L'incroyable rapport sur le pitoyable débat public de 2006
Révélation de l'incompétence des gens du CEA
et des membres de l'RFM présents
Pour télécharger ce rapport, qui a coûté 7 millions d'euros
Prenez connaissance des incongruités, sous forme de réponses à des questions formulées par l'assistance, founies par Michel Châtelier, directeur de l'Institut de Recherche sur la Fusion Magnétique (Cadarache) et par Gabriel Marbach, son adjoint, qui a pris aujourd'hui sa succession à la tête de cet institut. Les numéros de pages sont mentionnés dans les deux courriers que j'ai adressés à Bernard Bigot :
Premier courrier à Bernard Bigot, administrateur Général du CEA, 25 août 2011
Second courrier, le 26 août 2011
En complément, le contenu d'un mail que m'a adressé Philippe Ghendrih, directeur de recherche dans cet institut, très influant au CNRS, le 20 octobre 2011 :
De : GHENDRIH Philippe 103440 <Philippe.GHENDRIH@cea.fr> Monsieur,
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Suite à ce mail j'ai rapidement trouvé sur le net le numéro de téléphone de Philippe Ghendrih. Je l'ai aussitôt appelé, en commençant par lui dire que je n'étais plus en activité au CNRS, mais retraité. Puis nous avons eu une discussion de 50 minutes sur des points de théorie, liés aux tokamaks. A propos du budget lié à la construction de cette machine, il m'a dit " vous savez combien coûte une journée de guerre en Afghanistan, en Irak ?"
C'est un point de vue ....
Notre conversation n'a pourtant pas pris pour autant un tour conflictuel, à aucun moment. Du moins telle a été mon impression personnelle. Lire la sienne dans le mail suivant. Comme c'est un numéricien, je l'ai longuement interrogé sur ce qu'on pouvait obtenir en matière de simulation pour tenter de décrire le fonctionnement des tokamaks, sans obtenir de réponse très convainquante. A propos de l'effondrement thermique, en un millième de seconde, qui est la première phase des disruptions, sa réponse a été "c'est parce que la machine devenait instable", réponse qui semblait le satisfaire pleinement.
Voici la réponse qu'il a ensuite faite au journaliste Jean Robin, qui lui proposait de filmer un débat entre lui et moi, qui serait ensuite diffusé sur le net :
---------- Message transféré ---------- Monsieur, 1) M. Petit est totalement incompétent sur tous les domaines de la fusion magnétique où il porte des jugements. Sa source d’information est très parcellaire, inexistante au regard des standards scientifiques, et il ne fait état d’aucune publication scientifique dans les grandes revues internationales. Il n’y a pas le moindre élément scientifique ni dans sa méthode ni dans son approche, encore moins dans les avis qu’il donne. 2) M. Petit se livre à des attaques personnelles qui sont totalement hors de propos s’agissant d’une approche qui se prétend scientifique. En revanche, il s’agit bien de diffamation ce qui pourrait tomber sous le coup du droit. On retrouve dans ses propos un mélange de frustrations, de délire, d’incompétence, de ressentiments vis-à-vis de personnes bien plus qu’un intérêt quelconque pour le projet ITER. |
A propos de la Z-machine, comme il m'avait dit "qu'il en avait entendu parler" je lui ai envoyé un mail où je me proposais de donner à l'IRFM, laboratoire auquel il appartient (Institut de Recherche sur le Fusion Magnétique, sis à Cadarache ) un séminaire sur le sujet. Il n'a pas eu la courtoisie de me répondre.
Monsieur Philippe Ghendrih a l'habitude de ne jamais signer ses mails.
Si on suit à la lettre l'avis fort négatif qu'il profère sur moi, après lecture de la communication de Wurden, au colloque de Princeton, USA, en septembre 2011, lequel dit exactement les mêmes choses que moi (traduction de cette communication en français ), il faut en déduire qu'il faudrait aussi prévoir une place pour celui-là dans un hôpital psychiatrique.
Si vous vous référez aux pdf accessibles grâce aux liens figurant en haut de cette page, vous verrez, en parcourant le rapport concernant le début public de 2006 que Monsieur Chatelier, qui était directeur de l'IRM à l'époque, introduit un concept nouveau, celui de "plasma intense". Expression que Monsieur Bigot qualifie "d'erreur de transcription". Il fallait lire "plasma dense" (?....).
Dans le même document, Gabriel Marbach, actuel directeur de cet institut, explique que la résistance des matériaux avec lesquels ITER sera construit ont été testés sur la machine anglaise JET, laquelle fournit des durées d'essais ne dépassant pas une seconde.
Enfin Alain Becoulet, actuel directeur adjoint de l'IRM a longuement téléphoné à Jean Robin pour lui expliquer que mon niveau scientifique était celui d'un terminale S, tout en lui signifiant, comme tous les autres, son refus catégorique d'un débat filmé, face à moi.
Cachez ces disruptions que je ne saurais voir