Bonnette à Réseau pour Spectroscopie

créé le11-20 mars - 2 avril 2018 - 9 mai 2019

 

Depuis Isaac Newton on sait que la lumière peut être décomposée en un spectre composé de différentes fréquences. Par la suite dans ces spectres ont été identifiées de raies spectrales, caractéristiques de la source. Enfin, si jadis ces spectres étaient produits par un prisme, les systèmes modernes se fondent sur des réseaux qui sont des supports transparents porteurs de fines stries parallèles. Quand le signal lumineux traverse un tel réseau, cette lumière est diffractée selon deux spectres, symétriques. Voilà par exemple ce qu'on obtient avec la lumière du Soleil :

 

Spectre : lumière solaire

 

Ce qu'on appelle improprement "tube au néon" est un tube de verre qui contient, sous une basse pression, de la vapeur de mercure. Celle-ci est traversée par une décharge électrique. Les collision entre les électrons libres et les ions mercure excitent ces derniers, qui réemettent du rayonnement ulstraviolet. Si on se contente d'exploiter celui-ci, tel quel, cela devient "une lampe à bronzer". Mais si on veut transformer ce dispositif en une source de liumière visible on disposera sur la face interne du tube un revêtement fluorescent. La fluorescence est la capacité qu'on certaines substances d'absorber un rayonnement incident, délivré selon une certaine longueur d'onde et de réemettre cette énergie dans une longueur d'onde différente. On a donc assemblé dans ce revêtement différentes substances qui, absorbant le rayonnement primaire émis par la vapeur de mercure, dans la gamme de l'ultraviolet, réemettent dans d'autres mongueurs d'onde, de manière à reconstituer au mieux possible la lumière solaire. Le Soleil émet aussi sa lumière selon des raies. Mais celles-ci sont si serrées que le spectre nous apparait de manière quasi continue. Il n'en est pas de même pour ce qu'émet le produit fluorescent déposée sur la face interne du tube. Le spectre présente certains manques, comme on peut le voit sur l'image ci-après. C'est la raison pour laquelle un éclairage par tube fluorescent nous parait différent de la lumlière solaire. Car l'oeil humain est un analyseur très fin. Ceci est l'image d'une source d'une lumière délivrée à travers une fente verticale (image centrale, blanche).

 

Spectre d'un tube fluorescent

Si on prend une photographie d'une source quasi-ponctuelle, en interposant un réseau, on obtiendra ceci :

 

Spectre d'une source ponctuelle.

 

Pour traiter une telle image il faudra d'abord la redresser :

 

Spectre d'une source ponctuelle

 

Puis on utilisera un logiciel spécialisé qui analysera ce cliché en produisant un profil photométrique donnant la quantité de lumière reçu pour les différentes longueurs d'onde. Le logiciel commencera par convertir l'image en nuances de gris :

 

Spectre d'une source ponctuelle en nuances de gris

 

En se concentrant sur la partie intéressant de ce spectre, après "calibrage" sur une source connue, le logiciel intrégrera la quantité de lumière présente sur l'image entre deux bandes proches :

 

Calcul de la densité photométrique

 

Cela donnera quelque chose comme cela :

 

Spectre du sodium

 

Une telle lampe émet sa lumière selon un ensemble de raies. La puissance lumineuse est donc concentrée selon ces raies, bien visibles sur ce cliché. C'est la raison pour laquelle on opte pour ce type d'éclairage, même si cette lumière est moins agréable que la luli§re solaire ou celle des tubes fluorescents, pour faire des économie (plus de lumière pour une consommation donnée, en watts ).

Depuis longtemps il est possible de se procurer des réseaux, qui se présentent par exemple sous la forme de diapositives :

Bonnette diapositive

 

Sur ces diapos est indiqué le nombre de stries par millimètre. Nous allons tabler sur des réseaux poteurs de 500 lignes par millimètre.

Pour se procurer ces réseaux, sur support plastique, et non verre, deux choix possibles :

- Par unité, en s'adressant la société française Jeulin : &&&& prix unitaire 15 euros (...)

- En nombre ( 50 minimum ) à un prix unitaire qui tombe alors à 0,5 euro. Compter 23 euros de frais d'envoi postaux.

https://www.rainbowsymphonystore.com/products/diffraction-slides-500-line-mm

J'ai eu il y a plusieurs années l'idée d'une bonnette ultraplate, autocollante, destinée à équiper les téléphones portables. Voici mon téléphone, ainsi équipé. Il suffit alors d'attrapper la tirette avec l'ongle et de tirer délicatement pour placer le film-réseau devant l'objectif de l'appareil.

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La bonnette-réseau ultra plate, sur un téléphone portable

Le prototype a été conçu à l'aide d'un logiciel puis produit à l'aide d'une imprimante 3D. Pour mettre ce produit à disposition des gens, encore fallait-il le produire et le diffuser, en nombre le plus important possible, dans tous les pays. La production des trois éléments, en plastique, peut a priori être assurée à l'aide d'un moule ( dans les 5000 euros ). Mais le montage, délicat, et la diffusion de ce "produit" semblait représenter un problème inextricable. Précisons tout de suite que le but de l'opération n'était pas de réaliser un profit en commercialisant cet objet, mais d'envisager un but tout à fait particulier, lié aux observations d'ovni. Depuis plus d'un dermi siècle que ce phénomène se manifeste, aucune donnée scientifique n'a pu être captée. En France, la création d'un service au sein du CNES, qui s'appela d'abord le GEPAN, puis a maintenant pour nom le GEIPAN (Groupe d'Etude et d'Information sur les Phénomèes Aérospatiaux Non identifiés), créé en 1977, c'est à dire il y a plus de 40 ans, s'est traduite par la collecte d'informations, esentiellement testimoniale, par des gendarmes. A la fin des années soixante-dix Claude Poher, premier resposable de ce service, fit fabriquer par la société Jeulin des bonnettes destinées à équiper les appareils photohraphiques des gendarmes. Il n'y eut jamais aucun retour d'une telle opération. On ne sait en particulier pas combien de ces bonnettes à réseau ont été distribuées, ni si un spectre d'ovni fut un jour capturé. Cette affaire n'a laissé aucune traces dans les archives du GEIPAN. Dans ce projet, seuls les gendarmes devaient être équipée et il n'avait pas été prévu que le public puisse acquérir cet accessoire.

Pour clore cette parenthèse GEIPAN je signale que celui-ci s'est doté d'un conseil scientifique. J'ai demandé à en faire partie. Pas de réponse. En 2017 j'avais fait suivre au GEIPAN un exemplaire du prototype de bonnette (image ci-dessus) en leur suggérant de développer cela Pas de réponse. Cette absence de réaction peut être imputée à deux choses :

                                     - Le souhait de ne pas voir cette collecte d'information opérée par le pubic lui-même, de manière incontrôlable. On devrait renommer ce service le GEDPAN (Groupe d'Etude et de Désinformation sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés).

                                     - La simple incompétence.

Il est inutile d'épiloguer.

Or il est évident que pour qu'on puisse un jour disposer d'un tel spectre il faut que nombre le plus grand possible de personnes soient équipés d'un tel dispositif, à une échelle planétaire. Si un jour votre téléphone portable en est équipé vous aurez peut être une chance sur mille d'être confronté au phénomène ovni. Ce qui est intéressant avec l'objet proposé c'est qu'il est discret, ne vous gènera pas. Il le serait encore moins si un fabriquant de coques décidait de l'intégrer à son produit. Un fabricant de telles coques ensagera peut être un jour de les équiper d'une tourelle (ultra-plate) permettant de placer devant l'objectif un jeu de lentilles en donnant à l'appareil la capacité de faire de la macrophoto où de fonctionner avecun téléobjectif. Le réseau pourrait alors compléter la panoplie d'objectifs disponibles. Simple suggestion à l'adresse de fabricants.

Ce dispositif, on l'installe en quelques secondes, en enlevant le film protégeant la bande de sctoch autocollant dont il est muni et ... on l'oublie.

Dans le cadre d'une activité associative un prototype fut donc réalisé, en quelques exemplaires, à l'aide d'un imprimante 3D. J'ai alors souhaité que le fichier correspondant puisse être mis en open source sur les sites où figurent des fichiers analogues que les internautes peuvent alors télécharger gratuitement. Je me suis heurté à un refus. Comme cela contredisait la philosophie qui avait présidé à la création de cette association, en 2007, j'ai donc démissionné de mon poste de président et entrepris de redonner vie à ce projet, après deux années de perdues.

C'est chose faite. Les internautes pourront donc télécharger ces fichiers pour imprimantes 3D aux adresses :

https://cults3d.com/ Français                 https://www.thingiverse.com/ Anglo-saxon

Lien vers le fichier 3D :

https://cults3d.com/fr/modèle-3d/divers/spectrosmart-ou-comment-transformer-votre-smartphone-en-spectroscope

 

Edition de quatre bonnettes sur une imprimante 3D

 

Trente en cours de collage, posées sur une feuille de plastique, pour protéger la table.

 

Une précision immédiate : cet objet ne fait l'objet d'aucun dépôt de quelque nature que ce soit. Il peut être copié, diffusé, modifié, perfectionné, intégré dans un dispositif, à volonté. Il ne fait l'objet d'aucun brevet ou dépôt de modèle. Nous ne lui avons à dessin pas donné de nom. Pour nous c'est une simple "bonnette à réseau" et non un "spectromachin" etc ...

La bonnette se compose de trois pièces, à assembler. En bas et à droite le tiroir et la fenêtre contre laquelle on viendra coller (délicatement) le bout de réseau. On peut choisir sa couleur. Comme on l'a compris, il s'agit de lancer une véritable chasse à l'ovni à échelle planétaire.

Une colle cyano en gel convient pour coller le PLA. Le problème était de trouver une colle qui n'attaque pas le film du réseau, ce qui nous a fait opter pour une colle pattex stypor. Evidemment : ne pas mettre les doigts sur le réseau, utiliser une pince à épiler et un scalpel. La pose de la bande autocollante ne pose aucune difficulté.

Pour réussir à capturer un spectre d'ovni, plus il y aura de téléphones portables équipés et plus les chances seront grandes. Je crois que les citoyens des différents pays ont fini par se rendre compte que les "pouvoirs publics" n'étaient guère favorables à ce que toute information concernant les ovnis se retrouve entre les mains du premier venu. Et de fait tous les services qui, officiellement, sont censés "faire la lumière sur cette question" ne sont en fait que des officines oeuvrant pour l'armée du pays concerné. La seule solution pour briser ce mur de secrets est que cette captation d'information, son analyse et son interprétation relèvent du public lui-même.Le dispositif décrit ici va dans ce sens. Mais, à supposer qu'un témoin capture un jour un spectre, nous allons faire en sorte qu'il puisse disposer lui-même de tous les éléments pour en exploiter cette information, c'est à dire pouvoir analyse lui-même le spectre et identifier la nature de la source.

Pour cette question, après avoir résolu cet aspect "hard", nous repartons à zéro, en recherchant le bon logiciel permettant d'analyse un spectre. Tous les efforts vont être faits pour mettre ces outils d'analyse à la portée du plus grand nombre.

En matière de capture de spectres, deux remarques

                    - S'il s'agit de phénomènes naturels on pourra s'attendre à trouver dans le spectre la signature de composants de l'atmosphère, dont la vapeur d'eau.

                    - S'il s'agit d'une météorite il y aura le maximum de chance que celle-ci soit de nature "ferreuse". On trouvera donc dans le spectre les traces de métaux comme le fer et le nickel.

                    - Ce qui sera éminemment intéressant c'est lorsque ce signal n'entrera dans aucune des deux catégories.

Je pense, personnellement, que les ovnis sont des engins de provenance extraterrestre qui peuvent "inverser leur masse". Je conjecture aussi que ce processus passe par l'émission d'une bouffée gazeuse constituée d'atomes ayant un niveau d'excitation neutronique métastable, ce qui permet une fantastique concentration d'énergie dans une couche gazeuse très mince entourant le vaisseau. Je suis donc particulièrement intéressé par ce qui est lié à ces spectres d'ovni.

 

Cette vidéo, prise en Chine en 2006, est peut-être un faux. Mais si ça n'en était pas un, qu'aurait révélé une prise de spectre au moment de la dématérialisation de l'objet ?

 

 

Nous vivons dans un monde où le mensonge est roi, où la malhonnêteté et la désinformation sont partout. La corruption, également. Le monde scientifique, à travers ses médias science, participe à cet enfumage général. On peut décliner cette phrase de Clémenceau :

                  - La Guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée à des militaires.

et la conjuguer de multiples façons :

                   - La politique est une chose trop sérieuse pour être confiée à des politiciens

                   - Le problème de la vie après la mort est une chose trop sérieuse pour être confiée à des religieux.

Là, il s'agit d'un voeu pieux ....

Par contre il me semble qu'on peut aujourd'hui écrire que :

                   - La science est une chose trop sérieuse pour être confiée à des scientifiques (en place).

Ce n'est pas la démarche scientifique en générale qu'il faut remettre en cause, mais la façon dont elle est gérée par ceux qui détiennent le pouvoir et monopolisent les canaux d'information. Mais dans tout cela on tend à oublier un interlocuteur important : la Nature. Celle-ci nous répondra si on l'interroge.

Le phénomène ovni est là, présent. Mais comment faire la lumière sur cette question si on tourne le dos à toute recherche, si on ne pose aucune des bonnes questions, comme cela a été le cas depuis 50 ans.

Ce petit objet est là pour sortir cette histoire de l'ornière. Si un jour on capture un spectre qui ne correspond ni à de la vapeur d'eau (phénomène atmosphérique) ni à des métaux comme le fer et ne nckel, alors des masques tomberont, sur l'ensemble de la planète. Mais j'entends évidemment des gens me dire "ça ne marchera jamais. Il faudrait que les témoins aient un téléphone potable avec eux, qu'ils pensent à s'en servir, qu'il pensent à activer cette bonnette. Et les ovnis, ils ont autre chose en tête". Peut-être. Mais si on ne tente rien, alors rien ne se passera.

Ceci étant, comment lancer ce mouvement ? Je sais qu'il existe des groupes de "Makers" à qui on peut envoyer un fichier en leur demandcant un devis ( 3Dhubs ).

 

 

 

 

 

Vous téléchargez les fichier :

c

 

Vous choisissez le matériau : PLA. etc ... Mais ces gens n'assureront pas le collage, l'assemblage de pièces, le fait de munir l'objet de son film-réseau. Cela, vous devrez vous en charger vous-même.

Je ne sais pas à combien reviendrait les éléments ainsi obtenus.

Rémy Nahan avait fabriqué des exemplaires pour permettre à des internautes de les acquérir, mais suite à la publication par J.C.Doré de cette mise au point sur le site d'UFO :

 

Cette offre de mise à disposition a été supprimée. Explications en cliquant sur ce lien

Apparemment L'association UFO-science se chargera elle-même de cette mise à disposition :

" Bientôt dans les bacs ".

Pour contacter UFO-science :

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Si un fabricant de coques voulait intégrer un réseau, la solution serait facile. La boutique qui est à Roswell et qui voit passer chaque année des milliers de touristes, vendrait cet accessoire comme des petits pains

 

On voit qu'il ne s'agit que d'une très légère modification d'une coque standard, avec adjonction d'une unique pièce, du petit tiroir portant le réseau

Il y a d'autres possibilités. On trouve sur le Net ce genre d'accessoire, assez bon marché du reste. Avec un pince on peut positionner devant l'objectif du téléphone des objectifs supplémentaires, le rendant apte à fonctionner en télé-objectif, en macro-photo, en grand angle, voir en fisheye.

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Mais, s'agissant de prendre un cliché d'ovni, ça ne conviendrait pas. Il y a trop d'opérations à réaliser. On peut alors envisager de regrouper tous ces systèmes optiques sur une tourelle rotative. Comme les objectifs des téléphones portables sont minuscules, ces accessoires pourraient aussi se trouver à l'état miniaturisé. On pourrait imaginer que la partie télé-objectif, a priori la plus encombrante, puisse se trouver suffisamment raccourcie pour le pas gêner l'utilisateur. Alors, pourquoi ne pas inclure dans cette tourelle un réseau ?

Le diamètre de la tourelle dépendrait de la position de l'objectif : plus grand si celui-ci est placé sur le côté. Quand à la rotation de cette tourelle on pourrait l'opérer avec le pouce, ou avec une pièce de monnaie. On peut aussi faire que cette tourelledépasse légèrement, ce qui permettrait d'agir sur lui comme sur un barillet. Et si une telle coque existait, qui démultiplierait les possibilités de votre téléphone portable, vous permettrait de passer en grand champ d'un simple geste, pour une photo de groupe, ou de capturer l'image d'un objet très distant, en feriez-vous l'acquisition ? Ca serait une façon de glisser "l'attrappe-ovni" dans le lot.

Le marché des cell-phones est immense, planétaire. En peu de temps des centaines de milliers de téléphone pourraient être ainsi équipé.

 

2 avril 2018 :

En fait, il y a beaucoup plus simple et je n'y avais pas pensé. Les optiques des téléphones portables sont minuscules. Deux millimètre de diamètre. Par opposition aux optiques classiques ce sont des objets de micro-technologie qui ne sont absolument pas fabriqués manuellement. Leur équivalent en matières premières est dérisoire. A partir du moment où une machine s'est montrée capable d'en fabriquer une seul, en fabriquer des millions ou des centaines de millions ne posait aucun problème. Très vite, fort logiquement, étant donné l'immensité du marché, les industriels ont étudié et mis au point différents objectifs comme un grand angulaire, un téléobjectif, un fish-eye. Point n'est besoin alors de doter l'appareil d'une tourelle rotative. Le téléphone portable serait simplement équipé, non d'un système photographique, mais de plusieurs, dotés de leur propre objetif, de leur propre "rétine" et élément de mémoire. Ainsi, quand l'utilisateur appuie sur son bouton déclecheur il ne capture pas une image mais plusieurs, simultanément, et cela systématiquement. Ca n'est qu'au moment de la visée que des options lui sont suggérées. Il serait donc tout à fdait possible d'ajouter à l'ensemble une prise de spectre, lequel serait automatiquement analysé et comparé à une banque de donnée. Si l'argument "traque des ovnis" n'est pas pris en compte, le fabricant se dire peut être "cela permettrait à des professeurs de lycées de faire des manips devant leurs élèves. A moins que cela ne permette à un ingénieur d'analyser une flamme ou à un écologiste de mettre en évidence un phénomène de pollution".

De toute façon, l'émergence d'un tel système est déjà programmée.

Quant aux systèmes dotés de fish eye, on en trouve déjà qui se présentent comme des ampoules électtriques, avec des objectifs minuscules, et un système de détection d emouvements, et cela pour exploiter le vaste et juteux marché de la sécurité. Les systèpes opérant un pointage automatique, également minuartusés, verront rapidement le jour. Pour cette raison les soi-disant dépôts de modèles sont d'ores et déjà totalement naïfs et dérisoires.

             Caracrétéristique de la prise d'images par l'I-phone 10 :

L'I-phone 10 a déjà DEUX OBJECTIFS

 

 

9 mai 2018 :

Jean-Christophe Doré n'ayant pas répondu à ma proposition selon laquelle UFO-science pourrait assurer le contrôle de la qualité des bonnettes autocollantes produites, c'est donc moi qui vais m'en charger.

- Un premier " maker" s'est manifesté, Joël Delasousse. Il a créé son propre modèle, tout en mettant immédiatement son fichier en open source sur le net. Il m'a envoyé deux bonnettes. Ca a l'air bien monté, propre, bien collé et a priori fiable. Je pense donc que les internautes peuvent lui passer commande. A cet effet, voici ses coordonnées et ses tarifs :

Joel Delasausse, 4 rue de la Grange Mougin 88200 Saint Etienne les Remiremont.

Son tarif (Ajoutez une enveloppe timbrée pour expédition):

8 euros : une bonnette entièrement finie

13 euros : deux bonnettes entièrement montées

20 euros : quatre bonnettes entièrement montées.

ou pour 8 euro : 5 kits à monter, plus la diapo pour y découper les bouts de réseau.

Pour un plus grand nombre, contactez Joël directement à 

 

 

 

 

 

En deux pièces au lieu de trois        https://www.thingiverse.com/thing:2915272

Réalisation : Joel Delasousse ( modèle non déposé )

 

 

 

Pour se procurer des réseaux : https://www.rainbowsymphonystore.com/products/diffraction-slides-500-line-mm

Bonnette diapositive

 

 

Bien entendu, n'importe qui peut télécharger ce fichier, produire cet objet et le mettre en vente au prix qu'il voudra. Voire même le modifier à sa guise. Si ce qu'il produit est correct, fiable, je ferai figurer son nom dans la liste des "makers". Je compte faire de la publicité à ce produit dans une prochaine émission à Nurea TV et dans la revue Nexus. Le contact a été établi avec le MUFON-USA. On va pouvoir enfin sortir ce projet de l'ornière où il gisait depuis 18 mois à cause de lamentables petits problèmes d'ego. Pour être clair, s'il faut rechercher l'inventeur de ce concept de bonnette ultra-plate autcollante, c'est ... un certain Jean-Pierre Petit (ce dont je me fous éperduement). Témoin ce dessin que j'ai fait suivre en 2013 à Jean-Christophe Doré en lui dermandant de développer cette idée.

Bonnette ultra-plate autocollante JPP 2013, modèle non-déposé

 

 

Ces annonces de dépôts de nom, de modèles, de plans, à l'INPI ne sont qu'une intox lamentable, un bluff destiné à dissuader des gens de produire ces objets qui, dans mon esprit, sont dans le domaine public à 100%. Le site d'UFO-science a fait état "de départ de membres". En fait le seul qui était parti, c'était moi, puisque nous n'étions que trois avec Doré, trésorier et Ader, secrétaire ( qui démissionna lui-même peu de temps après). L'annonce banalisait ma démission en tant que président-fondateur en disant que "cela fait partie de la vie des association : certains membres partent, soit parce qu'ils ont décidé de faire autre chose, soit parce qu'ils sont en désaccord avec la majorité". Effectivement, à un contre deux, j'étais effectivement minoritaire.

Pourquoi ai-je démissionné début décembre 2017 ? Parce que Jean-Chistophe Doré avait refusé de mettre en open source le fichier de la bonnette qu'il avait créé et dont la production était au point zéro depuis 18 mois. Outre cela il me déclarait qu'une production "sauvage" par des internautes disposant d'imprimantes 3D n'était pas faisable, alors que le contraire a été rapidement démontré. De toute façon, quand les téléphones portables seront un jour équipés de plusieurs objectifs, et qu'un de ceux-ci sera équipé d'un réseau, pour permettre d'analyser par exemple la composition de flammes, pour mettre en évidence une pollution industrielle, ces bonnettes deviendront immédiatement obsolètes. Il restera des noms déposés, des modèles déposés, des concepts déposés. J'ai vu que même le nom Ufo-science avait été déposé !

Une suggestion ( on ne saurait être trop prudent ) :