Un fuselage d'avion peut-il perforer un mur de béton ?

25 novembre 2007

 

La question n'est pas aussi simple que cela pourrait paraître de prime abord. Au début du siècle des gens amusèrent à montrer que l'on pouvait perforer une porte de bois à l'aide ... d'une bougie, à condition de tirer celle-ci à l'aide d'un fusil de chasse, c'est à dire en la dotant d'une énergie cinétique.

Poussant ce raisonnement beaucoup plus loin un lecteur, Jean-Sylvain Delroux, avait tenu à développer une théorie basé sur l'expérience. En projetant avec vigeur une paille contre une pomme de terre il avait pu faire prénétrer celle-ci dans sa cible et conclu qu'un fuselage d'avion devait pouvoir être assimilé à " une grosse paille" et le bâtiment du Pentagone à une grosse pomme de terre. Ainsi naquit "l'effet Delroux" ( mai 2004 ).

Récemment un avion de ligne a fait une fausse manoeuvre et a percuté à faible vitesse la barrière anti-bruit d'un aéroport français. Voici les photographies :

 

. barriere_antibruit_a

L'appareil, à simple vitesse de roulage, escalade d'abord le support de la barrière anti-bruit

 

La partie avant del'appareil percute alors le rempart anti-bruit, d'une épaisseur de 10 centimètres. Les résultats de l'impact sont visibles sur les deux clichés ci-après. Ils montrent la fragilité d'une cabine d'avion de ligne, qui évoque ... le papier de chocolat :

 

barriere_antibruit_b

Il aura suffi de son propre poids pour que toute la partie avant de l'avion s'affaisse, se plie.

 

 

barriere_antibruit_c

Sur ce troisième cliché on aperçoit au premier plan le fragment de cloison qui a endommagé toute la partie avant de l'appareil

 

Peut-on accorder foi aux différentes vidéos correspondant aux simulations numériques effectuées, en particulier à l'université américaine de Purdue ? J'en reviens au seul test qui pourrait accorder du crédit à la thèse officielle, concernant le " crash du vol 77 sur le Pentagone " : une reconstitution en bonne et due forme, avec une aile du bâtiment reconstruite à l'identique, du moins en ce qui concerne sa structure. Et un 767 portant la même quantité de carburant, téléguidé, réalisant son approche à 60 cm du sol, à la même vitesse, avec sinon des cadavres, du moins ceux d'animaux, ainsi que des valises et tout ce qui peut constituer le contenu d'un tel avion de ligne.

Si les suites de l'impact correspondent aux photographies, alors il n'y aura plus qu'à s'incliner. Cela signifiera qu'un liner lancé à 600 km/h est à même de pénétrer dans un tel bâtiment par un trou de 3 m sur 3, en repliant ses ailes, en amenant son carburant à l'intérieur. Son énergie cinétique sera si importante qu'il aura pu perforer plusieurs murs, et enfin créer dns une cour intérieure le trou de sortie bien connu, alors même que l'objet ayant réussi cet exploit ne fut jamais ni retrouvé, ni exhibé.

 

trou_sortie

Pentagnone : le trou de sortie

 

On aura le droit de se montrer tout aussi perplexe en contemplant les simulations effectuées par ce même laboratoire et se référant cetre fois à l'impact d'avion sur les tours du World Trade Center. L'énergie cinétique des appareils aurait-elle pu s'avérer suffisante pour leur assurer une telle pénétration dans le bâtiment ou cette entrée aurait-elle était favorisée par un tir de missile effectué à très faible distance, comme semble l'indiquer une étrange lumière filmée par trois caméras vidéos différentes, sous trois angles différents, juste au point d'impact de l'appareil ? Des appareils d'ailleurs bien étranges, dont l'un semble porter sous son ventre une gros container, un " pod " qui reste un accessoire d'appareil militaire, non d'avion civil.

Là encore, seule une simulation sur de véritables structures apporterait une réponse crédible.

C'est un des multiples aspects qui font douter de l'ensemble de la version officielle.

Toute cette histoire est totalement monstrueuse du début à la fin. On peut au passage apporter une précision, fournie par un lecteur d'une des très nombreuses études faites et publiées sur le web. Les Américains, les Russes et d'autres grandes puissances disposent de gaz incapacitant à action extrêmement rapide. Ceux-ci on par exemple été utilisés lors de la célèbre prise d'otage effectuée par les activistes Tchétchène dans un théâtre de Moscou. Il fallait faire vite car les porteurs de bombes, les " bombes vivantes " pouvaient actionner leur détonateur d'un rapide geste de la main. Ces gas ( une page web donnait leur nature et composition ) sont assez lourds et peuvent tomber leur les personnes visées comme de véritables chapes gazeuses. La perte de conscience s'opère alors en quelques dizaièmes de seconde, à la suite d'une seule inspiration. La " cible " n'a alors pas le moyen d'actionner un dispositif quelconque. Certains de ces gaz sont simplement mortels. D'autres peuvent ( paraît-il) être combattus par un antidote, comme ceux qui avaient été utilisés dans le théâtre de Moscou.

Toutes les personnes qui se sont posées de questions à propos des véritables appareils impliqués dans "ces détournements et attentats du 11 septembre 2001 " se sont dits " ces avions et ces passagers, que sont-ils devenus ?"

C'est une question à laquelle une réponse doit être apportée. On remarquera d'abord que les systèmes de surveillance du ciel, à la fois civils et militaires étaient remarquablement hors service ce jour-là, tous les avions militaires ayant été attirés loin de la zone pour "des manoeuvres".

Dans un autre dossier vous avez pu voir le brusque changement de direction opéré par le vol 77 et sa redirection vers le Pentagone ( en seulement quelques minutes ) , sur la foi des données d'une boite noire fournie des années plus tard par les autorités militaires. Les choses se sont-elles passées ainsi ? Dans la suite des avis émis dans http://www.patriotsquestion911.com et leur traduction en français vous verrez combien de hauts responsables militaires sont sceptiques. Mais, si le Pentagone a été frappé par un missile, que sont devenus avion et passagers ?

Pilotes et passagers ont pu être tués très rapidement par émission d'un gaz mortel, dans un appareil spécialement préparé à cet effet, transformé en " chambre à gaz ". Les pilotes disposent d'un bouton sur lequel ils peuvent presser pour signaler en une fraction de seconde qu'ils sont détournés. Ont-ils eu le temps de le faire ? Plus simplement : ce bouton était-il actif ou désactivé ?

Il était ensuite extraordinairement facile de prendre à distance le contrôle de cet appareil et, soit de le faire atterrir dans quelque sanctuaire militaire où on aurait disparaître toute trace de l'appareil et des passagers, soit de faire exploser l'avion au dessus de l'Atlantique à quelque distance de la côte.

Des appareils ont déjà été détruits en vol par l'explosions d'un charge déposée dans une valise, ou part d'un objet de petite dimension. Des fragments importants ont alors pu être récupérés, immergés. Mais si l'avion est configuré pour une " controlled demolition " il n'en restera pratiquement rien. Tout est une question de quantité d'explosif disposé à bord.

Que l'appareil ait été détruit en vol ou au sol, ceci exclut dans les deux cas une action menée par des terroristes islamistes " armés de cutters ". Qui peut tirer à bonne distance un missile capable de frapper le Pentagone en faisant de tels dégâts ? A partir de quelle station fixe ou mobile, ou de quel avion en vol ? Qui peut équiper un appareil visible en chambre à gaz pour tier instantanément passagers et pilotes ? Qui peut faire disparaître toute trace, sinon une organisation très structurée ? C'est totalement hors de portée d'une bande de " terroristes " opérant sur le sol américain.

Actuellement, des gens arrivent à des conclusions variées. Certains s'accrochent encore à la version officielle. D'autres s'imaginent " que le gouvernement savait qu'un attentat était en préparation mais a laissé faire ". Le crash sur le Pentagone, qui nécessite l'emploi de " quelque chose d'autre qu'un avion de ligne " de même que la destruction; l'effacement total d'un vol régulier, passagers et équipage compris, sort totalement du schéma de l'attaque terroriste à l'aide de cutters.

En allant plus loin on peut même penser, étant donné que les appareils qui sont allés frapper les tours jumelles semblaient différer d'avions de ligne, qu'il n'y avait pas un seul islamiste à bord, que ces gens ont été complètement manipulés.

Souvenez vous de l'assassinat de Kennedy et de ce pauvre bougre, Lee Oswald, placé dans un bâtiment avec un fusil ( mais était-il réellement dans ce bâtiment ? On a retrouvé le fusil et les cartouches, en un " poste de tir " ,c'est tout....). Un homme manipulé dès le début pour en faire " l'assassin idéal ", d'autant moins à même de contredire ces accusations portées contre lui qu'on le fit passer de vie à trépas le lendemain même de son arrestation. Dans un autre dossier je reprendrai l'étude faite par un lecteur, qui revient sur pas mal de points del'histoire américaine, en montrant qu'elle est, pour employer une espression de justice " coutumière du fait ".

Tout cela fait diablement réfléchir. Ca n'est pas brillant, brillant... Mais c'est l'histoire, dans toute sa crudité et son horreur.

 


 

Sommaire de l'ensemble des pages consacrées au "Pentagate"_

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