ITER, dernières nouvelles ( 17 décembre 2014 ) :

Le Japonais Motojima arrivera, fin février 2015, à la fin de son mandat de directeur général d'ITER-Organization. Le bateau coule normalement (voir mes vidéos : tout se confirme ). Son interview d'août 2014 pour la revue Nature.


Le Japonais Osamu Motojima arrivera à la fin de son contrat de Directeur Général d'ITER-Organization fin février 2015. Le bateau coule normalement. Tout ce que j'avais décrit et annoncé dans mes vidéos se confirme. ITER est un bateau ivre, sans capitaine, un projet voué à l'échec. Ces vidéos ont eu un impact considérable, y compris sur les gens qui travaillent sur le projet, dont beaucoup ignoraient ses défauts fonciers, et même, très souvent, son ... principe de fonctionnement ! Le sous-titrage en anglais a donné à ces cinq vidéos une audience internationale. Cette fois, aucune réponse n'a pu être fournie concernant mes critiques. Mais les anciennes réponses, sans signataires, en Français et en Anglais, stigmatisant mon incompétence, sont toujours en place sur le site du CEA :

Réponse du CEA à l’article « ITER Chronique d’une faillite annoncée » de Mr Jean-Pierre Petit, paru le 12 novembre 2011 dans la revue NEXUS N° 77 (novembre-décembre 2011).

http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/analyse_critiquearticle_petit_nexus_vf.pdf

A rebuttal prepared by the French Commission of Atomic and Alternative Energies in reply to an article entitled "ITER: Chronicle of an Inevitable Failure" published by Mr. Jean-Pierre Petit in the November 12th issue of the review Nexus ().

http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/analyse_critiquearticle_petit_nexus_ve.pdf

Ces gens ne savent plus quoi faire. Aucun spécialiste de fusion ne pourrait apporter de caution à ces propos. Zugswang : qu'ils laissent ces textes en place ou les fassent disparaître, ils se ridiculiseront.

Vous devez savoir que parmi les sept pays qui se sont engagés par contrat sur ce projet, aucun ne peut abandonner le navire avant 2017, mais l'idée fait son chemin, en particulier chez les Américains, qui ont réduit leur participation financière. Ceux-ci jouent sur du velours. A l'échelle de leur budget de recherche cette participation reste modeste. Mais leur manque de soutien va amener la Communauté Européenne, à terme, à financer seule, comme c'est prévu par contrat en cas de désistements, ce projet aussi pharaonique qu'absurde et voué à l'échec. Ainsi les Etats-Unis pourront, sur le terrain science, poursuivre leur politique générale : déstabiliser tous ceux qui ne sont pas leurs alliés directs.

Glenn Wurden, ancien responsable de la fusion à Los Alamos, a abandonné complètement l'idée du tokamak dont il avait été initialement un des meilleurs spécialistes ( ITER est un tokamak ). Il s'est plus utilement repositionné sur le projet MagLif ( fusion dans une Z-machine, utilisant un "liner" magnétisé). C'est le précurseur du "deux-temps à fusion" où un laser d'un térawatt joue le rôle de bougie, en fin de compression MHD. Des réactions de fusion D-D, déjà.

Ah, au passage, dernières nouvelles concernant le banc laser américain NIF ( National Ignition Facility ), frère jumeau de notre banc français Megajoule, installé au Barp, près de Bordeaux. Les couplet concernant la production d'énergie par fusion initiée par laser ont cessé et Livermore révèle la réorientation du projet vers des objectifs purement militaires ( irradiation de cibles en plutonium 239 ).

Revenant à ITER, de nouveaux problèmes techniques se sont ajoutés à l'ensemble. Même si cette "cathédrale pour ingénieurs" faisait mine de fonctionner, il lui faudrait à terme du tritium, pour l'adjoindre au deutérium qui est, lui, abondant dans la nature. Le tritium, dont la durée de vie est de 12,3 années, n'existe pas à l'état naturel. On ne peut que le fabriquer, au titre de sous-produit, que dans des réacteurs où le modérateur est de l'eau lourde, pressurisée. L'eau lourde étant le modérateur (ralentisseur de neutrons ) le plus efficace, cette formule permet de travailler avec du minerai d'uranium naturel, non enrichi, composé le 99,3% d'U238 et de 0,7 % d'U235. Ce sont les réacteurs CANDU, principalement implantés au Canada. Un des inconvénients réside dans la faible durée de fonctionnement des chargements des coeurs : une année, contre trois à quatre pour des coeurs garnis d'uranium enrichi. Avec un taux de 235 aussi faible, dès que celui-ci chute, le réacteur cesse d'être rentable et son coeur doit être rechargé.

Au temps où ces réacteurs électrogènes fonctionnaient à plein régime le Canada a accumulé un stock de tritium, évalué à 35 kilos. Il est prévu que les campagnes d'essais sur mélange D-T, si un jour ils ont lieu, s'effectuent en puisant dans ce stock Canadien.

Celui-ci n'est pas inépuisable. En effet nombre de réacteurs canadien tritigènes sont arrivés en fin de vie et ce stock diminue régulièrement, du simple fait de la durée de vie courte de cet isotope. A terme un réacteur à fusion D-T devrait fonctionner comme un surgénérateur, c'est à dire recréer ce composant de son mélange combustible en utilisant les neutrons de 14 MeV émis par la fusion deutérium-tritiuml, en bombardant une cible de lithium, donnant la réaction :

Lithium + neutron   donne   Tritium + Hélium

Ceci devrait être opéré dans une enveloppe constituée par quatre cent cellules tritigènes enveloppant la chambre. Comme la réaction ne fusion D-T ne produit qu'un seul neutron, et que nombre d'entre eux seront perdus et ne parviendront pas vers ces cellules tritigènes il faut avoir recours à une substances qui multiplie les neutrons (du plomb ou du béryllium). Tout cela est extrêmement compliqué et problématique à mettre en oeuvre. Dangereux, également, à cause de l'affinité du lithium pour l'eau (les cellules tritigènes initiales étudiées par le CEA comportaient un refroidissement par de l'eau pressurisée). Alcalin, le lithium brûle dans l'air et explose au contact de l'eau (comme le sodium des surgénérateurs à neutrons rapides qui équipait Superphénix).

Le projet ITER, depuis sa définition initiale, a accumulé les retards. On a dû, dès son lancement, abandonner le matériau initialement retenu pour constituer la première paroi de la chambre : le carbone. En effet les atomes de Carbone arrachés formaient des carbures, de deutérium, mais aussi de tritium, vis à vis desquels la paroi carbonnée se comportait comme une véritable éponge ce qui fut découvert lors des essais de longue durée, sans fusion, menés sur Tore-Supra, à Cadarache. Devenue dès lors radioactive, cette couverture de carbone aurait alors constitué une masse de déchets ingérables. On a remplacé ce carbone, qui commençait à se sublimer à 2300° par le dangereux et très toxique béryllium, qui fond à 1280°C. De tous les côtés les problèmes s'accumulent, synonymes de retard.

Or le fonctionnement pleine puissance d'ITER, avec surgénération (reconstitution en continu du tritium consommé) ne saurait être indéfiniment différé. Le stock du tritium canadien diminue inexorablement.

Qu'à cela ne tienne, ne peut-on pas créer, parallèlement à ITER, une batterie de réacteurs dont la fonction serait de l'alimenter en tritium ?

C'est problématique pour deux raisons. La première est que cette production de tritium reste faible. Mais la seconde, infiniment plus importante, est que les militaires ( de tous les pays équipés d'ogives ) ont impérativement besoin de tritium pour assurer la maintenance de leurs armes nucléaires. Dans chaque tête, un gramme de tritium, sous haute pression, pour augmenter le rendement de l'arme. Cette charge doit être périodiquement remplacée. .

A propos du contrat liant les différents partenaire du projet ITER, ceci datant de l'époque où la France (le grand physicien qu'est Jacques Chirac en tête) et le Japon se battaient pour que le projet soit installé sur leur territoire, Chirac a "emporté le morceau" en s'engageant à ce que le directeur d'ITER-Organization soit systématiquement un Japonais, ce qui fut le cas jusqu'ici. Alors logiquement, le directeur s'asseyant sur le fauteuil laissé libre par Motijima devrait être un Japonais. Mais là-bas, en dépit de la vie de rêve liée à la région s'implantation du projet, personne ne veut accepter un tel poste de capitaine d'un bateau qui donne de la bande et finira par sombrer. Personne ne tient à s'asseoir sur un pareil nid de guêpes. Personne ne veut prendre la place de Motojima, qui a bouchonné des années entre les différents appétits des contractuels ses partenaires concernés et les divergences quant aux options techniques.

Il restait une solution : l'ineffable, l'insubmersible Bernard Bigot, qui n'est pas physicien mais chimiste de formation. Aux ordres, il n'aura de statut qu'en tant que "gestionnaire d'un grand projet" et en aucun cas de Directeur Scientifique. Bigot est le "culbuto" du nucléaire. L'équivalent de François Hollande dans son secteur. Rien ne lui fera quitter son éternel sourire.


" Bernard Bigot " ( faites-moi confiance ... ) : http://www.dailymotion.com/video/xatls0_bernard-bigot-et-les-dechets-nuclea_news

ITER n'a pas de Directeur Scientifique et n'en aura jamais. On va vers un immense gâchis.

On se rappelle que le ministre de l'enseignement et de la recherche, de François Hollande, Geneviève Fioraso, en inaugurant ITER en 2103 s'était écriée "nous partons à la conquête du soleil". Le clan socialiste soutient donc ITER. Récemment des instruction élyséennes ont atterri sur le bureau de Michel Vauzelle, député de la 16° circonscription des Bouches du Rhône, Président du Conseil Régional Provence Côte d'Azur ( Région PACA ). La consigne :

- Vous réservez 500 millions d'euros pour le projet ITER sur le budget de la région.

Réunion ( récente ) des membres du conseil régional.

- Les socialiste cautionnent unanimement cette décision

- Les écologistes leur emboîtent le pas (...)

- L'opposition, de droite, s'oppose à l'idée.

L'idée est repoussée, provisoirement, à une voix de majorité.

Suggestion : remettre cette affaire aux voix, après audit du projet.

Un audit, comment, par qui ? Un ... audit Interne ?!?

Le bateau coule normalement, de même que le "bateau France", tout le monde s'en rend compte.

 


( août 2013 ) Manque de classe :

Plutôt que d'accepter un face à face filmé et diffusé sur le net,
l'Administrateur Général du CEA, Bernard Bigot,
préfère répondre à une lettre envoyée par un internaute par des insultes.


On peut se moquer de tout le monde un certain temps, on peut se moquer de certaines personnes tout le temps,

mais on ne peut pas se moquer de tout le monde tout le temps.

(cité par Bernard Bigot dans sa réponse et me concernant : elle n'est pas de Gaulle, mais d'Abraham Lincoln)

" Faites-moi confiance " : http://www.dailymotion.com/video/xatls0_bernard-bigot-et-les-dechets-nuclea_news


On sait que, suite à la diffusion d'un document de 15 pages, intitulée "ITER, chronique d'une faillite annoncée" le CEA avait publié dans son site un texte diffamatoire me concernant, en français et en anglais :

Réponse du CEA à l’article « ITER Chronique d’une faillite annoncée » de Mr Jean-Pierre Petit, paru le 12 novembre 2011 dans la revue NEXUS N° 77 (novembre-décembre 2011).

http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/analyse_critiquearticle_petit_nexus_vf.pdf

A rebuttal prepared by the French Commission of Atomic and Alternative Energies in reply to an article entitled "ITER: Chronicle of an Inevitable Failure" published by Mr. Jean-Pierre Petit in the November 12th issue of the review Nexus ().

http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/analyse_critiquearticle_petit_nexus_ve.pdf

En dépit de mes demandes de légitime droit de réponse, ce texte se trouve toujours sur le site du CEA. J'avais donc envoyé à Bernard Bigot, reconduit en 2011 dans ses fonctions d'Administrateur Général du CEA une lettre de protestation, qu'on trouvera plus bas dans la page.

Après lecture de ce courrier, un internaute écrivit à Bernard Bigot la lettre suivante, et on pourra lire quelle réponse personnelle lui fit un des acteurs principaux de la politique nucléaire Française. Le lecteur appréciera et pourra éventuellement adresser à cet important personnage son propre courrier. Si des copies de ces lettres nous sont communiquées, ainsi que d'éventuelles réponses, nous pourrons les reproduire dans notre site.

 

Le courrier que M. Gurkinger a adressé à M. Bernard Bigot :

 

Gilbert Guirkinger                                              St Sulpice, le 10Août 2013
Village de Montfort
73160  St Sulpice
                                                                                     à M. Bernard Bigot
                                                              Administrateur Général du CEAEA
                                                               CEA, Saclay 91191 Gif sur Yvette

 

 

Monsieur l’Administrateur Général,

Permettez-moi de m’étonner de la légèreté avec laquelle vous traitez Mr Jean-Pierre Petit lorsqu’il se prononce sur un problème majeur des machines comme ITER, à savoir les disruptions qui sont évoqués par tous les chercheurs dans le domaine de la physique des plasmas.

Vous prétendez qu’il se disqualifie du débat parce qu’il prend la peine d’informer le public sur ces questions qui sans cela resteraient inconnues du grand public. Dois-je comprendre qu’un physicien des plasmas n’est pas qualifié pour étudier ces questions et mettre le résultat de ses recherches sur la place publique ?

Ou bien dois-je comprendre que nous le public n’avons pas à être informé de ces difficultés à venir comme ce fut le cas pour cette glorieuse (et dispendieuse) foirade qu’est devenu « Superphénix », également présenté en son temps par les ingénieurs d’EDF comme la machine fabuleuse qui allait révolutionner l’industrie nucléaire ?

Peut-être que si vous ou vos prédécesseurs aviez adopté un ton moins péremptoire quant à affirmer vos certitudes en matière de résultats futurs des merveilles qui non seulement ne ‘marchent’ pas comme « Superphénix », mais de plus ruinent, entre autres, les finances publiques, et que vous excommuniez quiconque ne pense pas comme vous, alors on pourrait vous accorder un minimum de confiance.

En tant qu’administrateur général du CEA, il vous incombe, à mon sens, de « faire le ménage » dans votre institution parce que le site du CEA porte toujours ces phrases accusatrices à l’encontre de Mr Jean-Pierre Petit.
On peut se moquer de tout le monde un certain temps, on peut se moquer de certaines personnes tout le temps, mais on ne peut pas se moquer de tout le monde tout le temps.
                                               

Meilleures salutations
                                                                                               

Gilbert Guirkinger

 

 

La réponse de Bernard Bigot :

 

 

 

Bernard Bigot se trompe, quand à l'auteur de la citation qu'il évoque :

You can fool some of the people all of the time,
and all of the people some of the time,
but you cannot fool all of the people all of the time.

― Abraham Lincoln

Une autre, au passage :

"Alle Wahrheit durchläuft drei Stufen :
Zuerst wird sie lächerlich gemacht oder verzerrt.
Dann wird sie bekämpft.
Und schließlich wird sie als selbstverständlich angenommen. "

 
Arthur Schopenhauer (1788 - 1860)

Traduction :

Toute vérité franchit trois étapes.
D'abord, elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition.
Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence.

Enfin, une troisième :

Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui
ceux qui voudraient faire la même chose,
ceux qui font précisément le contraire,
et surtout, la grande armée des gens d'autant plus sévères
qu'ils ne font rien dutout.

Jules Clarétie

 

 

 


 

Lettre adressée le 4 août 2013 à Mr Bernard Bigot, administrateur Général du CE A:

 

Jean-Pierre Petit, Physicien des Plasmas
Ancien Directeur de Recherche au CNRS   

 

                                                                                                                                              Pertuis, le 4 Août 2013

                                                                                                                                         à M. Bernard Bigot
                                                                                                                                        Administrateur Général du CEAEA
                                                                                                                                        CEA, Saclay 91191 Gif sur Yvette
 

 

 

Objet  : Le texte diffamatoire à mon égard que vous publiez sur votre site web depuis deux ans

 

Monsieur l’Administrateur Général,

Vous avez souvenir de mes courriers concernant la physique du projet ITER que votre Etablissement Public développe dans le cadre d’une collaboration internationale.

Suite à mes critiques scientifiquement et techniquement fondées, un texte a été mis en ligne sur le site de votre Etablissement, le 17 novembre 2011. On peut toujours y lire ce texte rédigé par vos ingénieurs, et validé par Monsieur Bécoulet, Directeur de l’IRFM :

Nous sommes affligés de la légèreté avec laquelle des informations scientifiques publiées dans des revues de renommée internationale, leurs auteurs, mais également les lecteurs de l’article lui-même, y sont manipulés à des fins étrangères à la recherche et aux progrès des connaissances.

Par un tel comportement intellectuellement malhonnête, Mr J.P.Petit se disqualifie lui-même ipso-facto du débat, qu’ils soit scientifique ou sociétal .


Malgré ma demande, un droit de réponse m’a été refusé. Vous n’avez pas également accusé réception des courriers suivants que je vous ai adressés à ce sujet.

Aujourd’hui, presque deux ans plus tard, vient de se tenir à Princeton, dans le plus prestigieux laboratoire de physique des plasmas au monde PPPL, le laboratoire de Physique des Plasmas de Princeton (consultez leur site web), un workshop portant sur les problèmes majeurs que présente ce projet. Parmi, ceux-ci, le problème des disruptions est mentionné comme le problème principal qui empêche encore aujourd’hui d’envisager sereinement l’avancement de ce projet.

Sans doute vos agents de l’IRFM ont-ils depuis plusieurs années, seuls sur la planète, la solution à ce problème crucial que je mentionnais dans mes articles il y a trois ans. Il est tout à fait essentiel que la communauté scientifique en soit maintenant informée !

Je communique donc à chaque participant à ce colloque la version anglaise de ce document rédigé par votre groupe d’ingénieurs de l’IRFM qui ont souhaité rester anonymes, document validé par le Directeur de l’IRFM, Monsieur Alain Bécoulet.

Pour conclure, il est particulièrement déplorable, il me semble, que des considérations stratégiques ou de politique internationale amènent des physiciens compétents à produire des textes aussi malhonnêtes que celui que vous avez fait paraître en réponse à mes articles dont tous les experts s’accordent aujourd’hui à admettre le bien fondé et l’analyse pertinente. Le renom est la réputation de l’Etablissement dont vous avez actuellement la charge en sont hélas profondément altérés.

Meilleures salutations,
                                                                                                                              Jean-Pierre PETIT , Physicien des Plasmas

 

Voir :

Réponse du CEA à l’article « ITER Chronique d’une faillite annoncée » de Mr Jean-Pierre Petit, paru le 12 novembre 2011 dans la revue NEXUS N° 77 (novembre-décembre 2011).

http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/analyse_critiquearticle_petit_nexus_vf.pdf

A rebuttal prepared by the French Commission of Atomic and Alternative Energies in reply to an article entitled "ITER: Chronicle of an Inevitable Failure" published by Mr. Jean-Pierre Petit in the November 12th issue of the review Nexus ().

http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/analyse_critiquearticle_petit_nexus_ve.pdf

Pour éclairer de façon objective votre esprit concernant la réalité de ce projet, puisque vous n’êtes pas physicien, je vous propose de visionner la série de vidéos de vulgarisation que j’ai réalisée récemment sur ITER et les perspectives en fusion nucléaire. Le nombre de vues affiché vous donnera une idée de l’audience de mes productions et leur succès, de très loin supérieures à toutes les vidéos de communication banale et non-objectives produites par ITER-organisation et par votre IRFM :

http://www.youtube.com/user/JPPETITofficiel/videos