Les
USA orchestrèrent-ils le gigantesque tsunami de décembre
2004 ?
08/05/2005 14:33
Avec la perte déjà avérée
de l’Afghanistan et de l’Iraq, les banquiers de
Wall Street recherchaient désespérément
d’autres moyens pour contrôler notre planète,
lorsque soudain et très opportunément, la fosse
océanique de Sumatra a explosé
Malgré le nombre très important
de victimes du tsunami dans son propre état du Tamil
Nadu, l’Inde a transformé le bâtiment hydrographique
INS Nirupak en un hôpital flottant de 50 lits en moins
de 72 heures, puis l’a envoyé, dépourvu
d’armements, afin d’aider les habitants désespérés
d’Aceh, en Indonésie. En revanche, l’Amérique
a envoyé des navires de guerre et des marines armés.
La marine américaine possède deux navires-hôpitaux
de 1 000 lits, le Comfort et le Mercy, mais aucun n’a
été envoyé. Bien que le USNS Comfort ait
été déployé sur New York quand 3
000 Américains sont morts en septembre 2001, cette inaction
constitue un signal fort : 150 000 personnes (principalement
des musulmans) ont trouvé la mort en Asie du Sud-Est,
un demi million d’autres ont été blessées,
mais cela n’émeut pas les puissants à New
York.
Le gouvernement indien savait très bien
qu’il ne s’agissait pas d’un tremblement de
terre « normal ». Le 27 décembre, l’Inde
a refusé de rejoindre le projet sélect de «
club des quatre », qui aurait eu pour effet concret de
retirer cette puissance nucléaire asiatique de sa nouvelle
coalition avec la Russie, la Chine et le Brésil. Le 28
décembre, le gouvernement indien mettait poliment en
garde les militaires américains contre toute incursion
sur son territoire souverain, et le 29 décembre, l’éditorial
du India Daily mettait publiquement en doute la nature de l’événement
: « Était-ce une épreuve de force menée
par un pays pour montrer à la région le type de
ravage qui peut être créé ? » ...
« Au vu du degré atteint par la dévastation
et du rôle de l’Inde en tant que puissance régionale
en Asie du Sud, la marine indienne a l’obligation de mener
une enquête et d’en communiquer les résultats
au monde. »
Théoriquement, il serait facile d’encapsuler
une charge militaire thermonucléaire américaine
W-53 de 9 mégatonnes dans une simili-chambre de plongée
en saturation similaire à celle illustrée sur
la droite, afin de la protéger de la très forte
pression de 700 kilos par centimètre carré qui
règne au fond de la fosse océanique de Sumatra.
L’ensemble ainsi blindé pèserait moins de
cinq tonnes, ce qui permettrait de le faire glisser à
la poupe de tout navire de ravitaillement de plate-forme pétrolière,
tel qu’il en existe plus de 300 rien qu’en Asie.
Et qui le remarquerait ?
En dépit d’une tendance humaine
naturelle à rester silencieux sous le choc au vu du nombre
colossal des tués et des blessés survenus dans
toute l’Asie le 26 décembre 2004, et malgré
la crainte d’une perte de crédibilité personnelle
en raison de la magnitude du crime apparent, il existe de nombreuses
irrégularités démontrables dans l’histoire
officielle américaine du tsunami qui restent encore à
être enregistrées maintenant, sous peine de se
perdre à jamais dans les sables de l’oubli.
Il est hors de doute qu’un mascaret géant
(tsunami) a ravagé le Sud et le Sud-Est de l’Asie,
et qu’il a eu encore assez de force pour poursuivre sa
route à travers l’océan Indien jusqu’en
Afrique, où il a tué et blessé encore quelques
centaines de victimes. La seule question que nous devons donc
nous poser est de savoir si ce tsunami était d’origine
naturelle ou s’il a été provoqué
par l’homme. Un événement naturel serait
déjà assez horrifiant, mais si le tsunami était
artificiel, nous serions alors indubitablement en face d’un
des crimes de guerre les plus monstrueux de l’histoire
de l’humanité.
À midi, heure locale d’Australie,
j’ai fidèlement noté la magnitude et la
position enregistrées par l’Office Géophysique
de Jakarta, en Indonésie. Un tremblement de terre mesurant
6,4 sur l’échelle de Richter avait frappé
le Nord de l’île indonésienne de Sumatra.
L’Office Géophysique de Jakarta a noté méticuleusement
que l’épicentre de l’événement
était situé 155 miles au Sud-Sud-Est de la province
d’Aceh.
Cet emplacement se trouve environ 250 miles
au Sud de la position retenue ultérieurement par l’Administration
Nationale Océanique et Atmosphérique (NOAA) américaine,
qui a placé l’épicentre au Nord-Ouest d’Aceh
et a initialement fait état d’une intensité
de 8,0 sur l’échelle de Richter. Cependant, même
cette valeur n’était pas suffisante pour rendre
compte des dommages causés par cet événement
extraordinaire. La NOAA a donc fait passer progressivement cette
valeur à 8,5, puis à 8,9, et pour finir à
9,0 – du moins à l’heure actuelle.
Les premières irrégularités
démontrables ont donc été colportées
par des officiels américains de la NOAA, qui ont soudainement
inventé un nouveau pic d’onde sismique «
flexible » pour l’événement, d’une
magnitude bien supérieure à celle de Jakarta,
alors que le bureau de Jakarta était situé bien
plus près, presque à bout portant. Croyez-moi
lorsque je vous dis qu’il n’existe rien qui ressemble
au prétendu nouveau pic « flexible » de la
NOAA. Le premier pic sismique que vous enregistrez est le seul
véritable, à moins bien entendu que vous n’impliquiez
manuellement quelques autres pics de votre cru, dans le but
de coller à un agenda qui vous arrange. Naturellement,
il n’y a également qu’un seul épicentre,
qui a été fidèlement enregistré
par des douzaines de sismographes en Indonésie et en
Inde.
Le matin du 27 décembre, les médias
australiens (sous contrôle d’actionnaires de New
York) disaient très clairement que le pays le plus touché
de la région était le Sri Lanka, une île
située à la pointe Sud de l’Inde qui, comme
l’Australie, fait partie du Commonwealth britannique.
En conséquence, Tim Costello, dirigeant de l’une
des plus importantes associations caritatives d’Australie,
s’est immédiatement employé à se
rendre sur place pour y évaluer les besoins en aide.
Mais ce même matin, Little Johnny [surnom de John Howard,
premier ministre australien en exercice] dansait au son d’une
toute autre musique qui, du fait de sa docilité avérée,
devait provenir du combiné de la ligne téléphonique
directe sécurisée qui le relie à Wall Street.
Agissant véritablement à la dérobée,
Little Johnny a secrètement envoyé deux avions
de transport Hercules de la RAAF (armée de l’air
australienne) chargés de vivres en Malaisie afin qu’ils
s’y tiennent en attente, ainsi que deux autres à
Darwin, dans le Nord de l’Australie. Notez que si Little
Johnny avait eu la moindre préoccupation humanitaire,
les quatre Hercules auraient pu s’envoler directement
vers le pays partenaire du Commonwealth, le Sri Lanka, là
où tous les autres Australiens avaient appris par les
médias que l’aide était requise. Mais non,
les choses n’étaient pas prévues ainsi,
et Little Johnny attendait patiemment les ordres en provenance
de New York.
La durée d’attente fut courte,
et après qu’un vol de reconnaissance à haute
altitude par un chasseur ait confirmé que la piste était
dégagée à Medan, dans l’Est de Sumatra,
les quatre Hercules australiens, chargés de combattants,
armes et autres équipements, envahirent Sumatra, juste
au Sud de la province dévastée d’Aceh. À
son tour, avec 90% de sa population tuée par le tsunami,
Aceh pourrait peut-être devenir le Guantanamo de l’Indonésie,
grouillant de centaines d’Australiens et d’Américains
lourdement armés.
Souvenez-vous bien cependant qu’au moment
où ces quatre Hercules atterrissaient à Medan,
le grand public australien ne savait absolument pas que Sumatra
avait été durement touchée. Seul Little
Johnny le savait, ainsi que bien sûr sa boule de cristal
à New York. Au diable le Sri Lanka, ses patrons voulaient
disposer d’une base importante pour les volumineux contrats
de reconstruction en Asie, conçus pour pallier aux échecs
rencontrés pour le pillage de l’or noir et la reconstruction
en Iraq, et permettre à cette bonne vieille Israël
de tituber sur ses jambes new-yorkaises pendant encore quelques
semaines ou quelques mois.
Inutile de dire que les Australiens n’étaient
que le groupe de reconnaissance, destiné à être
rapidement rejoint par une armée américaine curieusement
bien préparée et bien équipée, bien
qu’il soit douteux qu’aucun des officiers et des
hommes de troupe concernés aient réellement compris
ce qui se passait. Seuls quelques-uns se sont posé la
question de savoir pourquoi ils avaient passé toute une
année à s’entraîner pour une «
mission humanitaire », alors que l’objectif premier
de la marine américaine et du Marine Corps est généralement
de tuer des gens en masse. Regardez Fallujah, vous autres, regardez
donc Fallujah.
Comme par magie, le Pentagone réussit
à disposer de deux groupements de bataille prêts
à appareiller sans préavis de Hong Kong et de
Guam au cours de la période généralement
chaotique des fêtes de fin d’année. Mince
alors ! La discipline militaire a fait des progrès fulgurants
depuis mon époque, quand tout le monde, jusqu’au
chat du navire, faisait la grasse matinée dans un de
ces hôtels à la réputation plus que douteuse.
Mais pas ces plus de 10 000 Américains, qui avaient dû
se tenir au garde-à-vous jour et nuit à côté
de leurs hamacs, saluant de façon frénétique
autant que réglementaire à chaque fois qu’un
officier ou sous-officier était en vue.
L’épisode suivant fut magnifiquement
orchestré, car il se déroula en haute mer, loin
des yeux des curieux sur les docks comme d’imaginaires
agents du KGB. Mais j’oubliais… vous devez d’abord
savoir qui était dans le coup. À toute vitesse,
l’équipe un, composée du porte-avions à
propulsion nucléaire USS Abraham Lincoln et de ses navires
d’escorte, quitta précipitamment Hong Kong, tandis
que l’équipe deux, bien plus intéressante,
quittait Guam toutes voiles dehors, menée par l’USS
Bonhomme Richard, un navire de débarquement chargé
jusqu’au plat-bord de soldats de bois brandissant des
armes. Et ce n’est pas tout, croyez-moi, car le Bonhomme
Richard était en réalité à la tête
d’une véritable armada appelée le Cinquième
corps expéditionnaire de choc [Expeditionary Strike Group
5 ou ESG5].
La partie vraiment sournoise (inexplicable)
s’est déroulée alors que les deux groupements
de bataille entraient dans l’océan Indien. Le USS
Abraham Lincoln avait l’air aussi innocent que possible
pour un porte-avions embarquant 70 avions d’attaque, mais
il transportait déjà 2 000 marines au lieu d’environ
500 en temps normal. C’est une puissance de feu bien lourde
pour un déploiement dans les rues désertes de
Banda Aceh, en particulier lorsque Wall Street s’attendrait
normalement à ce que ces marines meurent tranquillement
pour Israël en Iraq. Maintenant, comment savaient-ils que
ce renfort de marines serait requis avant que l’équipe
un ne quitte Hong Kong, car les 1 500 marines en supplément
n’étaient certainement pas en train de flâner
autour des docks de Kowloon, attendant qu’on les prenne
en stop.
Alors, pendant que les deux groupements de
bataille se dirigeaient (apparemment) dans deux directions différentes
à travers l’océan Indien déserté,
un événement encore plus étrange se produisit.
Bien que le Cinquième corps expéditionnaire de
choc (humanitaire) fût censé venir en aide aux
habitants du Sri Lanka, les marines à bord du Bonhomme
Richard furent transférés sur le vaisseau de transport
amphibie USS Duluth, qui se sépara alors du Cinquième
corps et se dirigea vers l’équipe un. Ainsi, sans
que les Indonésiens en soient réellement conscients,
le porte-avions (relativement) inoffensif et encombrant USS
Abraham Lincoln avait été utilisé pour
masquer l’arrivée d’au moins 3 500 US Marines
lourdement armés dans la petite province d’Aceh.
Cela nous informe plus ou moins sur des activités
militaires connues, bien qu’hier, un caméraman
de la télévision australienne ait filmé
accidentellement certains de ces marines lourdement armés
(qui ont essayé de lui tirer dessus pour qu’il
s’éloigne) explorant une base militaire indonésienne
dévastée à la recherche d’éventuelles
armes restantes. Vous pouvez me trouver vieux jeu, mais si ces
gars et leurs patrons sont corrects, ce genre de tâches
ne devrait-il pas être laissé à l’armée
indonésienne ?
Je resterai circonspect sur la façon
exacte dont une arme thermonucléaire américaine
puissante aurait pu parvenir au fond de la fosse océanique
de Sumatra, bien que toutes les observations sismiques et l’état
de préparation de la mission qui a suivi indiquent de
façon insistante que c’est ainsi que cela s’est
passé. Après tout, nous revenons à la vieille
question de savoir à qui profite le crime, et dans ce
cas précis, « qui est assez fou pour tuer plus
de 150 000 civils simplement pour asseoir son pouvoir ? »
Si l’on se base sur leurs performances passées
en Iraq et autres pays malchanceux, il semblerait que les seuls
candidats réalistes soient Wolfowitz et compagnie, luttant
comme à l’habitude pour créer un «
gouvernement mondial unique ».
Il est certain qu’aucune autre puissance
nucléaire, comme la Russie ou la Chine, n’aurait
strictement rien à gagner d’une tuerie aussi effroyable,
et donc, comme toujours, nous revenons à Sherlock Holmes
grâce à la plume de Sir Arthur Conan Doyle : «
Lorsque vous avez éliminé l’impossible,
la solution restante, aussi improbable soit-elle, est la vérité.
»
Pour le lobby sioniste, il n’est pas
bien difficile d’obtenir une arme nucléaire aux
États-Unis, en particulier avec le précédent
que constituent 100 petites têtes nucléaires air/air
« déclassées » sorties en fraude par
la petite porte (civile) du Pentagone, pour former le cœur
de l’arsenal nucléaire actuel de l’état
juif. Une fois qu’un système d’armement est
périmé et hors service, les militaires américains,
loyaux et non informés, ne peuvent plus en suivre la
trace.
Le concepteur de la bombe à ricochet
(appelée « Highball ») de la RAF était
un savant du nom de Barnes Wallace, qui avait déjà
acquis une haute réputation avec son bombardier Wellington,
dont la structure géodésique lui permettait de
résister à des chocs énormes en vol. De
nombreux Wellington revinrent ainsi à la base littéralement
en lambeaux, alors que de nombreux appareils similaires tels
que les Stirling et Halifax étaient bien trop souvent
consignés dans les profondeurs troubles de la Mer du
Nord.
Wallace savait qu’un bombardement vertical
était une pure perte de temps, et que la seule chance
de succès reposait sur la possibilité de placer
une mine tout contre la base du mur du barrage. En effet, il
est impossible de comprimer l’eau, ce qui signifie que
si la mine était placée contre le barrage lors
de la détonation, une partie de son énergie serait
automatiquement transmise au mur. Si l’explosion avait
lieu en eau relativement peu profonde, la plus grande part de
l’énergie du souffle se serait perdue dans l’atmosphère,
engendrant bien entendu l’explosion d’un immense
nuage d’eau.
Bien qu’il soit évident qu’une
seule bombe, lancée depuis un seul bombardier Lancaster,
ne pourrait détruire le mur du barrage (elle aurait pesé
bien trop lourd pour permettre à l’avion de décoller),
Wallace avait placé ses espoirs sur le fait scientifiquement
établi que la contrainte accumulée serait suffisante,
et les faits lui donnèrent raison. Bien qu’officiellement
trois des bombes, contenant chacune 3 tonnes de TNT, furent
considérées comme des coups au but, l’une
d’elles dévia légèrement de sa trajectoire,
ce qui signifie que le barrage géant de Möhne fut
brisé par 6 tonnes de trinitrotoluène.
C’est précisément l’incompressibilité
de l’eau qui compte au fond de la fosse océanique
de Sumatra. Au fond de la fosse, la pression exercée
sur votre arme favorite est de 700 kilos par centimètre
carré, et au-dessus, vous avez une colonne d’eau
haute de 7 kilomètres, qui est précisément
à l’origine de cette pression. Mais ce n’est
pas tout. Le fond de la fosse est plus étroit, ce qui
signifie que l’arme est « bordée »,
avec une chance très réelle de déplacer
une plaque tectonique si la puissance utilisée est suffisante.
Dans ce cas précis, il n’était
pas vraiment nécessaire de déplacer une plaque
tectonique, et la science semble indiquer que si cette explosion
avait eu un tel effet, de nombreuses répliques auraient
suivi, comme cela s’est produit par le passé pour
tous les autres tremblements de terre d’importance. Mais,
comme indiqué précédemment, en mettant
de côté le caractère apparemment délibérément
provocateur des avertissements erronés de la NOAA américaine,
il semble ne pas y avoir eu la moindre réplique susceptible
d’être reliée de façon directe et
scientifique à « l’événement
» de la fosse océanique de Sumatra le 26 décembre
2004 à 07:58, heure locale. Les secousses sismiques ultérieures
de faible amplitude pourraient être, ou non, liées
à l’arme.
Pour contraindre l’Asie à la docilité
et assurer la part du lion dans les contrats de reconstruction,
incroyablement lucratifs, tout ce qu’il fallait, c’était
un tsunami de très grande ampleur visant les pays sélectionnés,
ce qui était tout à fait dans les capacités
d’une bombe nucléaire de forte puissance. Il n’y
a rien de nouveau concernant les explosions marines, ou «
Sea Bursts », comme on les appelait, et il y a plus de
30 ans, les États-Unis comme la Russie élaboraient
des plans visant à dévaster les cités côtières
de leur adversaire à l’aide de cette même
technique. Le mascaret provoqué par une explosion dans
les eaux profondes est relativement propre, ce qui permet à
l’agresseur de s’emparer des terrains, des bâtiments
restants, etc. avec un délai minimal.
Si tout s’était passé comme
prévu, l’Indonésie, le Sri Lanka et l’Inde
seraient revenues dans le giron du FMI et de la Banque Mondiale
pour trente ans ou plus — un temps suffisant pour attendre
que le prix du pétrole diminue après le fiasco
mortel en Iraq. Au même moment, si le gouvernement indien
avait mordu à l’appât, cela aurait anéanti
la menaçante coalition entre Russie, Chine, Inde et Brésil.
Un résultat intéressant en une journée
de travail avec une seule arme nucléaire retirée
discrètement du processus de déclassement.
Joe Vialls
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