler
subtilement, pour qu’elles soutiennent une politique de
santé publique parfaitement inadaptée à
la venue d’une pandémie massive, malgré
toute la législation existante (1). Tout au long de l’épidémie
de “pneumonie atypique,” les médias n’ont
cessé de faire référence à des “agents
bactériologiques” nouveaux, qui pouvaient provoquer
la disparition du tiers à la moitié de la population
mondiale. Ayant étudié à fond tout ce qui
a été publié récemment en matière
de contrôle de la population, ainsi que les objectifs
actuels des principales sociétés industrielles
multinationales, j’ai remarqué que ces “prédictions”
correspondaient étroitement à certains objectifs
officiels en matière de réduction de la population
mondiale (2).
En 2003, la lutte menée au Canada contre
le SRAS, pour la première fois de l’histoire de
ce pays, fut dirigée directement par les Nations Unies
et par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Pour avoir découvert les liens étroits qui existaient,
sur les plans financier et administratif, entre les organisations
suivantes, j’ai constaté que la famille Rockefeller,
la Fondation Carnegie, et les principaux dirigeants de l’industrie
pharmaceutique mondiale, ont contrôlé la recherche
canadienne et la lutte menée au Canada contre cette épidémie.
Aucune grande pandémie, ou épidémie
à l’échelle mondiale, n’a jamais pu
être séparée de son contexte économique
et politique. L’épidémie de pneumonie atypique
a fait avancer le programme politique du Nouvel Ordre Mondial
beaucoup plus vite que tout autre problème de santé
publique. Si les responsables politiques de la santé
publique voulaient réellement prévenir ces épidémies
nouvelles qui se produisent régulièrement, ou
s’ils voulaient vraiment les traiter à la source,
ils ne pourraient manquer de remarquer que ces agents bactériologiques
dévastateurs sont toujours mystérieusement apparus
au sein de structures secrètes associant certains milieux
militaires, médicaux et de la biotechnologie. Il suffit
simplement d’étudier la sociologie médicale
pour s’en rendre compte.
Cela fait des décennies que certains
“experts” nous prédisent l’arrivée
prochaine d’une super épidémie dévastatrice.
Ce qui a aussitôt éveillé mes soupçons,
en ce qui concerne la pneumonie atypique, fut le moment où
elle est survenue. Elle survint au moment même où
était lancée la guerre totale contre le terrorisme,
et la guerre Anglo-Américaine contre l’Irak. Il
m’a semblé qu’il s’agissait là
d’une occasion rêvée de “distraire”
l’opinion publique du fait que l’administration
Bush avait accusé Saddam Hussein d’accumuler un
arsenal impressionnant d’armes bactériologiques,
dont l’anthrax et le virus du Nil. L’épidémie
de pneumonie atypique était donc caractéristique
de ce que j’avais déjà annoncé dans
l’un de mes livres au titre prophétique, publié
avant les attaques du 11 septembre. Plusieurs mois avant ces
attaques, je les avais annoncées dans ce livre, en présentant
l’analyse conceptuelle qui nous permet de comprendre les
liens qui existent entre ces épidémies et le Nouvel
Ordre Mondial (Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic
Warfare, Tetrahedron Publishing Group, 2001 - “Mort dans
l’air : Globalisme, Terrorisme et Guerre chimique”).
Pour résumer l’essentiel de ce
livre, j’y expliquais comment une certaine forme de “bioterrorisme”
d’Etat était parfaitement compatible avec une guerre
bactériologique officiellement menée par un Etat.
Saddam Hussein avait lui-même fait subir à certaines
des populations de l’Irak et des Etats voisins les effets
destructeurs des armes chimiques et bactériologiques.
Pour moi, il est clair que la pneumonie atypique, tout comme
la grippe aviaire actuelle, se sont produites avec le consentement
et l’appui de certains milieux des industries médicale,
pharmaceutique, pétrochimique et militaire, opérant
de manière illégale. C’est ce que j’ai
pu prouver maintes fois.
Ayant eu l’occasion de témoigner
devant le Congrès Américain, j’ai pu me
rendre compte directement de quelle manière l’industrie
pharmaceutique influence et contrôle nos représentants
économiques et politiques au niveau du gouvernement.
Les épidémies émergentes complètent
les effets de la guerre politique contre le terrorisme, et correspondent
à notre culture actuelle influencée par le bioterrorisme.
Un tel programme secret répond à deux objectifs
essentiels : la recherche du profit, et la réduction
de la population mondiale.
Réalité politique, contre mythes véhiculés
par les médias.
La folie croissante du monde qui nous entoure
correspond étrangement aux recommandations des penseurs
du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les “désastres
sans guerre.” De quoi s’agit-il exactement ?
Dès la fin des années 60, dans
les principaux milieux industriels, on a commencé à
réfléchir à des “substituts économiques
à la guerre classique.” Comparés aux effets
des première et seconde guerres mondiales, les dégâts
qui pouvaient être provoqués par les désastres
naturels, les super ouragans, les épidémies, ou
la guerre bactériologique et génétique,
ont commencé à apparaître comme politiquement
et économiquement “rentables.” Ces “désastres
sans guerre” étaient manifestement beaucoup plus
“gérables” politiquement, et plus “rentables”
économiquement. Pour ces raisons, et tout particulièrement
pour leur rentabilité économique, les dirigeants
politiques Anglo-Américains du Nouvel Ordre Mondial ont
considéré ces “désastres sans guerre”
comme des options de tout premier choix.
Par exemple, le protégé de Nelson
Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que Conseiller pour la
Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé
en fait la politique extérieure des Etats-Unis, tout
en considérant la réduction de la population mondiale
comme une “nécessité” pour les Etats-Unis,
la Grande-Bretagne et leurs alliés. C’est ce même
Kissinger qui a été nommé par George W.
Bush pour présider le comité d’enquête
sur les événements du 11 septembre. Kissinger
est pourtant un criminel de guerre avéré, qui
avait ordonné à la CIA de développer des
armes bactériologiques, selon les archives du Congrès
Américain de 1975. Parmi ces armes bactériologiques
fabriquées par l’homme, il existe des germes bien
plus mortels que celui de la grippe aviaire !
Par exemple, avant 1968, Kissinger ordonna
une enquête concernant les agents bactériologiques
synthétiques existants, qui pourraient être utilisés
en matière de guerre bactériologique et de contrôle
de la population mondiale. Or une équipe de chercheurs
(O’Conner, Stewart, Kinard, Rauscher et d’autres),
venait juste de fabriquer en laboratoire de nouveaux virus mutants
de la grippe, capables de propager certains cancers (3). A l’occasion
de ce programme, certains virus grippaux furent combinés
artificiellement avec d’autres virus de la leucémie
aiguë, pour fabriquer littéralement de nouveaux
germes capables de répandre ce cancer à la vitesse
d’une épidémie de grippe, par simple contact
direct avec des personnes infectées. Ces mêmes
chercheurs ont aussi manipulé des virus du cancer du
poulet, un sarcome, pour les inoculer à des hommes et
à des singes, afin de tester leur capacité à
produire un cancer chez ces derniers. Raucher, et d’autres,
ont aussi employé les radiations pour augmenter la puissance
du virus du cancer du poulet. Ces faits scientifiques incroyables
ont été officiellement reconnus, mais largement
négligés par les principaux médias.
De même, l’Institut Londonien IOSS
(Institute of Science in Society), a officiellement évoqué
la possibilité que le virus de la pneumonie atypique
ait été fabriqué en laboratoire. Il a posé
la question suivante : “Est-il possible que des expériences
de génie génétique aient pu créer
le virus de la pneumonie atypique, même par inadvertance
?” Cette hypothèse n’a même pas été
examinée par les experts virologues appelés pour
aider à résoudre la crise, experts qui furent
par la suite encensés par les sociétés
pharmaceutiques soucieuses de produire les vaccins. Ceux qui
habitent des maisons de verre n’ont pas l’habitude
de jeter des pierres ! J’ajoute que l’IOSS aurait
pu aussi examiner l’hypothèse d’une création
intentionnelle du virus de la pneumonie atypique, dans leur
étude censée être scientifique et objective
(4).
Les “conflits sans guerre,” tels
que la “guerre contre le SIDA,” la guerre contre
la drogue,” la guerre contre le terrorisme,” la
guerre contre le cancer,” et, à présent,
la “guerre contre la grippe aviaire,” exigent des
programmes très sophistiqués de propagande, ayant
recours à des campagnes visant à stimuler la crainte
au sein de l’opinion publique, afin qu’elle accepte
et soutienne les lois supprimant les libertés publiques.
Ces opérations psychologiques sont nécessaires
pour contrôler ces conflits sans guerre, et constituent
la caractéristique essentielle de la nouvelle “révolution
militaire” en cours. Cette “révolution militaire”
cherche à instaurer une nouvelle forme d’esclavage
humain, par lequel les populations humaines ne se rendent même
plus compte qu’elles sont soumises à un esclavage
(2) !
Cette nouvelle “révolution militaire”
fait appel, sans aucun doute, à des armes bactériologiques
et chimiques très puissantes. Ces armes sont mises en
oeuvre par les fabricants de vaccins et de médicaments,
pour leur plus grand profit. Il existe un exemple classique,
celui des pesticides très toxiques et cancérigènes
largement utilisés dans des zones habitées, sous
prétexte d’éradiquer les moustiques responsables
de la “fièvre du Nil.” Ces produits, selon
les termes militaires, ne sont pas directement mortels. Mais
ils agissent à long terme, en provoquant une mort lente
par empoisonnement chronique, ce qui génère encore
plus de profits pour les sociétés pharmaceutiques
chargées d’inventer de nouveaux médicaments
pour lutter contre ces maladies. Les victimes de ces campagnes
d’éradication des moustiques meurent lentement
de maladies chroniques débilitantes. Les centres de soins
et les hôpitaux construits pour traiter ces malades ne
sont que des camps de concentration virtuels.
Parmi toutes ces maladies nouvelles provoquées
artificiellement figurent un grand nombre de maladies touchant
le système immunitaire, ainsi que de nombreux cancers
pratiquement inconnus il y a cinquante ans. Ce simple fait,
à lui seul, suffit à suggérer l’existence
d’un véritable génocide socio-économique
programmé par certaines autorités
Une grippe aviaire qui rapporte !
Face à l’épidémie
de pneumonie atypique, Michael Fumento, chercheur à l’Institut
Hudson de Washington, a publié à Toronto une thèse
économique, qui ressemble à celle que je développe
dans cet article. Cette thèse a été publiée
dans le Canadian National Post. On a demandé aux Canadiens
de se mettre eux-mêmes en quarantaine, de porter des masques
et, dans certains cas, de rester chez eux. Le Ministre de la
santé de l’Ontario a décrété
un “état d’urgence sanitaire,” alors
que les médias parlaient de la “super pneumonie,
cette tueuse mystérieuse.”
Refusant de se laisser gagner par cette hystérie,
Fumento posait un certain nombre de vraies questions. Cette
épidémie était-elle réellement aussi
mortelle et aussi contagieuse qu’on le disait ? Il concluait
en ces termes : “Les réponses à ces questions
ne laissent aucune place à l’excitation, encore
moins à la panique.” On pourrait en dire tout autant
pour cette nouvelle épidémie de grippe aviaire
(1).
Mortelle ?
A l’heure actuelle, le grippe aviaire
serait responsable d’environ 65 décès dans
toute l’Asie du Sud-Est, au cours des deux dernières
années ! Encore connaît-on peu de faits précis
sur les victimes, qui présentaient en général
des troubles de leur système immunitaire. En outre, tous
ces décès se sont produits dans des pays de l’Asie
du Sud- Est dont les services sanitaires laissent beaucoup à
désirer.
A titre de comparaison, les formes ordinaires
de grippe tuent plus de 40.000 Américains chaque année,
en général des personnes âgées au
système immunitaire affaibli.
Contagieuse ?
Selon le magazine “USA Today” du
9 octobre 2005, “les services de santé européens
travaillent à contenir le virus de la grippe aviaire
qui, jusqu’à présent, n’a touché
personne dans cette région du monde.” Cependant,
plus de 140 millions de volatiles seraient déjà
décédés ou auraient été supprimés.
Les pertes financières, pour le secteur de la volaille,
représentent déjà plus de dix milliards
de dollars. Selon les termes de cette propagande, “le
virus actuel, baptisé H5N1, n’a pas encore muté
au point de pouvoir se transmettre facilement d’homme
à homme.” En fait, il est probable que ce virus
ne s’est jamais transmis d’homme à homme,
si ce n’est au cours de manipulations de laboratoire (5)
!
Difficile à soigner ?
Selon un rapport du “Business Week”,
“Le Sénat Américain a déjà
voté un budget de 3,9 milliards de dollars pour acheter
des vaccins et des médicaments antiviraux. Le gouvernement
prépare aussi une nouvelle demande de crédits
de 6 à 10 milliards de dollars.”
Y a-t-il réellement une vie intelligente
sur notre planète ? La réponse à cette
question permettrait d’expliquer pourquoi le public accepte
aussi facilement de tels mensonges ! Même “USA Today”
affirme “qu’il n’existe pas actuellement de
vaccin pour l’homme.” Comment se fait-il donc que
le Sénat Américain puisse voter dans la précipitation
la dépense d’autant de milliards pour acheter un
vaccin contre la grippe aviaire ?
Je suppose que nous devons négliger
le fait que le virus H5N1 actuel ne s’est jamais transmis
d’homme à homme, et qu’il ne s’est
même pas non plus transmis très fréquemment
des oiseaux aux hommes. Ainsi, un vaccin vraiment efficace ne
pourrait être préparé qu’en faisant
muter ce virus, et en provoquant justement ce que le monde craint
le plus. Permettez-moi de m’expliquer.
Afin de fabriquer un vaccin spécifique
contre un virus mutant H5N1 transmissible à l’homme,
il faudrait tout d’abord que ce virus de la grippe aviaire
transmissible à l’homme existe. Or, actuellement,
ce virus n’existe pas, excepté peut-être
dans quelques laboratoires du complexe militaro-médico-pharmaceutique.
En fait, d’après les informations dont je dispose,
c’est exactement ce qui est en train d’être
préparé en secret. Afin de produire un virus transmissible
à l’homme, il faut cultiver le virus de la grippe
aviaire pendant assez longtemps, en le mélangeant à
des cultures de cellules humaines. Il faut ensuite l’injecter
à des singes, puis à des êtres humains,
pour vérifier si ces sujets attrapent ce nouveau virus
fabriqué en laboratoire.
Ainsi, ce nouveau virus que le monde craint
tant est 1) soit en train d’être fabriqué
dans des laboratoires financés par des industriels puissamment
motivés à laisser “accidentellement”
se répandre ce virus, 2) soit a déjà été
fabriqué dans ces laboratoires, pour
profiter de la panique mondiale actuelle, en prévision
des énormes profits qui seront dégagés
par la lutte contre ce virus.
Il faut savoir qu’un vaccin, pour être
réellement efficace contre un virus, a besoin d’être
spécifique. Si les autorités voulaient réellement
répandre le virus humain de la grippe aviaire H5N1 à
une certaine échéance future précise, elles
n’auraient aucune garantie sérieuse que le vaccin
produit en parallèle soit efficace à cette même
échéance, compte tenu des mutations virales possibles.
En effet, la rapidité des mutations virales dépend
de la nouveauté du virus. Les nouveaux virus fabriqués
par l’homme et créés en laboratoire, comme
ceux qui sont actuellement fabriqués pour préparer
un vaccin, sont beaucoup moins stables que ceux qui ont naturellement
évolué au cours des millénaires.
C’est pour cette raison que tous les
efforts actuels pour préparer un vaccin ne sont que de
la poudre jetée aux yeux, et que les véritables
motivations restent cachées.
Il faut aussi savoir que l’efficacité
d’un vaccin exige des années, ou du moins des mois
de contrôles et de vérifications au sein de la
population visée. Pendant cette période, on doit
soigneusement réunir toutes les informations sur les
effets secondaires ou les accidents thérapeutiques provoqués
par ce vaccin, afin de s’assurer qu’il ne tue pas,
ou ne rende pas malades, plus de personnes que celles qu’il
prétend sauver ! Pouvez-vous sérieusement croire
que le gouvernement, ou l’industrie pharmaceutique, pourront
réunir toutes ces garanties, au milieu de l’hystérie
provoquée par cette “pandémie” ? La
réaction désastreuse des autorités face
à l’ouragan Katrina sera avantageusement comparée
au désastre sanitaire et humanitaire certain provoqué
par un vaccin mal testé et des mesures de santé
publique
inadaptées !
Je parle de désastre certain, parce
que nous disposons de précédents. La liste est
longue de vaccins préparés à la hâte,
qui ont entraîné, une fois mis sur le marché,
des conséquences humaines horribles. On peut citer le
premier vaccin contre la peste porcine, les vaccins contre la
polio, le vaccin contre la variole, le vaccin contre l’anthrax,
le vaccin contre l’hépatite B et, plus récemment,
le vaccin contre la maladie de Lyme, qui a handicapé
près de 750.000 personnes en quelques mois, avant d’être
retiré du marché par les autorités !
La plupart des gens ignorent que tous les vaccins
comportent toute une série d’ingrédients
qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, et
même mortels. On peut citer, parmi ces ingrédients,
des produits chimiques toxiques comme le mercure, l’aluminium,
le formaldéhyde et le formol (employés pour conserver
les cadavres), des produits génétiques étrangers
à l’homme, des protéines à haut risque
issues de certaines espèces de bactéries, de virus
ou d’animaux, et qui ont été scientifiquement
associés au déclenchement de certaines maladies
du système immunitaire ou de certains cancers. Nous disposons
de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à
démontrer que les vaccins sont en grande partie responsables
de nombreuses maladies, comme l’autisme, la fatigue chronique,
la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l’arthrite
rhumatoïde, l’asthme, le rhume des foins, les infections
chroniques de l’oreille, le diabète de type 1,
et bien d’autres maladies encore. Ces maladies chroniques
et débilitantes nécessitent des traitements à
long terme, qui eux-mêmes entraînent de nombreux
effets secondaires. En réalité, la principale
cause de mortalité en Amérique est représentée
par les maladies iatrogéniques, c’est-à-dire
les maladies produites par le système médical,
ou contractées en son sein. Cela signifie que les vaccins,
comme bien d’autres inventions de l’industrie pharmaceutique,
handicapent et tuent littéralement des millions de personnes,
sans que ni le gouvernement ni l’industrie n’interviennent
pour arrêter ce fléau.
D’après tout ce que nous savons,
ce sont les gouvernements qui sont en train de fabriquer un
vaccin contre la grippe aviaire, dont l’effet sera précisément
de répandre cette pandémie dans le monde entier,
afin de réduire la population mondiale. Cette hypothèse
vous semble-t-elle absurde ? Lisez donc la suite.
Business Week pense que l’accumulation
de vaccins par les gouvernements ne peut que profiter aux sociétés
pharmaceutiques, comme Sanofi-Pasteur, Sanofi-Aventis ou Chiron.
On considère que le Tamiflu, un antivirus fabriqué
par Roche, serait efficace contre la grippe aviaire. Les Etats-Unis
possèdent déjà 4,3 millions de doses de
Tamiflu, et d’autres commandes dont en cours. Voici toutefois
ce que Business Week n’a pas révélé
:
L’efficacité et l’innocuité
du Tamiflu n’ont pas été prouvées
pour ce qui concerne les populations souffrant de maladies chroniques,
ce qui est le cas d’une bonne partie de la population
américaine. Il faut aussi noter que ce médicament
provoque de nombreux effets secondaires : nausées, vomissements,
diarrhées, bronchite, douleurs gastriques, étourdissements,
mots de tête, etc., etc..
En 1999, les Laboratoires Roche (Hoffman-LaRoche)
ont été reconnus coupables de malversations en
ce qui concerne la fourniture de vitamines sur le marché
mondial. Roche appartient à un cartel pétrochimique
et pharmaceutique issu de l’I.G. Farben, l’un des
piliers industriels de l’Allemagne Nazie (2) (6).
L’un des partenaires industriels de Sanofi-Aventis
est la Société Merck. Cette entreprise avait reçu
la part du lion, lors de la distribution des dépouilles
de l’économie nazie, à la fin de la deuxième
guerre mondiale. Le chiffre d’affaires de la Société
Merck a fortement chuté l’an dernier, quand elle
a dû retirer du marché l’un de ses médicaments
de lutte contre l’arthrite, le Viox, aux effets dévastateurs.
Selon des rapports récents, Merck et Sanofi-Aventis travaillent
actuellement à produire le premier vaccin contre un cancer
sexuellement transmissible, vaccin destiné aux adolescents
(7). Merck est aussi tristement célèbre pour avoir
produit le premier vaccin contre l’hépatite B,
responsable du déclenchement l’épidémie
de SIDA, selon des rapports scientifiques que j’ai publiés
dans l’un de mes livres, qui est actuellement un best-seller
(3) (8).
Au cours des semaines et des mois qui ont suivi
les attaques du 11 septembre aux Etats-Unis, j’ai réussi
à démontrer que les courriers contenant de l’anthrax
provenaient d’entreprises qui produisent des armes bactériologiques,
qui avaient conclu des contrats avec la CIA, et qui avaient
aussi des liens avec les services secrets anglais, ainsi qu’avec
ce même cartel pharmaceutique Anglo-Américain déjà
cité (9).
Ces courriers chargés d’anthrax
avaient provoqué dans toute l’Amérique une
vive crainte du terrorisme bactériologique, qui a profité
largement aux fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques,
les mêmes qui sont aujourd’hui associés à
tous ceux qui profitent de la grippe aviaire (10).
Confrontés à de telles craintes,
la plupart des gens n’hésitent pas à renoncer
à leurs droits civiques et à leurs libertés
individuelles. En Amérique, le vote de la loi scandaleuse
sur la Sécurité Nationale (Home Security Act),
ainsi que d’une loi similaire au Canada, sont des exemples
classiques de cette dérive sociale, et de cette manipulation
à grande échelle aboutissant à une législation
forcée.
Pourquoi l’Asie ?
Au moment où les relations entre la
Chine, d’une part, et la Grande- Bretagne et les Etats-Unis,
d’autre part, sont assez tendues, pour ne pas dire plus,
il est assez opportun que cette grippe aviaire provienne d’Asie,
tout comme la récente pneumonie atypique.
Juste avant les premiers cas de pneumonie atypique,
les Américains ont dû faire face à une escalade
d’agressions dans la péninsule de Corée.
La Chine communiste, pourtant déclarée “partenaire
commercial privilégié” de l’Amérique,
est politiquement alliée avec plusieurs ennemis de l’Amérique,
y compris ceux qui, à l’époque, étaient
censés posséder des armes de destruction massive,
comme l’Irak.
Etait-ce une coïncidence ? Vraisemblablement
pas, quand on considère l’oligarchie Anglo-Américaine,
ses entreprises multinationales, et ses “conflits sans
guerre” artificiellement provoqués.
Considérez aussi le fait que les principaux
médias étaient fortement influencés, si
ce n’est complètement contrôlés, par
leurs commanditaires multinationaux, qui défendaient
les intérêts d’un nombre relativement restreint
d’entreprises et d’organismes multinationaux.
N’oubliez pas non plus que les fournisseurs
d’informations suivent les directives des services de
renseignements, si l’on en croit le témoignage
respectable de très nombreux fonctionnaires et agents
de renseignements à la retraite. Il serait donc bon que
vous vous posiez les questions intelligentes suivantes, et que
vous y apportiez une réponse :
Pourquoi les hauts responsables de la Défense
Américaine, à commencer par William Cohen, Secrétaire
à la Défense sous Bill Clinton, ont-ils fait autant
de publicité à la prétendue vulnérabilité
des Etats-Unis en matière de terrorisme bactériologique
? N’est-ce pas une forme de haute trahison à l’égard
des Etats-Unis, que de dévoiler dans la presse des “secrets
défense” aussi importants, qui pouvaient être
exploités par les ennemis potentiels de notre pays ?
Pourquoi les principaux médias continuent-ils
à prédire l’arrivée d’une pandémie
mondiale causée par un virus grippal humain, qui provoquera
des millions de morts, comme la “grippe espagnole”
en 1918-1919 ? Pourquoi ces mêmes médias ne parlent-ils
pas des faits indubitables concernant les individus, les organisations
ou les laboratoires qui travaillent à produire ces agents
de destruction massive ? On a même tout fait pour “déterrer”
le virus de la grippe espagnole, soi-disant pour l’étudier
et, éventuellement, le répandre à nouveau
!
Pourquoi dit-on que le virus de la grippe espagnole
est-il apparu au Tibet en 1917, d’après les données
historiques officielles ? On a raconté que les journaux
espagnols avaient été les seuls à publier
des articles concernant cette grande épidémie,
en raison de leur neutralité au cours de la première
guerre mondiale. Toutefois, les relations entre l’Espagne
et les Etats-Unis, à l’époque, n’étaient
pas meilleures que les relations entre la Chine communiste et
les Etats-Unisaujourd’hui. On avait décidé
de baptiser cette épidémie “grippe espagnole”,
suite à deux décennies de disputes entre l’Amérique
et l’Espagne, à propos de la colonisation des Caraïbes,
de Hawaii et des Philippines, après la guerre hispano-américaine,
qui s’était terminée en 1902 aux Philippines.
En fait, la grippe espagnole avait commencé dans des
camps militaires. L’Histoire n’est- elle pas en
train de se répéter ?
N’est-il pas clair que l’Amérique
est en train d’être manipulée, et qu’elle
est sans doute la victime des planificateurs du Nouvel Ordre
Mondial ? N’oubliez pas que l’une des priorités
de ces planificateurs est la réduction de la population
mondiale !
La grande pandémie annoncée.
J’affirme à nouveau qu’au
cours des années 60 et 70, des laboratoires militaires
étroitement associés à l’industrie
pharmaceutique ont fabriqué des virus mutants de la grippe,
et les ont combinés avec des virus de la leucémie
aiguë. En d’autres termes, ils ont amassé
des quantités considérables de virus de la leucémie,
aussi contagieux que celui de la grippe (3).
Par ailleurs, de nombreux experts des maladies
infectieuses ou hauts responsables de la santé publique,
apparemment oublieux de cette réalité scientifique,
affirment que la grippe aviaire actuelle pourrait être
la “grande pandémie” prédite. Il y
a quelques jours, les Nations Unies ont publié un rapport
déclarant que 150 millions de personnes dans le monde
pourraient mourir de cette grippe aviaire.
Emma Ross, journaliste à l’Associated
Press, avait publié des articles sur la manière
dont l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)
avait lancé son “plan de crise pour éradiquer
l’épidémie de pneumonie atypique”.
Vous savez sans doute que l’OMS est l’une des organisations
qui dépendent de l’ONU, et qu’elle a été
accusée de répandre le SIDA en Afrique, sous couvert
de campagnes de vaccination contre l’hépatite B
et la poliomyélite. Il existe un certain nombre de faits
précis qui étayent cette accusation (1).
Il est troublant de savoir que les Nations
Unies sont très fortement influencées par certains
membres de la famille Rockefeller, qui possèdent des
intérêts dans les industries pétrochimique
et pharmaceutique. On sait que le siège des Nations Unies
à New York a été construit grâce
à la fortune des Rockefeller. Au cours de la seconde
guerre mondiale, ce sont encore les Rockefeller, ainsi que leur
“Standard Oil Company”, qui ont soutenu Hitler,
bien plus que les Alliés. Cela a été reconnu
devant les tribunaux. Un juge fédéral a décidé
que Rockefeller avait commis une “trahison” envers
les Etats- Unis.
Après la seconde guerre mondiale, selon
l’avocat John Loftus, enquêteur officiel sur les
crimes nazis, Nelson Rockefeller a persuadé les nations
Sud-Américaines de voter en faveur de la création
de l’Etat d’Israël, dans le seul but de détourner
l’attention du fait qu’il avait soutenu les Nazis.
John D. Rockefeller s’est joint à
Prescott Bush (le grand-père de George W. Bush), ainsi
qu’à la famille royale anglaise, pour financer
les initiatives “d’amélioration de la race”
qui ont donné naissance aux programmes “eugéniques”
d’Adolf Hitler. Au cours de cette même période,
la famille Rockefeller a pratiquement monopolisé l’industrie
pharmaceutique américaine, ainsi que les laboratoires
de lutte contre le cancer et de recherche génétique
(2) (3).
Aujourd’hui, la famille Rockefeller,
la Fondation Rockefeller, les Nations Unies et l’OMS sont
responsables de “programmes démographiques”
visant à réduire la population mondiale à
un niveau jugé plus “acceptable”. Comme l’a
écrit “Foreign Affairs”, un périodique
politique prestigieux publié par le CFR (Council on
Foreign Relations), dirigé par David Rockefeller, l’objectif
serait de réduire la population des Etats-Unis de 50
% (2).
Davis Heymann, de l’OMS, avait déclaré,
à propos de la pneumonie atypique : “Nous n’avons
jamais rencontré une épidémie aussi généralisée,
à une aussi grande échelle.”
Le Docteur Klaus Stohr, virologue de l’OMS
en charge de la coordination internationale des laboratoires,
avait ajouté : “C’est la première
fois qu’un réseau mondial de laboratoires échange
ainsi des informations, des échantillons, des prélèvements
sanguins et des images. Il n’y a plus de secrets, plus
de jalousie, ni de
compétition, face à une telle urgence sanitaire
mondiale. C’est un réseau phénoménal
!” (1).
Ces réseaux de surveillance des maladies
infectieuses sont encore contrôlés par les Rockefeller
!
Dr Léonard G. Horowitz
6 novembre 2005
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L’original peut être consulté en Anglais
à l’adresse suivante: http://educate-yourself.org/cn/
lenhorowitzdebunksavianfluhysteria11oct05.shtml
Reproduction de la traduction française autorisée,
pourvu qu'elle soit intégrale, et que les sources soient
indiquées.
A propos de l’auteur
:
Le Docteur Leonard Horowitz est un expert international
en matière de santé publique, de sciences du comportement,
de maladies nouvelles et de terrorisme bactériologique.
Diplômé de Harvard, il est membre de l’équipe
de chercheurs de cette université. Il est connu pour
plusieurs livres à succès, dont un best-seller
: “Emerging Viruses : AIDS & Ebola - Nature, Accident
or Intentional ?” (Les virus émergents, SIDA et
Ebola - Naturels, accidentels ou intentionnels ?) Ce livre a
permis l’ouverture d’une enquête officielle
aux Etats-Unis pour vérifier les hypothèses avancées
par le Dr Horowitz.
Les travaux du Dr Horowitz concernant les risques
associés aux vaccinations ont poussé au moins
trois pays du Tiers-Monde de modifier leurs politiques en matière
de vaccination. Le Dr Horowitz a eu l’occasion de donner
un témoignage retentissant devant le Sénat des
Etats-Unis.
Une semaine avant les attentats à l’anthrax,
le Dr Horowitz avait officiellement averti le FBI de cette menace
précise, mais il n’avait pas été
écouté.
Trois mois avant les attaques du 11 septembre,
le Dr Horowitz avait publié son treizième livre,
intitulé, d’une manière plutôt prophétique
: “Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare”
(Mort dans l’air : Mondialisation, Terrorisme et Guerre
bactériologique). Dans ce livre, le Dr Horowitz s’en
prend au “cartel pétrolier et pharmaceutique,”
qu’il accuse de préparer un nouveau génocide
programmé.
Notes
:
1) Horowitz LG. SARS (Severe Acute Respiratory
Syndrome) : A Great Global Scam. Available at
: http://www.healingcelebrations.com/SARS.htm
2) Horowitz LG. Death in the Air : Globalism,
Terrorism and Toxic Warfare.Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing
Group, (Spring) 2001.
3) Horowitz LG. Emerging Viruses: AIDS &
Ebola, Nature, Accident or Intentional ? Sandpoint, ID : Tetrahedron
Publishing Group, (Spring) 2001.
4) The Institute of Science in Society. SARS
and Genetic Engineering ? London, England. Article available
at
:http://www.tetrahedron.org/articles/health_risks/sars_engineering.html
5) Knox N. Europe braces for avian flu. USA
TODAY, October 9, 2005 ; Manning A Government to stock up on
avian flu shots. USA Today, Oct 8, 2005.
6) Wang P. Avian Flu: Inoculate Your Portfolio.
BusinessWeek. Online edition. Available at
:http://www.businessweek.com/investor/content/oct2005/ pi2005110_4988_pi015.htm
7) CNNMoney. Merck shares jump on cancer drug
vaccine. October 6, 2005.Available at
: http://money.cnn.com/2005/10/06/news/fortune500/ merck.reut/
8) For more scientific background on the link
between the hepatitis B vaccine and the AIDS pandemic link to
http://www.originofAIDS.com.
9) Horowitz LG. The CIA’s Role in the
Anthrax Mailings : Could Our Spies be Agents for Military-Industrial
Sabotage, Terrorism, and Even Population Control ? A Special
Report. Article available at : http://www.tetrahedron.org/articles/anthrax/anthrax_espionage.html
10) Horowitz LG. DNA : Pirates of the Sacred
Spiral. Sandpoint, ID :Tetrahedron Publishing Group, 2004.
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