A quoi ça sert que Petit y se décarcasse ?

...J'ai publié en 1997 un ouvrage intitulé "On a perdu la moitié de l'univers", aux Editions Albin Michel. Silence total dans la presse, générale ou scientifique, lors de la sortie de l'ouvrage, qui s'est quand même pas trop mal vendu depuis quatre ans, uniquement par bouche à oreille.

ou en collection livre de poche :

...Ce livre est une présentation vulgarisée de mes travaux d'astrophysique et de cosmologie, qui ont débuté (pour la cosmologie) en 1987 avec la parution de trois papiers dans Modern Physics Letters A. D'autres publications ont suivi dans Nuovo Cimento, Astrophysics and Space Science, The modern Journal of Physics B, etc.

...Dans ce domaine, je ne suis donc pas un fantaisisite ou un amateur, n'en déplaise à des gens comme Jean-Pierre Luminet, qui avait répondu à Jean Staune (UIP) qui le questionnait à propos de mes travaux : "Les articles de Petit ? C'est plein d'erreurs...."

...Ma fois, si Luminet décide de démentir cette remarque, qu'il se manifeste. Ma source est en principe sûre.

...Thème de mes recherches : il est vain de rechercher la matière sombre dans notre univers. Des effets comme le confinement des galaxies et des amas de galaxies, les forts effets de lentille gravitationnelle sont à imputer à une "matière gémellaire" située dans ce qu'on peut effectivement qualifier d'univers "parallèle au nôtre". Je travaille dans cette voie depuis en fait 1977 (publication d'une première note aux Comptes Rendus de l'Académie des Sciences de paris), c'est à dire 23 ans. Or, que voit-on dans le numéro de février de Science et Avenir ?

et, dans le corps de l'article :

...Vous chercherez désespérément la mention de mes travaux, l'évocation de mon modèle cosmologique, pourtant assez construit et se prétant à des multiples confirmations observationnelles, dans la presse ("généraliste" ou spécialisée dans la vulgarisation scientifique). La Recherche a publié récemment un dossier où "les différents modèles cosmologiques" étaient évoqués. Pas un mot sur les travaux de J.P.Petit. Je suggère donc aux lecteurs de mon site de faire une expérience. S'ils le jugent utile, ils peuvent envoyer un e-mail adressé conjointement à la rédaction de la revue Science et Avenir (redaction@sciences-et-avenir.com ) et à l'auteur de l'article, David Larousserie, en demandant à ces gens s'ils connaissent l'existence de mes travaux et, si c'est le cas, ce qu'ils en pensent. Si des "experts", consultés par eux, leur en font une critique désobligeante, dites-leur bien que j'aimerais en connaître la teneur (comme j'aimerais bien que Luminet éclaire un peu sa critique d'une remarque scientifiquement plus construite). Si les lecteurs ont lamabilité de m'adresser par e-mail la copie de leurs lettres, je les reproduirai dans cette page web, avec le cas échéant la réponse qui pourra leur avoir été faite.

...Voici la copie du message que j'ai personnellement adressé à la rédaction de la revue :

31 janvier 2001.

Jean-Pierre Petit, Directeur de Recherche au CNRS, Laboratoire d'Astrophysique de Marseille (LAM).

A l'attention de la rédaction de la revue Sciences et Avenir et de David Larousserie, auteur de l'article paru dans le numéro de février 2001, intitulé "Entrez dans la cinquième dimension".

Messieurs,

...J'ai fini par m'habituer au fait que la presse orientée vers la vulgarisation scientifique affecte d'ignorer totalement mes travaux en matière d'astrophysique et de cosmologie théorique. Mon dernier ouvrage "On a perdu la moitié de l'univers", paru en 1997 aux Editions Albin Michel (que cette maison d'édition se ferait sans doute un plaisir de vous envoyer, sur simple demande, en service de presse) n'a pas été mentionné. Il s'est quand même bien vendu, par simple "bouche à oreille" et parce que mention en est faite dans mon site internet http://www.jp-petit.com

...Par contre, ce qui est assez gènant c'est de voir que cette même presse consacre beaucoup de place à des vélléités de découvertes, fondées sur des publications dont aucune ne propose une quelconque confrontation avec l'observation. A l'inverse, mon modèle "d'univers jumeaux" est assez construit.

...L'ouvrage en donne une présentation vulgarisée, mais le spécialiste de relativité générale trouvera des articles, dans mon site Internet, qui fournissent tous les détails techyniques nécessaires.

...J'ai publié dans des revues à comité de lecture ( Nuovo Cimento 1994, Astrophysics and Space Science 1995, The International Journal of Modern Physics D 1999). Les articles sont d'ailleurs intégralement reproduits dans le site et, si nécessaire, je suis à la disposition, soit d'un journaliste, soit d'un expert mandaté par lui, pour répondre à toute question. En faisant un parallèle avec une phrase de l'article que vous avez publié ".. Par exemple, plus besoin de s'échiner à chercheur la masse manquante dans notre univers, il suffit de dire qu'elle est collée dans un univers parallèle", je ferais remarquer que cela fait dix ans que je "colle de la matière sur un univers jumeau du nôtre" (l'idée initiale étant d'ailleurs d'Andréi Sakharov, en 1967).

Quels sont mes "claims" ?

Le modèle des univers jumeaux :

- Donne une interprétation du confinement des galaxies

- Permet de retrouver la forme caractéristique de la courbe de rotation du gaz, avec des survitesses périphériques

- Justifie le confinement des amas de galaxies

- Donne une interprétation alternative des forts effets de lentille gravitationnelles, ceux-ci étant imputés à l'univers gémellaire. En effet si notre univers est sensible à l'action gravitationnelle de son jumeau, la distribution de matière qu'on y trouve produit des effets de lentille, dans notre propre univers

- Le modèle fait état de l'accélération de l'expansion de notre propre cosmos, alors que celle du jumeau se ralentit. Pour employer une expression journalistique, notre univers se trouve "propulsé en avant par le pouvoir répulsif de l'univers gémellaire". Plus besoin de constante cosmologique ou, si l'on veut, la constante cosmologique est ce prétendu "pouvoir répulsif du vide" ne sont que les effets de l'action de l'univers jumeau sur le nôtre. Ces deux mondes sont dissymétriques (ces expansion conjointes forment un système dynamiquement instable).

- Le modèle produit une structure à grande échelle, lacunaire, dans notre propre univers, stable (Astrophysics and Space Science 1995) à l'échelle de la dizaine de milliards d'années. Les univers connaissent des "instabilités gravitationnelles conjointes". Le jumeau, plus dense, forme (plus rapidement) des conglomérats sphéroidaux (simulations numériques) qui repoussent la matière (la nôtre) dans l'espace résiduel, et celle-ci se structure donc en bulle de savns jointive. Au centre de chaque bulle : un conglomérat de matière gémellaire "géométriquement invisible" (les photons ne passent pas d'un univers à l'autre. Chaque univers a les siens). Ces deux univers n'interagissent que par la gravitation, ce que j'ai complètement modélisé, à l'aide de deux équations de champs couplées, proposées dans Nuovo Comento en 1994. - Le modèle rend compte des observables classiques de la RG - Le modèle fournit une théorie de la naissance des galaxies, qui s'inscrirait au moment où les cellules de matière se forment. La matière, repoussée par les conglomérats de matière gémellaire, comprimée selon ces "plaques", pourrait alors se refroidir efficacement par rayonnement, après une excusrion en densité en en température, et donner naissance aux galaxies

. - L'interaction entre une galaxie et son "image" dans l'univers gémellaire a produit (1993) des structures spirales barrées, stables sur dix milliards d'années.

- Le modèle fournit une interprétation de l'abondance de galaxies naines à fort redshift qui serait un effet "d'optique gravitationnelle". Personne ne peut prétendre détenir une vérité absolue. pas plus moi qu'un autre, mais il me semble que ces différentes facettes mériteraient quelqu'intérêt, en comparaison de théories qui ne semblent guère fécondes, ni se soucier d'être confrontées aux observations (supercordes, etc). A votre entière disposition pour tout éclaircissement ou toute réponse à une critique formulée (par écrit si possible) par un éventuel expert.

...................................................................................................................................... J.P.Petit

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