31 mars 2005
Pas mal de lecteurs m'ont demandé par e-mail pourquoi, après installé un dossier ces jours derniers cette mention sur ma page Nouveautés avait soudainement disparu. L'explication est très simple. Peu après mise en ligne j'ai reçu des menaces de procès, de recours juridiques, etc.
Ayant déjà fait l'expérience de ce genre d'affaire et vu le peu d'importance réelle de cette histoire je n'ai pas jugé bon d'y donner suite. Nous avons par ailleurs sur Terre des soucis beaucoup plus graves. Dépenser de l'énergie dans de telles vétilles ne serait que perte de temps.
Ceci étant, pendant plusieurs jours nous avons eu l'impression d'être plongés dans une nouvelle de Marcel Aymé. Le point de départ était simple. Un site avait été créé : http://www.dgse.org . Soudain un lecteur a signalé que les adresses dgse.org et dgse.com pointaient vers ... un bijouterie texane la Dallas Gold and Silver Exchange. Surréaliste.
Une hypothèse assez plausible serait que le gestionnaire du "site non-officiel de la dgse" aurit tout simplement .... oublié d'acquiter la redevance de maintien des noms de domaines. La société américaine s'en étant aperçu aurait alors sauté sur l'occasion et repris ceux-ci. Il s'en suivit une série de quiprocos assez inénarables. En effet plusieurs sites consacrés à des "services" comportaient un lien pointant vers "le site non-officiel de la dgse", lequel se mit automatiquement à diriger les internautes vers ... la bijouterie texane ! Idem pour une page de la FAS américaine, la Federation of American Scientists et sans doute aussi pour un nombre inévaluables de sites dans de nombreux pays qui ont du également recopier ce lien. Nous avons pu apprendre au passage qu'il y avait plétaures de "sites non-officiels" au sein des "services", dont certains nous on précisé que bien que le site évoquant leurs activités soit géré par une SARL, ils "contrôlaient" les informations qui s'y trouvaient consignées. A ce stade la seule chose qu'on peut dire c'est que "c'est leur problème".
Le marché des noms de domaine est libre et sans droit de préemption.
http://www.dgse.fr est ainsi mis en vente par son propriétaire qui sugère "qu'on lui fasse une offre". Mais il n'est pas a priori susceptible d'intéresser la bijouterie texane, qui a mis la main sur http://dgse.com et http://dgse.org si celle-ci n'a pas de succursale en France.
http://cnes.com est pris par une société " Creative Network Service " orientée vers le graphisme. Pas de proposition de vente.
http://cnes.org pris et est en vente.
http://cnrs.org est déposé par un propriétaire anglophone et à vendre
Le nom de domaine cnrs.com est apparemment vacant mais un lecteur, Monsieur Robert Ash, résidant au Japon m'indique que la secte " Church for Natural Redemption through Science " pourrait se porter acquéreur.
Un lecteur, Sébastien, me signale que si on compose :
http://www.france2.com
http://www.france3.com
on atterrit sur des trucs vraiments originaux, simplement liés au fait
que les chaînes ont oublié de déposer les noms de domaine.
Lundi 5 avril 2005 :
Réception d'un "honorable anonyme" : cerpnetcourrier.com. Celui-là nous envoie vers un nouveau site ( "officiel" ? "non-officiel" ? )
et plus particulièrement sur la page :
http://centurion.estsurle.net/dgse.org.htm
Attention, certains fonds sonores étant particulièrement agressifs il est recommandé de baisser la puissance-son avant de cliquer sur certains dossiers. La page d'accueil générale contient une rubrique " Unités d'Elite " qui pointe vers une page DGSE dont l'URL est : http://centurion.estsurle.net/dgse.htm mais si vous cliquez sur le lien indiqué ci-dessus et qui était dans le message que j'ai reçu vous trouverez le même texte, assorti de l'image :
Fatigant...
Fin de cet intermède. Retour vers l'actualité. Découverte de l'ampleur et du développement rapide, dans l'indifférence quasi-générale du phénomène du "puçage" et du marquage des objets avec des RFID, passifs d'abord, puis rapidement actifs, qui sera immanquablement suivi du marquage des êtres humains. Constat de l'inertie effarante de l'immense majorité des hommes, des politiques, des journalistes face à cette évolution incoercible. .
Gillette va implanter 500.000 RFID passifs sur ses rasoirs. Très vite, tous les articles seront marqués de cette façon, non pas parce que "cela facilitera la gestion des stocks" comme allégué par la société, mais parce que la profession de vendeuse en grandes surface disparaîtra purement et simplement. Les vendeuses disparaîtront, mais aussi les étalagistes, les magasiniers, le manutentionnaires. Les objets seront mis ( ou remis ) en place par des robots. Baisse des coûts salariaux et nouvelle extension du chômage. Face à une telle poussée, à une telle perspective d'accroissement des taux de profits les protestations des clients et des associations de consommateurs ne pèseront pas bien lourd. On dira aux gens qu'après passage en caisse ces puces seront désactivées, mais ils n'auront aucun moyen de le vérifier.
Après avoir placé des micro-puces dans les rasoirs on en mettra dans des ... montures de lunettes, dans des vêtements, des montres, dans tous ce que les êtres humains pourront transporter avec eux, y compris dans des appareils dentaires ou des couronnes, des implants. Ils seront ainsi suivis à leur insu. Les systèmes de détections, non seulement transmettront à des ordinateurs centraux le suivi de leurs déplacements mais inscriront ces données dans la mémoire vive de la puce, devenue très rapidement "réinscriptible".
La réalité dépasse la fiction, de beaucoup.
Comme je l'ai dit, la taille déjà minuscule de tels objets ( un dixième de millimètre ) fera qu'on pourra les faire ingérer par les gens. Des biologistes assurent qu'il est possible de concevoir des puces qui seraient susceptibles de s'enkyster dans la paroi abdominale. On pourra en loger dans le cerveau de gens préalablement anesthésiés avec des pistolets à micro-ondes. Ces objets, qu'on ne pourra ni détecter, ni extraire, pourront alors servir de relais pour de multiples actions, selon l'endroit du cerveau où on les implantera ( la trace de l'implantation disparaîtra très rapidement ). A des sujets implantés on pourra interdire l'accès à des lieux ou à des régions entières sous peine de douleurs intolérables. Ces puces, dont la destruction à distance pourrait entraîner la mort des sujets, leur donner des maux de tête intolérables, créer chez eux des convulsions pourront devenir des moyens de pression imparables. Elles pourront délivrer des messages subliminaux dans l'optique d'un "crowd control", d'un "contrôle des foules", voire créer des hallucinations. Les pouces "réinscriptibles" et interrogeables à distance sont déjà opérationnelles, avec accès par clé codée. Big Brother s'installe au sein de nos sociétés en toute tranquillité, sans que les gens ne réalisent vraiment. La motivation ? La "sécurité" et le pouvoir d'un petit nombre sur une multitude d'être humains.
Nous savions que tout ceci arrivera tôt ou tard, mais nous ne savions pas que les choses iraient si vite. Notez au passage que la société qui fabrique les puces commandées par la société Gillette s'appelle :
Alien Technology
Ca ne s'invente pas.
Quand
on pose le problème de la source d'énergie pour une puce active
il faut garder en tête que les puissances à mettre en oeuvre à
l'émission sont infimes, que ces signaux pourront être captées
par une multitude de relais, de "bornes" ( comme pour les téléphones
portables ). Se rappeler qu'il y a 30 ans la nano-technologie de l'époque
avait déjà permis de "sculpter" les éléments
d'une pompe à engrenages, lesquels ne mesuraient que quelques microns
de diamètre. On peut imaginer le chemin qui a été parcouru
pendant ces décennies de progrès silencieux. Il existe des sources
énergie "naturelles" : par exemple les variations de la pression
atmosphérique ou de la .. pression sanguine, si la puce est enkystée
dans un vaisseau.
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