-3- Monsieur BAUDRY
: Page 3 - Intervention de Messieurs BEAUDOIN et LAZAREWICZ : Monsieur SASSI : Par rapport au personnel qui reste à la maison, on aimerait savoir comment cela se passe en cas d'accident ? Monsieur LAZAREWICZ
: D'une manière générale, l'accident de travail
est pris en considération sur le lieu de travail, durant le trajet
ou durant une mission. Cela ne peut pas sortir de ce cadre-là.
Dans le cas présent, on dit aux gens de rester chez eux et de
rester disponibles. En cas d'appel, on ne sanctionnera pas un agent
absent de son domicile. Monsieur BAUDRY : Comment peut-on être pointé au travail et ne pas être couvert par la hiérarchie ? Monsieur LAZAREWICZ : C'est comme lorsque l'agent est en congé. Monsieur FILIPPI : Vous demandez au personnel de ne pas venir et vous dites que c'est pareil. Celui-ci veut venir travailler et vous interdisez l'accès à leur poste de travail. Monsieur BAUDRY : Par rapport à l'ordre du jour, on préfèrerait faire la visite des lieux avant la réunion. Monsieur LAZAREWICZ : La réponse est non. On ne fera pas de visite au fond. On n'autorise pas de visite au fond à ce jour. Je peux vous dire plus clairement ce qui a été dit lundi. Monsieur BONNET
: Par rapport à la sanction prise contre un délégué
mineur, la décision du Procureur d'interdire l'accès aux
cages et les faits du mardi matin par rapport au clark et à l'entreprise
sous-traitante qui voulait débarrasser le carreau, pour nous
c'est un ensemble. Si on ne doit rien toucher à l'entreprise,
on ne touche à rien.
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